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Jumelage avec Stalybridge. - Organisation, échanges de jeunes, échanges de musiciens, délégations officielles, rencontres sportives, expositions : correspondance, listes nominatives du comité de jumelage, pièces comptables, programmes, menus, coupures de presse, rapports, délibérations, livre « Brough of Stalybridge centenary 1857-1957 », listes des participants, demandes d'échanges et de correspondants, historique des villes, subventions, notes de services, rapports, comptes-rendus de séjour et de réunions, plan de développement des échanges européens inter-municipaux, projets, effectifs, avis de presse, affiches, budgets, arrêtés, emplois du temps, états de paiement, fiches médicales, invitations, candidatures des accompagnateurs, cartes postales, catalogues, réglementation.

2 R 38 , 1976-1978  

Clergé séculier : église paroissiale, chapelles et confréries.

GG 59 , 1532-1782  

Lettres de François de Ranchicourt, vicaire-général de l'évêque d'Arras, archidiacre d'Ostrevant, curé-propriétaire de l'église Saint-Jacques à Douai, permettant aux membres de la confrérie de Saint-Jacques fondée en ladite église, de pouvoir célébrer en icelle église autant de messes qu'ils voudront, d'y porter l'image d'argent de saint Jacques, et de l'y enfermer dans un coffre si bon leur semble. Différend entre les échevins d'Armentières et Louis-Xavier Bayart, agissant comme administrateur de la chapelle Sainte-Croix érigée en l'église paroissiale, au sujet du paiement des réparations faites à cette chapelle, 1770. Le Magistrat d'Armentières remet au sieur Bayart les fonctions d'administrateur de la chapelle Sainte-Croix, le sieur Van Oye, nomm le 1er juin 1771, s'étant déporté volontairement de ces fonctions en vue de concourir au bien public et à la satisfaction générale. Acte par lequel les bailli et échevins d'Armentières, d'une part, Louis-Xavier Bayart, d'autre part, d'un commun accord, terminent la discussion existant entr'eux au sujet de l'administration de la chapelle Sainte-Croix. Cet accord est fait sous les auspices du comte d'Egmont qui avait nommé les commissaires spéciaux " pour régler les différents qui agitoient la ville d'Armentières " 5 avril 1775. Dépositions des ministres des chapelles de Sainte-Croix, des Trépassés et de Saint-Eloi, et des prêtres et horistes de l'église paroissiale d'Armentières, tendant à disculper le sieur Brassart fils, bedeau de ladite église, de l'accusation d'avoir enlevé des chandelles à la chapelle Notre-Dame de Lorrette.