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Assistance publique : l'hôpital de Sainte-Marie ou des Bleuettes.

GG 100 , 1669-1789  

Bail de biens à Nieppe et à Steenwerck, appartenant à l'hôpital de Sainte-Marie d'Armentières. Autres baux de biens appartenant au même hôpital. Convention entre la prieure de l'hôpital Sainte-Marie et Ignace Boussemart, touchant deux maisons situées rue d'Arras qui leur appartiennent respectivement.

Assistance publique : Table du Saint-Esprit ou des pauvres.

GG 120 , 1540-1543  

Transport au profit de la table et charité des pauvres de la ville d'Armentières : d'une rente afin de satisfaire aux dispositions du testament de feu Jean Lagache, à charge d'un obit anniversaire, 1540 ; d'une autre rente en exécution du testament de Pierre Du Four, bourgeois d'Armentières, 1541 ; d'une rente de 100 sols par Eloi Bacler, à charge d'un obit, 1543 ; d'une partie de maison à usage de cabaret sous l'enseigne du Loscart à Armentière par Lambert Barbion, 1540. Procuration donnée devant les bourgmestre et échevins de Bruges par Olivier de le Frelye, bourgeois et drapier de cette ville, à Nicolas Boullen et consorts, à l'effet de poursuivre le paiement d'une somme de 24 livres parisis qui lui est due par un bourgeois d'Armentières, somme dont ledit Olivier fait don aux pauvres de cette dernière ville, 1540.

Assistance publique : l'hôpital de Sainte-Catherine de Sienne.

GG 92 , 1564-1565  

Loterie pour la construction de l'hôpital de Sainte-Catherine de Sienne à Armentières : " S'enssieult la recepte des lotz faicte en la ville de Lille par Guillaume de le Lys, greffier criminel de ladicte ville, pour la lotterie de l'hospital en la ville d'Armentières ", commençant au n°42 001 et finissant au n°43 896 : " Jehenne Damiens je m'appelle, quy aime l'argent en vaisselle, s'en m'en apporte à l'abbaye de Marquette-Lez-Lille, je me tiens sans estre nonnette, pour XIIII lotz, VII l. IIII s. N°42 086 jusques 42 099 ". " Magdelaine de Cottignies se recommande à Dieu et à le Vierge Marie, sy elle a quelque chose elle en sera bien jolie. Demourant au Béghinaige à Lille, I lot, XII s., n° 42 126 ". " Henry Caulier, hoste de le cloche, se il a le maistre pris il balochera avecq ses cloches. Par Lille, pour VIII lotz, IIII l. IIII s.". " Dictes-moy sy Estienne Le Mieulvre, aura le pris ou grosses fieubvre. Orphebvre à Lille, pour IIII lotz, XLVIII s. N° 42 922 à 42 925 ". Total de la recette, déduction faite de la dépense : 956 l. 17 s. 6 d. " Déclaration de la recepte de la lottrie de l'hospital des gens povres et impotentes caducques personnes en la ville de Armentières commenchant le jour de Sainct-Remy de l'an XVIe soixante quatre et finant le Ixe jour de septembre Xve soixante concq " faite en la ville de Douai par Gilles Scocquefebvre, concierge de la maison échevinae de cette ville, et en la seigneurie de Neuve-Eglise par Cocquyts : " A Liennore Tassart, fille d'un painctre, demourant à Douay, I lot, VI pattars, n°XLVIIIM XXXVIII ". " Donnez quelque chose de bon, à Magdelaine fille de Jehan Sameon, ce sera pour les faire rire : se Dieu les voeult aidier, nul ne les poeult nuire ; à Douay, I lot, VI pattars, n°XLVIIIM IIIe IIIIXX IX ". Recette dans Douai : 281 fl. 19 pat.

Clergé séculier : église paroissiale, chapelles et confréries.

GG 18 , 1724-1750  

Détail des réparations à faire aux orgues de l'église paroissiale d'Armentières par les facteurs Mathieu Leroy, Toussaint Durant et de Lespine, de Lille. Avis d'avocats sur la question de savoir si les mayeur et échevins de la ville d'Armentières sont fondés à attraire les gens de loi de la paroisse d'Armentières, pour les forcer à contribuer aux frais des réparations des orgues et de la couverture de l'église. Michel de Voole, organiste de la paroisse d'Armentières, fait valoir au Magistrat la nécessité qu'il y a de profiter de la présence à Armentières du sieur Durand, facteur d'orgues, pour faire réparer les orgues de l'église. Requêtes pour obtenir la place d'organiste d'Armentières. Inventaire de pièces de musique « trouvées au doxal de l'église paroissiale d'Armentières. »

Assistance publique : les Soeurs-Grises hospitalières.

