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Assistance publique : Table du Saint-Esprit ou des pauvres.

GG 120 , 1540-1543  

Transport au profit de la table et charité des pauvres de la ville d'Armentières : d'une rente afin de satisfaire aux dispositions du testament de feu Jean Lagache, à charge d'un obit anniversaire, 1540 ; d'une autre rente en exécution du testament de Pierre Du Four, bourgeois d'Armentières, 1541 ; d'une rente de 100 sols par Eloi Bacler, à charge d'un obit, 1543 ; d'une partie de maison à usage de cabaret sous l'enseigne du Loscart à Armentière par Lambert Barbion, 1540. Procuration donnée devant les bourgmestre et échevins de Bruges par Olivier de le Frelye, bourgeois et drapier de cette ville, à Nicolas Boullen et consorts, à l'effet de poursuivre le paiement d'une somme de 24 livres parisis qui lui est due par un bourgeois d'Armentières, somme dont ledit Olivier fait don aux pauvres de cette dernière ville, 1540.

Assistance publique : Table du Saint-Esprit ou des pauvres.

GG 148 , 1736-1740  

Comptes des ministres de la table et charité des pauvres d'Armentières : "Quant aux deniers à Dieu qu'on reçoit annuellement de la table des prêts pour les prix des bagues mises au lombart de ladite ville, pour l'année de ce compte n'y a eu aucune table des prêts, mémoire" 1737. "Déclarent les compteurs d'avoir receu de Messieurs du Magistrat par pur don, pour assister les pauvres, 600 l." 1738. "Pour les aumonnages faits pendant une année et fournis alternativement de mois à autre par les compteurs aux pauvres ménages honteux, 5, 678 l. 17 s." 1740.

Assistance publique : Table du Saint-Esprit ou des pauvres.

GG 132 , 1628-1653  

Transport de rentes au profit de la table des pauvres d'Armentières : par François Lagache (1628), par Jean Hullin, Gilles Cuvelier, la veuve Jean Leclercq (1636), par François Martin (1647), par Jean Coustenoble (1649) et par Roland Gaillet (1653).

Assistance publique : pauvres orphelins, orphelines et veuves.

GG 106 , 1719-1789  

Comptes des biens appartenant à la maison des pauvres fille orphelines d'Armentières fondée, sous le titre de Sainte-Elisabeth, par feue Hélène Hullin, veuve de Jacques Boidin, et augmentée par Anne de Beaussart, veuve de Grard Hachin, par le sieur Bosquillon et autres : recette totale des années 1719 à 1733 : 19 601 l. ; dépense : 17 442 l. 8 s. 6 d. " A Albertine Thévelin, gouvernante des orphelines, pour une année de ses gages, 108 l. " 1738-1756. " Reçu des profits revenant des pauvres filles orphelines, par leur travail, en ce compris 7 fl. 4 pat. Donnés par MM. Du Magistrat pour récréation au sujet de la naissance du Dauphin, 1128 fl. 13 pat. 10 d. " 1781-1789.

Assistance publique : pauvres orphelins, orphelines et veuves.

GG 104 , 1682-1769  

Quittances, lettres, circulaires et autres pièces touchant les droits d'amortissement payés par les administrateurs de la maison des orphelins mâles à Armentières fondée par Jean-François Bosquillon. Liste des enfants orphelins mâles qui sont à la charge de la table des pauvres d'Armentières, 1688. Compte de la maison et fondation des pauvres enfants orphelins mâles de 1763 à 1769 : " Le 7 avril 1767, le comptable déclare avoir reçu de M. Van Oye, curé de la paroisse de la ville d'Armentières, la somme de 1200 florins provenant d'une personne pieuse, pour être employée à l'entretien des habits, linges desdits enfans et à la réfection des biens de ladite fondation.

Assistance publique : pauvres orphelins, orphelines et veuves.

GG 103 , 1728-1775  

Testament et codiciles de Jean-François Bosquillon par lesquels il fait plusieurs dons et legs : il donne 10 000 livre de France aux pauvres orphelins de la rue d'Arras à Armentières à condition de pouvoir y placer à perpétuité douze garçons ; il donne trois maisons situées dans l'allée Cappon pour servir de demeure à trois pauvres veuves, à chacune desquelles il attribue la somme de 50 livres parisis par an ; il donne, en outre, une maison située rue des Brigittins à la conférrie du Saint-Sacrement, 25 juin 1728, 9 janvier 1730. Comptes des biens appartenant à la fondation des pauvres enfants orphelins mâles : recette totale des années 1730 à 1754 : 32 577 fl. 12 pat. 6 d. ; dépense : 30 634 fl. 15 pat. 2 d. " A frère Liévin Villers, maître des écoles des Bons-Fils, pour livraison de trois livres de prières et deux catéchismes, 2 l. 3 s. ", 1755-1758. " Payé pour beurre, viande et autre vivre des orphelins, leur lessive, l'entretien de leurs habillements et autres menus débours, 418 l. 1 s. " , 1773-1775.

