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Voirie, constructions, réparations, édifices publics, cimetière.

DD 50 , 1510-1779  

Convention entre les marguilliers de l'église paroissiale et Matthieu Le Grant, touchant la reconstruction du mur de clôture du cimetière "depuis la treille par où l'on vient de l'église ou marché allant jusques au fossé qui vient de la rivière du Lys". Signification faite par le lieutenant du bailli de la ville d'Armentières aux échevins de cette ville qu'ils ont porté atteinte aux droits conférés par la coutume aux seigneurs hauts-justiciers en permettant à Jean-Baptiste Delarre d'établir une nochère donnant sur le cimetière pour l'écoulement des eaux de sa brasserie. Requête de Thomas Rogeau tendant à obtenir l'autorisation de prendre, sur le cimetière d'Armentières, l'entrée et la sortie de deux maisons qu'il a l'intention de faire construire ; apostille favorable. Ordonnance des échevins portant que le sieur Six, marguillier de la paroisse d'Armentières, fera vendre les arbres croissant sur le cimetière à raison "de ce qu'ils fonr une grande obscurité dans l'église," et aussi "parce-que leur situation est un danger permanent pour ladite église, à cause des vents". Le sieur de Casteele, procureur général au Parlement de Flandre : mande aux échevins d'Armentières de lui adresser un relevé du nombre des décès de leur paroisse depuis dix ans, année après année, avec un plan figuratif et géométrique du cimetière, afin de rendre compte à la cour de sa suffisance ou insuffisance ; engage les bailli, mayeur et échevins d'Armentières à s'occuper du choix d'un terrain qu'il faudra acquérir pour l'érection du nouveau cimetière : il leur démontre la nécessité qu'il y é de s'occuper de cette affaire sans retard, le cimetière actuel étant réellement insuffisant vu le nombre de décès (245) qui se produisent chaque année en la ville d'Armentières.

Clergé séculier : église paroissiale, chapelles et confréries.

GG 21 , 1691-1781  

Requête des échevins d'Armentières à l'évêque d'Arras touchant le refus, fait par le décimateur de la paroisse d'Armentières, de fournir le traitement de deux chapelains qui sont nécessaires pour le service de l'église. Cause entre les évêque, prévôt, doyen et chapitre cathédral d'Arras et les échevins d'Armentières, au sujet des réparations de la maison presbytériale. Avis d'avocats touchant la nécessité de faire un nouveau tarif des droits et honoraires que pourront s'attribuer, pour les services, convois et enterrements, les curé, vicaires, horistes, coutre, serpentiste, enfants de choeur, fossoyeur et autres personnes attachées à l'église d'Armentières. L'évêque d'Arras autorise le curé d'Armentières à suivre, pour le paiement desdits honoraires, les dispositions indiquées dans le chapitre III du règlement porté à ce sujet par ledit évêque le 7 janvier 1781.