GG 89 , 1504-1627  

Lettres des bailli et échevins d'Armentières relatant la fondation de la maison des Soeurs-Grises hospitalières : en mai 1482, Jacques de Luxembourg, voyant la ville d'Armentières brûlée et inhabitée à cause des guerres, et mû de compassion à la vue de la désolation qui régnait dans l'hôpital situé alors hors da porte d'Arras, mit cette maison en la main des ministre des pauvres de la ville et forma le projet d'y placer des religieuses hospitalières. Mais, à la faveur des troubles régnants et du décès de Jacques de Luxembourg, le désordre s'introduisit de nouveau dans l'hôpital. En janvier 1493, Jean Mallebrancque, natif d'Armentières et serviteur dudit hôpital, "meu de carité", se transporta vers Jacques de Luxembourg, fils et successeur du précédent, lui exposa la triste situation dans laquelle se trouvait ladite maison et en sollicita pour lui la direction, ce qui lui fut accordé. Muni de l'autorisation dudit Jacques et de la douairière de Fiennes, sa mère, Jean Mallebrancque acquit à l'intérieur de la ville un héritage sur lequel il transféra l'hôpital et affecta les bâtiments anciens à une école de jeunes filles ; ensuite (en juillet 1494), il s'occupa d'y placer des religieuses, ce qu'il obtient de frère Thibaut Rouzée, religieux de l'ordre de Saint-François, visiteur des filles hospitalières de cet ordre, avec l'assentiment de la dame de Fiennes. Les religieuses furent donc installées et elles y ont été jusqu'à ce jour que Jean Mallebrancque et Agnès Roussel, sa femme, se sont transportés, accompagnés de Marguerite de Rozimboz, maîtresse de l'hôpital, des échevins et d'une partie de la communauté d'Armentières, au château d'Erquinghem, vers la dame de Fiennes, et ont fait devant elle abandon à la communauté desdites soeurs hospitalières des locaux et édifices de l'hôpital en indiquant la manière dont elles auraient à se conduire pour remplir les intentions charitables des fondateurs, 7 juillet 1504. Transport fait par Toussaint Desbarbieux, seigneur des Pretz, Toussaint Desbarbieux, son père, seigneur de Salomé, et Jean de Lannoy, seigneur des Plantis, exécuteurs testamentaires de Jacqueline Lermitte, fille d'Antoine, veuve de Josse Cuignet, demeurant à Lille, aux Soeurs-Grises hospitalières d'Armentières, pour suivre les intentions manifestées par ladite dame dans son testament en date du 30 janvier 1627, de divers titres de rentes sur la ville d'Armentières représentant un revenu annuel de 1200 fl. Cette somme devra être employée " à l'instruction de douze povres enffans, soient filz ou filles, de la ville d'Armentières, tant en a crainte de Dieu que lecture et escripture, ensamble à couldre et faire aultres ouvraiges convenables à leur sexe et eaige ", 12 mai 1627.

Assistance publique : Table du Saint-Esprit ou des pauvres.

GG 135 , 1608-1718  

Queritur sur la question de savoir si la table des pauvres d'Armentières peut se dessaisir de biens féodaux à elle légués par la veuve de Gilles Lagache, 1608. Nicolas Van Decle, bourgeois d'Armentières, reconnaît devoir une somme de 372 livres parisis à la table et charité des pauvres de cette ville, 1692. Les échevins d'Armentières reconnaissent avoir vu un acte émané de l'abbé de Saint-Vaast d'Arras, qui décharge les pauvres d'Armentières de l'obligation de donner homme vivant et mourant à ladite abbaye pour une rente tenue d'elle à Fleurbaix, 1624. Réclamation des ministres de la table des pauvres d'Armentières au sujet d'un titre de rente que détient à leur préjudice le recteur des Jésuites du collège de Béthune, 1664. "Dupliques" pour les ministres des pauvres de la ville d'Armentières contre Me Pierre Wappenaert, au sujet d'une maison dont lesdits pauvres perçoivent indûment le loyer, XVIIe siècle. Protestation d'un particulier contre un bail passé irrégulièrement par les ministres des pauvres d'Armentières, 1728.

Assistance publique : Table du Saint-Esprit ou des pauvres.