Assistance publique : pauvres orphelins, orphelines et veuves.

GG 111 , 1730-1775  

Exécution par les héritiers de feu Jean-François Bosquillon des volontés testamentaires de ce dernier en ce qui regarde le legs qu'il a fait en faveur des pauvres veuves d'Armentières. Différend entre le Magistrat d'Armentières, joints à lui les ministres des pauvres de cette ville, d'une part, Marie-Joseph Hennion, veuve de Pierre-François Delebecque, cousin de Jean-François Bosquillon, d'autre part, touchant l'interprétation des volontés dudit Jean Bosquillon lequel, en octobre 1722, avait fait don de trois maisons à lui appartenant pour servir de demeure à trois pauvres veuves de la ville d'Armentières, la préférence étant toujours donnée à celles qui auraient parenté avec lui.

Assistance publique : pauvres orphelins, orphelines et veuves.

GG 109 , 1668-1774  

Comptes des biens affectés à la fondation des pauvres veuves d'Armentières par Marguerite Morel, fille de Jean, bourgesoise de Lille, le 8 janvier 1619 : recette totale du compte de 1668 à 1684 : 14 645 l. 13 s. ; dépense : 14 734 l. d. " A Me François Joire, prêtre et coûtre de l'église paroissiale, pour ses gages d'avoir sonné la messe afin d'advertir lesdites vesves par l'espace de six ans, 24 l. " 1689-169. " Pour un voyage à Lille affin de traicter avecq Monseigneur l'Archevesque d'Aix du rachapt de la rente due par Monsr le comte d'Egmont, 15 l." 1695-1704. " A Jacques-François Labbre, peintre, pour avoir relavé et peint l'épitaphe de la fondatrice, 2 l. 8 s. " 1704-1711. Recette totale du compte des années 1772 à 1774 : 6108 l. 11 s. 1 d. ; dépense : 2396 l. 2 s. 9 d.

Assistance publique : pauvres orphelins, orphelines et veuves.

GG 110 , 1682-1740  

Enumération des lettres de rente appartenant à la fondation des pauvres veuves d'Armentières. Procès-verbal de mesurage d'une pièce de terre située à Warneton, appartenant à la même fondation. Quittances et circulaires relatives aux droits d'amortissement payés par les admnistrateurs de la maison des pauvres veuves d'Armentières, fondée par Marguerite Morel.

Assistance publique : pauvres orphelins, orphelines et veuves.

GG 105 , 1648-1753  

Acte par lequel Hélène Hullin, fille de Jacques, veuve de Jacques Boidin, affecte une somme de 10 000 livres à la fondation d'une maison pour les pauvres filles orphelines d'Armentières, 21 juillet 1648. Transport d'une rente de 9 liv. 7 s. 5 d., et d'une autre rente de 50 liv. Par la veuve de Jean Liénard au profit de la maison des pauvres filles orphelines d'Armentières, fondée par Hélène Hullin. Signification au sieur Vandrevinckre, administrateur de la maison des pauvres filles orphelines d'Armentières, de l'ordre donné par les échevins de cesser les travaux de construction d'une maison. Pièces concernant la reddition des comptes du sieur de Caigny, administrateur des biens de la fondation des pauvres orphelines d'Armentières. Liste des pauvres filles qui demeuraient en 1713 dans la maison des orphelins d'Armentières. Quittances et extraits de rôles relatifs aux droits d'amortissement payés par les administrateurs de la fondation des pauvres filles orphelines d'Armentières ; attestation touchant une maison située rue des Tanneurs à Lille, appartenant à ladite fondation.

Assistance publique : les Soeurs-Grises hospitalières.

