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Assistance publique : Bons-Fils.

GG 112 , 1685-1761  

Constitution d'une rente au profit des Frères du tiers-ordre de Saint-François à Bergues par Jean Hoornaert. Acte par lequel frère Alexis Lemahieu, supérieur de la famille d'Armentières des Frères du tiers-ordre de Saint-François, promet de remplir les charges imposées à sa maison par la fondation de frère Jean Millhomme, 1696. Don par Pierre Dumetz aux Frères du tiers-ordre de Saint-François à Armentières, de douze cents un quarteron de terres et prés à Armentières et à Erquinghem, avec les autres biens meubles et immeubles, or et argent, qu'il laissera au jour de son trépas, 1696. Abandon par François Colle, marchand, aux Bons-Fils d'Armentières, du tiers d'une maison située en cette ville à la condition de prendre à leur charge " l'alliment, entretien et establissement de Louis Odent, débile d'esprit " dont ledit François Colle est tuteur, 1698. Constitution d'une rente par Thomas Becquet au profit des Bons-Fils d'Armentières. Bref du pape Clément XIII par lequel il accorde une indulgence plénière aux fidèles qui, étant en état de grâce, visiteront, le jour de la fête de saint Joseph, l'église des Frères du tiers-ordre de Saint-François à Armentières, et y prieront aux fins ordinaires de l'église, 1761.

Assistance publique : Bons-Fils.

GG 114 , 1627-1781  

Lettres et papiers concernant les biens de Bons-Fils d'Armentières situés en la paroisse de Nieppe, sous les seigneuries d'Oosthove et Van den Houtte : lettres d'achat et de ventes, actes de reliefs, baux, etc.

Assistance publique : Bons-Fils.

GG 116 , 1723-1781  

Procès verbaux de visites faites dans la maison forte des Bons-Fils par es échevins en vertu de leur droit de police, lequel leur a été contesté par ces religieux en 1731 et 1732, et par l'intendant de Flandre en 1781. Plaintes formulées contre frère Martin Burette, supérieur de la maison des Bons-Fils d'Armentières, par le sieur de Gayaffa et le chavalier de Cernay, détenus. Ordres de transfert et correspondance concernant les détenus. Enquête faite par les grand-bailli et les délégués des échevins d'Armentières en la maison des Bons-Fils, sur l'avis qui leur avait été donné que l'épouse du sieur Le Breton, gentilhomme de Douai, enfermé aux Bons-Fils en vertu des lettres de cachet du roi, mangeait journellement avec lui, ce qui est contraire à l'usage et aux bonnes règles : ils enjoignent au frère Antoine Lefebvre, supérieur, de veiller à ce qu'aucun de ses pensionnaires n'ait en sa possession couteau, ciseau ou autre objet pouvant faciliter une évasion, 1746. Noms des personnes détenues en la maison des Bons-Fils d'Armentières : Jacques-Louis Le Comte Thomassin, de Douai, Erasme Du Belloy, Antoine de Corbaumont, dom Placide, religieux de l'abbaye de Saint-Saulve, Noël-Philippe de La Hamaide, de Tournai, dom Joseph Roland, de Valenciennes, le chevalier de La Lobbe, dom Pierre Vanstrude, de Saint-Maur, le baron d'Assignies, etc., 1747. Commission donnée par Jean Moreau, seigneur de Séchelles, intendant de Flandre, au sieur d'Haffrengues, son subdélégué à Lille, pour visiter, quand bon lui semblera, la maison des Bons-Fils d'Armentières, 1747. Lettre écrite au nom de l'intendant par le sieur Massart aux échevins d'Armentières pour leur demander un mémoire sur la juridiction qu'ils prétendent avoir en ce qui concerne la maison de force ; les échevins d'Armentières, en réponse à cette lettre, envoient copie de cinq documents tendant à établir leur droit, comme agents du comte d'Egmont, seigneur haut justicier, sur l'administration de la maison tenue par les Bons-Fils, 1749. Pièces relatives à l'admission, dans la maison des Bons-Fils, de Jean-Noël Loubert, pour cause d'ivresse, et d'Adrien Barbage, frère du père Césaire Barbage, récollet de la province de Lille.

Assistance publique : Bons-Fils.