GG 146 , 1716-1726  

Comptes des ministres de la table et charité des pauvres d'Armentières : "Recette des deniers levez des troncqs appartenans à ladite pauvretée posés en divers endroits de cette ville, comme aussy des pourchats faits les dimanches et festes en l'église des RR. PP. Capucins, Jésuites, Brigittins et autres, 737 l. 19 s. 6 d." 1723. "Au marguillier de ladite église, pour les droits des vins, luminaires et ornemens livrez aux obits pendant l'année 1724, 25 l."

Clergé séculier : église paroissiale, chapelles et confréries.

GG 31 , 1683-1710  

Comptes de l'église paroissiale d'Armentières : « A Albert Grenu, commis à chasser les cocquins de ladicte église IIIIxxXVI l. » 1693. Recette totale des années 1699 à 1704 : 8, 035 l. 8 s. 11 d. ; dépense : 6,746 l. 11 s. Remises faites à des fermiers occupant les biens de l'église pour inondations, pertes et fourragements qu'ils ont soufferts pendant les années 1706, 1707, et 1708, 514 l. 17 s.

Clergé séculier : église paroissiale, chapelles et confréries.

GG 27 , 1632-1641  

Comptes de l'église paroissiale d'Armentières : Recette totale du compte de 1632 et 1633 : 4,094 l. 15 s. 4 d. ; dépense : 4,270 l. 13 s. « Despens faictz lorsque on donna des jambons aux sonneurs estant venus en ceste ville des paroisses voisines pour mériter prix en sonnant les cloches nouvelles, x l. x s. » ; « à Ghislain Le Roux, pour avoir livré une paincture de verre représentant la face de Nostre-Dame, la mis ès verrières de l'église, VIII l. » ; « à Me Joseph Micelin et Me François de l'Epine, pour avoir refondu les deux plus grosses cloches de l'église, XVIcLXXIII l. x s. » 1634 ; « A révérende religieuse sœur Péronne Du Pré, maistresse des Soeurs-Grises hospitalières de cette ville, pour avoir faict six aubes, XIX l. x s. » 1640.

Assistance publique : Table du Saint-Esprit ou des pauvres.

GG 134 , 1638-1753  

Etat de la recette des biens donnés à la table et charité des pauvres d'Armentières par Jean Paterne et Eléonore Nollet, sa femme, 1638. Etat des dépenses faites pour les travaux de réparation de la cense des pauvres d'Armentières à Frelinghien, 1749. Partage de biens entre la tables des pauvres d'Armentières et celle de la Chapelle-Grenier. Chasserel des biens et revenus de la pauvreté d'Armentières, avec un état de ses charges ordinaires, pour une année commencée à la Saint-Jean-Baptiste 1752 et finie à pareil jour de l'année 1753.

Assistance publique : Table du Saint-Esprit ou des pauvres.

GG 141 , 1653-1657  

Comptes des ministres de la table et charité des pauvres d'Armentières : recette totale du compte de 1653-1654 : 8318 l. 4 s. 1 d. ; dépense : 10361 l. 19 s. 8 d. "Quant à la fondation de feu dom Jean de Hanne, en son vivant abbé de Warneston, faicte à l'hospital de ceste ville par chacun an le jour du Jeudy Saint, jour auquel se distribue à treize pauvres, leur aïant estez lavez le pieds par M. Le pasteur de ceste ville ou son chappelain, à chacun une pinte de vin et un pain blanc de quatre pattars et un patar en argent, a esté païé VI l. X s." 1655. "Quant à l'aulmosnaige en mouton aux deux obitz fondez par feu messire Louys Domicent, de la moictié d'ung mouton à chacun desdis obits, qui se répery en sept pièches, le plus égalles que faire se peult, et se distribue à sept pauvres y assistans, ensuite de la fondation, d'aultant que le coust desdictes deux moictiés de moutons sont compris dans la livraison de la chair doulce qu'ont faict lesdis ministres pour l'entretient et norriture des pauvres de l'hospital, iceulx ne se rapportent icy en mise, ains seullement pour mémoire" 1657.

Assistance publique : Table du Saint-Esprit ou des pauvres.