GG 89 , 1504-1627  

Lettres des bailli et échevins d'Armentières relatant la fondation de la maison des Soeurs-Grises hospitalières : en mai 1482, Jacques de Luxembourg, voyant la ville d'Armentières brûlée et inhabitée à cause des guerres, et mû de compassion à la vue de la désolation qui régnait dans l'hôpital situé alors hors da porte d'Arras, mit cette maison en la main des ministre des pauvres de la ville et forma le projet d'y placer des religieuses hospitalières. Mais, à la faveur des troubles régnants et du décès de Jacques de Luxembourg, le désordre s'introduisit de nouveau dans l'hôpital. En janvier 1493, Jean Mallebrancque, natif d'Armentières et serviteur dudit hôpital, "meu de carité", se transporta vers Jacques de Luxembourg, fils et successeur du précédent, lui exposa la triste situation dans laquelle se trouvait ladite maison et en sollicita pour lui la direction, ce qui lui fut accordé. Muni de l'autorisation dudit Jacques et de la douairière de Fiennes, sa mère, Jean Mallebrancque acquit à l'intérieur de la ville un héritage sur lequel il transféra l'hôpital et affecta les bâtiments anciens à une école de jeunes filles ; ensuite (en juillet 1494), il s'occupa d'y placer des religieuses, ce qu'il obtient de frère Thibaut Rouzée, religieux de l'ordre de Saint-François, visiteur des filles hospitalières de cet ordre, avec l'assentiment de la dame de Fiennes. Les religieuses furent donc installées et elles y ont été jusqu'à ce jour que Jean Mallebrancque et Agnès Roussel, sa femme, se sont transportés, accompagnés de Marguerite de Rozimboz, maîtresse de l'hôpital, des échevins et d'une partie de la communauté d'Armentières, au château d'Erquinghem, vers la dame de Fiennes, et ont fait devant elle abandon à la communauté desdites soeurs hospitalières des locaux et édifices de l'hôpital en indiquant la manière dont elles auraient à se conduire pour remplir les intentions charitables des fondateurs, 7 juillet 1504. Transport fait par Toussaint Desbarbieux, seigneur des Pretz, Toussaint Desbarbieux, son père, seigneur de Salomé, et Jean de Lannoy, seigneur des Plantis, exécuteurs testamentaires de Jacqueline Lermitte, fille d'Antoine, veuve de Josse Cuignet, demeurant à Lille, aux Soeurs-Grises hospitalières d'Armentières, pour suivre les intentions manifestées par ladite dame dans son testament en date du 30 janvier 1627, de divers titres de rentes sur la ville d'Armentières représentant un revenu annuel de 1200 fl. Cette somme devra être employée " à l'instruction de douze povres enffans, soient filz ou filles, de la ville d'Armentières, tant en a crainte de Dieu que lecture et escripture, ensamble à couldre et faire aultres ouvraiges convenables à leur sexe et eaige ", 12 mai 1627.

Assistance publique : les Soeurs-Grises hospitalières.

GG 90 , 1569-1753  

Création par la ville d'Armentières d'une rente de 6 fl. Au proft des Soeurs-Grises hospitalières, pour leur tenir lieu du prix de deux cents de terre qu'elles ont cédés pour redresser le grand chemin et agrandir le lieu patibulaire. Instance des religieuses Soeurs-Grises d'Armentières pardevant l'intendant de Flandre pour obtenir paiement des arrérages de rentes à elles dus par ladite ville d'Armentières, 1683. Consentement donné par les bailli, mayeur et échevinsd'Armentières aux Soeurs-Grises hospitalières de cette ville, d'acquérir, pour la convenance et la tranquillité de leur couvent, une maison et héritage située à l'opposite de leur infirmerie et dortoir, à front de la rue des Glatignies alias des Pourceaux.

Assistance publique : l'hôpital de Sainte-Marie ou des Bleuettes.

GG 99 , 1688-1783  

Ventes faites à l'hôpital de Sainte-Marie dit des Bleuettes à Armentières : par Jean-François Descretons, d'une maison située en la rue de la Briqueterie ; d'un tiers d'une maison, blanchisserie et pâture située proche les prés Duhem ; par les héritiers de feu Pierre Salomez, de cinq cents de jardin avec une maison à Steenwerck ; par Jean-Baptiste Jerron, greffier d Steenwerck, de quinze cents de terre en cette paroisse ; par Jean-Baptiste Blancquart, d'une lettre de rente de 500 florins. Plan d'une pièce de terre à Steenwerck, appartenant à l'hôpital de Sainte-Marie. Titre d'une rente de 62 livres assignée sur les biens de l'archevêché de Cambrai, au profit de l'hôpital de Saint-Marie, 1777. Autre titre d'une rente de 300 livres sur les états d'Artois "provenante aux religieuses de Sainte-Marie à Armentières du payement qui leur a été fait pour le prix de certains biens situés en Flandre dont elles ont été évincées."