GG 113 , 1639-1730  

Ventes aux Bons-Fils d'Armentières : d'une maison située rue des Bourgeois, par Jacqueline Lefebvre, veuve de Pierre de Gavre ; de trois quartrons d'héritage joignant à la maison desdits Bons-Fils par Pierre Odent ; de deux maisons à front de la rue des Capucins, alias des Bourgeois, par Bauduin Lhermitte, marchand et échevin d'Armentières, agissant comme administrateur de la maison des orphelins mâles de ladite ville, fondée par Jean Stappart, bourgeois de Lille, 1671 ; de quatre cents de pré par Péronne Legroul, veuve de Jacques Boursette ; de deux maisons à Estaires ; d'une maison rue des Bourgeois, par François Hullin ; d'une maison faisant le coin de la rue d'Arras et de la rue des Bourgeois, par Thomas Becquet ; de deux autres maisons rue d'Arras par Jean-Baptiste Lansart et Jacqueline Becquet ; de neuf cents de terre tenus de la seigneurie de Carnin par Alexandre Legrand ; de deux bonniers trois cents de terre sis à Warneton par Elisabeth Nory, Jean-François Gombert et Jacqueline Vanacker ; de dix cents soixante verges de terre à Armenières par Pierre-François Destieu.

Assistance publique : Bons-Fils.

GG 115 , 1696-1764  

Quittances de droits seigneuriaux, reçus divers, copies d'actes, etc.; concernant les biens de Pierre Du Metz, lesquels sont devenus la propriété des Bons-Fils d'Armentières. Bail de deux maisons situées rue d'Arras. Attestation de plusieurs habitants d'Armentières touchant la propriété d'une allée en la rue d'Arras, commune à plusieurs petites maisons dont les fonds appartiennent aux Bons-Fils d'Armentières. Rapports et dénombrements des terres tenues de la seigneurie de Carnin par les Bons-Fils d'Armentières. Convention entre les exécuteurs testamentaires de feu Pierre Bucquet, sieur de Beauregard, et la congrégation des Bons-Fils d'Armentières, touchant l'échange d'une maison rue d'Arras contre des terres situées à la Chapelle-d'Armentières. Inventaire, fourni par les Capucins d'Armentières aux officiers fiscaux de la Gouvernance de Lille, dans le débat soulevé entre eux et les Bons-Fils de ladite ville " au subject du nouveau cloistre nouvellement érigé " par ceux-ci près du couvent des Capucins, 1671 ; lettre des échevins d'Armentières au prieur des Capucins de cette ville : ils ont vu, disent-ils avec déplaisir qu'il s'est élevé un différend entre eux et les Bons-Fils d'autant plus que ces derniers sont prêts à faire boucher les vues qu'ils ont pratiquées, à leur nouveau bâtiment, sur le couvent de Capucins, d'ailleurs sans aucune intention d'offenser ceux-ci ; les échevins témoignent le désir que cette bonne disposition d'une des parties puisse mettre un terme au procès intenté aux Bons-Fils qui ont conquis l'estime de tout le monde par leur vie exemplaire, leurs bons exemples et la bonne instruction qu'ils donnent à la jeunesse. Requête présentée par les Bons-Fils au Magistrat d'Armentières, afin d'être autorisés à reconstruire leur maison sur l'alignement de la grande porte d'entrée du jardin des Capucins, 1764. Assignation à comparaître devant les échevins d'Armentières notifiée à Jacques Charlet, à la requête des Bons-Fils.

Assistance publique : Dames de la charité des pauvres malades.

GG 117 , 1682-1775  

Acte d'établissement de la confrérie des Dames de la charité des pauvres malades de la ville d'Armentières par Mgr Gui de Rochechouart, évêque d'Arras, " faisant une célèbre mission à Armentières, avec un grand nombre de vertueux et zélés ecclésiastiques ", de concert avec M. Moloy, pasteur d'Armentières et les prinicpales bourgeoises de cette ville, septembre 1682. Testament de M. Moloy, doyen de chrétienté, curé d'Armentières, par lequel il abandonne ses biens à la maison des Dames de la charité des pauvres maladesqu'il a fondé en la rue des Pourceaux, 16 août 1694. Vente audit sieur pasteur Moloy, de deux maisons en la rue des Pourceaux, pour servir à la confrérie des Dames de la charité des pauvres malades, 1694. Testament de Jean-François Theste, par lequel il donne aux pauvres d'Erquinghem-sur-la-Lys et à la confrérie de la Charité des pauvres malades de la ville d'Armentières, qui se les partageront par portion égale, huit cents de jardin " desricquis " situés à Erquinghem, 1729. Décisions prises par les Dames de la charité dans l'assemblée qui fut tenue chez M. Le pasteur d'Armentières le décembre 1718. Procès-verbaux d'élection des dames supérieure, boursière, lingère, etc., de la société des Dames de la charité des pauvres malades de la ville d'Armentières, 1775-1789. Quittances des droits d'amortissement payés par la confrérie des Dames de la charité des pauvres malades d'Armentières pour la donation Theste et pour celle d'une rente de 12 florins faite par Marie-Appoline Degruson, pouse de Michel Devoole, 1742.