GG 118 , 1388-1438  

Jacques Pallée, prêtre, pour le repos des âmes de son père Jacques, de sa mère Claisse Thiébault et de lui, donne "à le fabrique del église et table du Saint-Espir (Saint-Esprit) d'Armentières", vingt sols de sous-rente annuelle assignée sur une maison située rue "du Glatigny", par tel manière et codition que les provisieurs et ministres de ledicte église et table du Saint-Espir seront tenus de faire faire l'obit et proyère une fois par an pour le salut des âmes des dessus nommés, auquel obit eulx proviseurs seront tenus de querre I cappellain, liquels célébera une messe et fera le proyère ainsi qu'il appertient, et debvera estre ledicte messe célébrée une fois caschun an, perpétuelment et à tousjours, et le prochain jour férial après le jour de la commémoration des âmes, et debvera havoir icilz capellains pour sen seellaire à dire le messe et faire le proyère chiuncq solds, et li coustes pour soner et aidier à ledicte messe douze deniers, et à ycellie messe seront tenus desdis proviseurs et ministres de liverer trois candeilles de chire de I denier le pièche et I denier mis en caschune pour aidier à ledicte messe et offrir, et douse deniers en pain pour ausmonner et départir as poveres", 10 novembre 1388. Thomas Ly Roides, bailli de monsr Pierre de Wychete, chevalier, chambellan du roi, seigneur de Raches, châtelain d'Orchies et seigneur d'"Arementières" en partie, et les hommes de fief dudit seigneur, assignent sur le fief du Gardin appartenant à Pierre Le Borgne, la rente annuelle de 10 livres que Jean Sorre a léguée aux pauvres d'Armentières, à ce présents et consentants "Jakemes Hocedés et Piérars Boucris, comme menistre et procureur à che commis deuement par le plus saine partie des boine gens delle ville et parrosse de Arementières de le tavle dou Saint-Esprit de ychelle ville et parrosse ", 2 mars 1394. Adhéritement conféré par les échevins d'Armentières en présence de François Le Koc, lieutenant de Guillebert de Carnin, écuyer, bailli pour le comte de Saint-pol, à Jean de Menin et ses hoirs, de deux lieux manoirs "plantés et herbegiés, marcissans d'un costé à la porte d'Arras et aux fossés de ladicte ville", qui ont été donnés audit Jean par Jacquemart Dommessent et Pierrotte Hernier, son épouse, "avec deux lis estoffés chascun d'un parkenet, ung couvertoir et unne perre de linceulx". Ledit don avait été fait à la condition "que ledit Jean Menin, sa femme, ses hoirs et aïans cause, debveront et serront tenus de herbergier èsdictes maisons et couchier èsdis lis les povres membres de Dieu, tant que lesdis lis serront plains, et ce faire tous les jours que requis en serront ". Il était, en outre, tenu de conserver "lesdictes maisons estaintes de pleuve et de solleil" et de "souffissaument maintenir et retenir lesdis lis, parkenés, couvertoirs et linceux. 3 En cas de non-accomplissement de ces conditions, Jean de Menin ou ses hritiers devraient être privés de ces deux maisons, lesquelles seraient alors donnés à la table des pauvres, 15 novembre 1438.

Clergé régulier : capucins.

GG 64 , 1658-1789  

Pièces concernant les Capucins d'Armentières : supplique à l'intendant et au bureau des finances de Lille pour faire accorder au Magistrat d'Armentières la permissionde concourir, pour 5 ou 600 liv., à l'agrandissement de l'église des Capucins. Don aux Capucins d'un saint suaire " de mesme forme et grandeur que celuy dans lequel a esté ensevelly le sacré corps de Nostre-Sauveur". Fragmen d'annales du couvent relatant la bénédiction d'une cloche en 1762, la bénédiction du cimetière et les dons faits par diverses personnes pieuses. Requête adressée aux maires et officiers municipaux d'Armentières "par un grand nombre" d'habitants de cette ville, afin d'obtenir que les Pères Capucins puissent continuer de demeurer à Armentières "pour le bien public et les intérêts politiques et moraux de la ville et des environs". Une note écrite à la suite de cette pièce dit qu'elle fut présentée dans les derniers jours de juin 1791 et elle ajoute : " Le département du Nord a accordé à la municipalité de ladite ville que quatre religieux resteroient au couvent d'Armentières pour le service de la paroisse. Mais il a été impossible que les quatre religieux y puissent rester, attendu qu'une nouvelle municipalité créée à nouveau les obligea à abandonner leur couvent par les menances d'un intrus nommé Medgy (curé constitutionnel), et s'en allèrent rester à Saint-Laurent, le 31 décembre de la même année".

Assistance publique : l'hôpital de Sainte-Catherine de Sienne.

