Toutes les ressources Armentières 14 887 résultats (2ms)
Société, association. - Subvention : rapport moral, rapport financier, correspondance, bilan, documentation, presse, déclaration de dissolution, photographie, compte-rendu d'exploitation, compte-rendu d'activité, délibération, montant des subventions allouées, brochure, liste des membres, rapport d'assemblée générale, facture, livre d'or, presse, relevé d'identité bancaire, convention.
Intercommunalité : dossier d'études.
Maternité : fonctionnement ; Centre de soins à domicile : fonctionnement.
Bureau municipal : comptes rendus de réunions.
Justice criminelle : registres aux plaids; procès devant l'échevinage; juridiction gracieuse des échevins.
Registre criminel et d'office de la ville d'Armentières commençant le 8 avril 1570 et finissant le 18 février 1572. Condamnations prononcées contre les drapiers, bouchers, brasseurs, meuniers, cabaretiers, boulangers, pour contraventions aux règlements municipaux qui régissent leurs méters. Condamnations pour rixes et batailles, pour coups et blessures. "Veu les informations et enquestes tenues allencontre de Nicollas Deroy, boullengier, par lesquelles appert et se treuve ledit Nicollas estre terminé en ceste ville d'Armentières comme héréticque obstiné, sans avoir vollu estre administré des sainctz sacrementz de l'autel, nous, eschevins, avons, à la semonce du sieur bailly, nostre conjureur, en ensiévant les lettres et ordonnance de Son Excellence, ordonné et ordonnons que le corps dudit Nicollas sera mené et enterré au lieu deu et pattibulaire de ladicte ville, comme non digne joyr de la terre saincte, et que les biens dudit Nicollas seront saisys et inventoriés à la conservation du droict et prouffict de Sa Majesté, conformément ausdictes lettres de Son Ex". Poursuites contre Jeanne Martin, veuve de Nicolas Deroy, chargée d'avoir hanté les prêches des sectaires ; contre Philippe Gottran, sectaire, qui, malgré le pardon qui lui avait été accordé, avait cessé de fréquenter l'église, et, conservant une rancune cachée au curé d'Armentières des admonestations que celui-ci lui faisait pour l'induire à rentrer dans le bon chemin, avait formé le projet de tuer ledit curé, projet qu'il n'avait pu mettre à exécution parce que le peuple y avait mis obstacle ; contre Jean Boidin, "coustumier de doy enboire et ennyvrer," accoutumé aussi de tenir des propos scandaleux contre la sainte foi catholique, les sacrements et le service divin, outre ce "affecté nonseullement aux sectaires, mais signament du prince d'Orenge et ceulx qui se qualliffient gheulx, voires que ledict Boidin se est souvent vanté qu'il estoit gheulx, criant Vive le gheulx ! Et, à cest effect, a mis puis naguères ung boutton orenge à sa poictrine et cryé : Vyve Orenge !" 29 septembre 1572.
Elus au Conseil municipal : broches.
Monnaies, affaires diverses.
Circulaires réclamant des états offrant le chiffre de la population, le montant des octrois et des dettes, la nature des biens, les produits du sol, les enclavements, les droits de péage.
Rentes.
Constitution de rentes par les échevins d'Armentières, en vertu des lettres d'autorisation de Philippe d'Egmont, prince de Gavre, seigneur d'Armentières, au profit de divers bourgeois, en garantie des sommes par eux avancées à la ville pour le paiement des ouvrages de fortification.
Usines, manufactures, commerce.
Requête de deux particuliers à l'effet de pouvoir prendre à Armentières des établissements de charpentiers, 1699. Requête du sieur Jean-François Prévost, imprimeur-libraire à Armentières, pour obtenir que la ville continue à lui payer la subvention annuelle de 60 florins qui lui a été accordée en considération des frais considérables que lui a coûtés son établissement dans ladite ville, 1747. Circulaire des baillis des États de Lille pour propager la culture de la garance : les baillis des États indiquent les primes qui seront accordées à ceux qui cultiveront cette racine à condition de justifier non-seulement de la plantation, mais aussi de la vente de leurs garances, 1751. Requête présentée à l'intendant de Caumartin pour lui exposer les dommages et le préjudice du commerce, et tout spécialement celui des fabriques d'huiles, souffre par suite des vexations dont les marchands de Bailleul, de Neuve-Église et des environs sont l'objet de la part du fermier du mesurage des grains à Armentières, 1758.
Monnaies, affaires diverses.
Déclaration des prairies inondées de la paroisse d'Armentières. Dépositions des propriétaires demeurant à Armentières touchant les pertes qu'ils ont éprouvé par suite des dégâts commis par les troupes en 1677.
Complexe sportif, de détente et de loisirs Léo Lagrange, stade des près d'Houplines. - Construction d'un deuxième gymnase : avenant, plans, dossier technique d'étude, délibération, décompte définitif, devis descriptif estimatif, procès-verbal de réception.
Recensement de population : feuilles de fépouillement par logements.
Logements militaires, passage de troupes, fourniture de bois, paille, fourrage, réquisitions.
Les échevins d'Armentières demandent aux États de Lille de vouloir bien prendre une décision "sur les difficultés qu'ilz trouvent au fait du logement de leurs soldatz." Règlement "quy s'observera en la levée des nouvelles compaignies d'infanterie wallonne de Leurs Altèzes dont faire présentement." Déclaration "de ce que se donnera aux recrues des compaignies d'infanterie wallonne que Leurs Altèzes font faire présentement." Les chefs, trésorier-général et commis des finances mandent au gouverneur de Lille que la châtellenie de Lille ayant été désignée comme lieu de formation des compagnies d'infanterie de Gérard de la Derriere, de Charles Du Chastel, seigneur de Turigny, de l'amiral de Mol et de Charles de Lannoy, il devra se conformer au tarif qu'ils indiquent pour la solde des nouvelles recrues. Accord entre le comte de Montécuculli, membre du conseil de guerre de Sa Majesté, mestre de camp d'un tercio d'infanterie italienne, gouverneur de la ville d'Armentières et postes en dépendant, d'une part, les lieutenant de bailli, mayeur et échevins d'Armentières, d'autre part, pour prévenir toutes discussions qui pourraient surgir entre les bourgeois et les gens de guerre de la garnison.