Assistance publique : l'hôpital de Sainte-Catherine de Sienne.

GG 93 , 1562-1573  

Donation faite à l'hôpital nouvellement érigé et construit à Armentières, hors le pont de Flandre : par Jean Le Candele, d'une rente de 37 l. 13 s. ; par Péronne Lecourt, veuve de Joachim Legrand, d'une rente de 28 s. ; par Michel Laigniel, receveur d'Armentières, d'une rente de 48 s. ; par Georges Vinchent, d'une rente de 30 s. Lettre écrite par les échevins d'Armentières à l'abbé deCrespin, exécuteur testamentaire de dame Hélène de Croy, douairière de Fiennes, touchant le legs de 4000 fl. Carolus fait par cette dame à l'église paroissiale et à l'hôpital d'Armentières pour la fondation de messes et l'entretien de deux lits, 1570. Titre d'une rente appartenant à l'hôpital et assignée sur un bien à Quesnoy-sur-Deûle.

Assistance publique : l'hôpital de Sainte-Catherine de Sienne.

GG 91 , 1560-1574  

Lamoral d'Egmont, prince de Gavre, seigneur d'Armentières, sur la requête des ministres de la table des pauvres de cette ville, lesquels lui ont représenté qu'ils "avoient intention de y fonder et érigier ung hospital pour y recepvoir gens anchiens, cartriers et maladieux, quy ne se peuvent aidier, ne ayans puissance de plus ouvrer ny (par povreté) de quoy eulx entretenir, pour à quoy furnir pluissieurs bonnes gens avoient bonne dévotion et estoient fort affectez de y donner et aulmosner largement de leurs biens ", autorise l'acquisition de cinq petites maisons gisant à front de la place outre le pont de la Lys, tenant par derrière à la becque et cours d'eau descendant de la rivière du côté de la cense de la Motte, pour y établir le nouvel hôpital, 18 mars 1560. Catherine Le Pippre, veuve de Henri de Heulle, ayant, " à cause de la bonne affection et piété qu'elle avoit envers les povres annchiennes gens débiles et chartriers " de la ville d'Armentières, présenté aux bailli et échevins une requête afin de les "induire" à entreprendre l'érection d'un nouvel hôpital, lequel est commencé hors du pont de la Lys, déclare que, voulant de son côté concourirà l'avancement de cette oeuvre pieuse, elle a fait don à la nouvelle maison des objets suivants : trois couches avec gourdines (rideaux), trois lits, trois parqueneschs et trois oreillers remplis de plumes, six paires de lincheulx (draps), trois couvertoirs et trois sacs de balle, deux lettres de rente. De plus, pour la chapelle qui sera érigée dans le nouvel hôpital, "désirant décorer icelle pour y estre chélébré par chacun dimenche de l'an, perpétuellement et à tousjours, une basse messe et eauwe benoite, tant saulf que le dimenche de la didicasse de la ville d'Armentières ladicte messe et eauwe benoite debvera estre chantée avecq diacre, soubdiacre et coriste, et au soir ung salve, icelle comparante a donné et promis délivrer ausdis ministres, incontinent que ladicte chapelle sera érigée et faicte, ung drap d'autel, une nappe, une serviette, une aube, une casuble et aultres menutez nécessaires à revestir le prebstre prest à dire messe, ung callice, platelet, louchette et aultres choses nécessaires à icelluy calliche, bourse et corporal, ung chandelier d'arrain, ung bénitoir aussy d'arrain, avecq l'esperge, une clochette pour sonner ladicte messe et une petite clochette pour sonner à la levée du Corpus Domini", 1561. Catherine Le Pippre augmente sa donation de trois couvertoirs blancquets pour couvrir les trois lits par elle donnés, de trois chemises, trois draps de ventre, trois essuïoirs de main, trois serviettes, trois coeuvrechief de nuict, trois plats, trois écuelles, trois cuillers, trois sauciers et trois gobelets d'étain, trois pintes en pierre avec couvercle d'étain, trois paires de taies d'oreillers. En outre, pour la chapelle, elle ajoute une nappe d'autel, un linge pour couvrir l'autel, une kicaudine (quicaudaine) de cuivre servant de bassin au chapelain pour se laver les mains, et un plat d'étain, 9 avril 1565. La même Catherine Le Pippre, "pour la bonne amour, dévotion et piété qu'elle avoit vers la chapelle et nouvel hospital de Saincte-Catherine en ceste vile d'Armentières et affin que les povres anchiennes gens débilles et cartriers quy journellement sont oudit hospital soient mieux nourris et allimentez, donne audit hôpital treize cents une verge d'héritage, contenant maison et jardin, à front de la rue du Crachet et quatre cents de prés tenus de la seigneurie de Saint-Simon, "ladicte donation faicte à condition expresse que les ministres dudit hospital seront tenus, incontinent l'expiration des droix de censse (à présent courans), faire paistre ledit gardin par trois vaches appartenans audit hospital, et emploïer le foeure et wauneau dudit pree à la nourriture desdictes vaches, et, ad ces fins, enclore desdis foeure et wauneau en quelque lieu dudit hospital, lesquelles vaches lesdis ministres seront tenus de garder, nourir et entretenir tant d'hyver que d'esté, dont le lait et bure procédant desdictes vaches, ensamble les fruictz venans des arbres dudit gardin, lesdism inistres seront tenus emploïer à la nourriture et alliment desdictes povres anchiennes gens quy y seront sans par iceulx ministres en pooir riens vendre ne aliéner ne baillier desdis gardin et pret ou portion d'iceulx en louaige ou arrentement". La donatrice ajoute à ses libéralités le don d'une somme de 120 liv. "à l'advanchement desdtesi trois vaches ", 1574. Vente, par Thomas Mariage, aux ministres du nouvel hôpital d'Armentières, d'une place et héritage vide gisant à front de la grade place outre le pont de la Lys. (Cette pièce porte au dos la mention suivante : "lettre d'achat de nostre hospital"), 1563.