GG 95 , 1720-1782  

Différend entre les administrateurs des biens de l'hôpital des chartriers à Armentières et Bon Hage, demeurant à Lambersart, au sujet de la succession de Christophe Vande Walle, prêtre, chapelain de Harlebeke, que l'hôpital réclamait parce que le père dudit Christophe, héritier des biens de celui-ci, était mort dans ledit hôpital. Règlement fait par les grand-bailli, mayeur et échevins d'Armentières pour remédier aux abus qui se sont introduits dans l'hôpital des vieux hommes et vieilles femmes, 1739. Collation d'une place dans l'hôpital des vieux hommes à Armentières, par dame Marie-Philippe-Albérique du Chastel, comtesse de Blangelval, au profit du sieur Braiette, 1739. Lettres du roi Louis XVI attribuant à l'hôpital d'Armentières les bâtiments du collège de cette ville, supprimé par arrêt du 1er mai 1782, à la condition que ces bâtiments seront affectés audit hôpital, dont l'emplacement est trop restreint et la situation fort malsaine et incommode, septembre 1782.

Clergé séculier : église paroissiale, chapelles et confréries.

GG 17 , 1653-1774  

Ordre aux anciens marguilliers de l'église d'Armentières d'avoir à payer au sieur Thomas Lefebvre la somme de 200 l. qui lui est due pour la refonte d'une des cloches. Requête de Michel Desremaux, maître charpentier, à l'effet d'être admis comme charpentier seul chargé des ouvrages et réparations du clocher de l'église d'Armentières, attendu qu'il a, pour une réparation faite récemment, fait l'achat de cordages et autres instruments qui ne lui peuvent servir que pour ces sortes de travaux. Requête des sonneurs de la paroisse d'Armentières à M. Goudemez, intendant de la maison d'Egmont, commissaire au renouvelllement de la loi de ladite ville, à l'effet d'obtenir une gratification. « Inscriptions qui se voient sur les cloches de l'église paroissiale d'Armentières : - 1° « En 1777, j'ai été bénite par Me P.-F. François, doyen-curé d'Armentières, nommée Henriette par Msg Casimir Pignatelli, comte d'Egmont, grand d'Espagne, chevalier de la Toison d'Or, lieutenant-général des armées du Roi, seigneur de cette ville, etc., etc., et par Henriette-Julie Durfort de Duras, comtesse douairière d'Egmont, mère, mes parrain et marraine, représentés en cette cérémonie, en vertu de procuration, par messire Fr. de Muyssart de Steenbourg, son grand bailly aux États de cette province, et dame M.-C.-J. De Francqueville, son épouse. » - 2° « En 1777, j'ai été bénite par Me P.-F. François, doyen-curé d'Armentières, nommée Michelle par Me P.-F. Goudemez, avocat, bailli de cette ville, et demoiselle Michelle-Catherine De la Croix, épouse du sieur C.-F.-J. Six, mes parrain et marraine. » - 3° « En 1777, j'ai été bénite par Me P.-F. François, doyen-curé d'Armentières, nommée Catherine par MM. C.-F.-J. Six, mayeur, P. Boisin, Rouzé, P.-C.-J. Bayart, Maniez, Domicent et Alb. Vanoye, échevins en exercice de la ville d'Armentières, et demoiselle Catherine-Thérèse Alexandre, épouse dudit sieur P. Boidin, mes parains et maraine. » - 4° « En 1777, j'ai été bénite par Me P.-F. François, doyen-curé d'Armentières, nommée Isabelle par Siméon Vanoye et Antoine Sloovere, marguilliers en exercice, et demoiselle J.-C. Bouquillon, épouse dudit sieur Vanoye, mes parrains et marraine. » - 5° « En 1777, j'ai été bénite par Me P.-F. François, doyen-curé d'Armentières, nommée Philippine par MM. Six, mayeur, et P. Boisin, échevin, et demoiselle C.-P. Joire, épouse du sieur Rouzé, mes parrains et marraine. » - 6° « En 1777, j'ai été bénite par Me P.-F. François, doyen-curé d'Armentières, nommée Martine par MM. Rouzé et Bayart, échevins, et demoiselle Martine-Françoise Wattecant, épouse du sieur Maniez, mes parins et maraine. » - 7° « En 1777, j'ai été bénite Me P.-F. François, doyen-curé d'Armentières, nommée Caroline par MM. Maniez et Domicent, échevins, et demoiselle Catherine-Caroline Lefebvre, épouse du sieur Bayart, et C.-F. Rouzé, épouse du sieur Albert Van Oye, mes parains et maraines. » - 8° « En 1777, j'ai été bénite par Me P.-F. François, doyen-curé d'Armentières, nommée Julie par MM. Albert Vanoye, échevin, et Bacon, trésorier, et demoiselle J.-F. Pollet, épouse du sieur Domicent, et A. Meurille, épouse dudit sieur Bacon, mes parrains et marraines. »