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Délibérations du Magistrat, des baillis et échevins d'Armentières.

BB 2 , 1708-1750  

Déclaration à faire par les manants et habitants des foins et fourages qu'ils ont en réserve. Condamnation de deux sergents. Empiétement commis par deux officiers du baillage de Lille qui sont venus juger en la ville d'Armentières. Construction d'un nouveau pavé d'Armentières à Fleurbaix. Vente d'arbres. Abandon des poursuites dans l'affaire de la suppression des quatre confréries assermentées d'Armentières. Démolition des écluses et tenues d'eau situées derrière le moulin de la porte d'Arras. Amendes encourues par les mayeurs et échevins qui n'assistent pas aux séances du Magistrat. Réparation des pavés. Destitution de leurs fonctions de trois brouetteurs et un porteur de sac pour refus d'obéïssance et mauvais propos. Interdiction pour les gens de lois de tenir leurs assemblées dans le salon de la chambre échevinale. Choix de nouveaux ministres de la table des pauvres. Transport des grains sur la rivière de la Lys. Obligation pour les confréries de présenter leurs statuts. Emplacement du tombeau de Jacques de Luxembourg et remplacement par celui du comte d'Egmont mort à Annappes en 1743.

Clergé séculier : église paroissiale, chapelles et confréries.

GG 20 , 1722-1764  

Obligations et droits du coutre (sacristain) de l'église d'Armentières. Le sieur Vahé, curé d'Armentières, expose aux échevins que Pierre-Paul Delebecque, âgé de quinze ans, qui est recommandé pour la place de bailli ou bedeau de l'église, est notoirement incapable d'exercer ces fonctions ; les échevins décident que le sujet proposé exercera seulement ses fonctions dans les cas peu importants, « tels que porter les vins, allumer les cierges, etc. ». Supplique du sieur Jacques Fissier, maître de l'école des pauvres enfants d'Armentières, à l'effet d'obtenir pour son fils la place de « serpent » de ladite ville. Requêtes pour obtenir le poste de maître de musique de l'église paroissiale d'Armentières. Lettre du sieur Huhuet, intendant de la maison d'Egmont, touchant les raisons mises en avant par les échevins d'Armentières pour ne nommer personne à la place de maître de musique, qui est vacante ; « la suppression de cet emploi serait pour la ville une sorte d'indécence et d'avilissement » ; réponse des échevins dans laquelle ils exposent que leurs raisons sont en partie fondées sur l'insuffisance des revenus de la fabrique, et aussi sur ce que cette dépense ne devrait pas être supportée par la ville. Différend entre Me Antoine-François Delangle, prêtre et chapelain de l'église collégiale de Saint-Pierre de Lille, et le sieur Marc Caudry, lieutenant-bailli d'Armentières, au sujet de l'office de maître de musique que ledit Delangle avait accepté des échevins et ensuite refusé. Lettre de recommandation pour Jean-François Cousin, capable d'exercer une place parmi les musiciens de l'église paroissiale, tant pour le violon que pour la voix. Supplique du sieur Eugène Remmery aux échevins d'Armentières, pour obtenir la place d'entrée de choeur de la paroisse dont jouissait le sieur Lutun ; apostille favorable.