Assistance publique : l'hôpital de Sainte-Catherine de Sienne.

GG 92 , 1564-1565  

Loterie pour la construction de l'hôpital de Sainte-Catherine de Sienne à Armentières : " S'enssieult la recepte des lotz faicte en la ville de Lille par Guillaume de le Lys, greffier criminel de ladicte ville, pour la lotterie de l'hospital en la ville d'Armentières ", commençant au n°42 001 et finissant au n°43 896 : " Jehenne Damiens je m'appelle, quy aime l'argent en vaisselle, s'en m'en apporte à l'abbaye de Marquette-Lez-Lille, je me tiens sans estre nonnette, pour XIIII lotz, VII l. IIII s. N°42 086 jusques 42 099 ". " Magdelaine de Cottignies se recommande à Dieu et à le Vierge Marie, sy elle a quelque chose elle en sera bien jolie. Demourant au Béghinaige à Lille, I lot, XII s., n° 42 126 ". " Henry Caulier, hoste de le cloche, se il a le maistre pris il balochera avecq ses cloches. Par Lille, pour VIII lotz, IIII l. IIII s.". " Dictes-moy sy Estienne Le Mieulvre, aura le pris ou grosses fieubvre. Orphebvre à Lille, pour IIII lotz, XLVIII s. N° 42 922 à 42 925 ". Total de la recette, déduction faite de la dépense : 956 l. 17 s. 6 d. " Déclaration de la recepte de la lottrie de l'hospital des gens povres et impotentes caducques personnes en la ville de Armentières commenchant le jour de Sainct-Remy de l'an XVIe soixante quatre et finant le Ixe jour de septembre Xve soixante concq " faite en la ville de Douai par Gilles Scocquefebvre, concierge de la maison échevinae de cette ville, et en la seigneurie de Neuve-Eglise par Cocquyts : " A Liennore Tassart, fille d'un painctre, demourant à Douay, I lot, VI pattars, n°XLVIIIM XXXVIII ". " Donnez quelque chose de bon, à Magdelaine fille de Jehan Sameon, ce sera pour les faire rire : se Dieu les voeult aidier, nul ne les poeult nuire ; à Douay, I lot, VI pattars, n°XLVIIIM IIIe IIIIXX IX ". Recette dans Douai : 281 fl. 19 pat.

Assistance publique : l'hôpital de Sainte-Catherine de Sienne.

GG 95 , 1720-1782  

Différend entre les administrateurs des biens de l'hôpital des chartriers à Armentières et Bon Hage, demeurant à Lambersart, au sujet de la succession de Christophe Vande Walle, prêtre, chapelain de Harlebeke, que l'hôpital réclamait parce que le père dudit Christophe, héritier des biens de celui-ci, était mort dans ledit hôpital. Règlement fait par les grand-bailli, mayeur et échevins d'Armentières pour remédier aux abus qui se sont introduits dans l'hôpital des vieux hommes et vieilles femmes, 1739. Collation d'une place dans l'hôpital des vieux hommes à Armentières, par dame Marie-Philippe-Albérique du Chastel, comtesse de Blangelval, au profit du sieur Braiette, 1739. Lettres du roi Louis XVI attribuant à l'hôpital d'Armentières les bâtiments du collège de cette ville, supprimé par arrêt du 1er mai 1782, à la condition que ces bâtiments seront affectés audit hôpital, dont l'emplacement est trop restreint et la situation fort malsaine et incommode, septembre 1782.