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Assistance publique : l'hôpital de Sainte-Catherine de Sienne.

GG 95 , 1720-1782  

Différend entre les administrateurs des biens de l'hôpital des chartriers à Armentières et Bon Hage, demeurant à Lambersart, au sujet de la succession de Christophe Vande Walle, prêtre, chapelain de Harlebeke, que l'hôpital réclamait parce que le père dudit Christophe, héritier des biens de celui-ci, était mort dans ledit hôpital. Règlement fait par les grand-bailli, mayeur et échevins d'Armentières pour remédier aux abus qui se sont introduits dans l'hôpital des vieux hommes et vieilles femmes, 1739. Collation d'une place dans l'hôpital des vieux hommes à Armentières, par dame Marie-Philippe-Albérique du Chastel, comtesse de Blangelval, au profit du sieur Braiette, 1739. Lettres du roi Louis XVI attribuant à l'hôpital d'Armentières les bâtiments du collège de cette ville, supprimé par arrêt du 1er mai 1782, à la condition que ces bâtiments seront affectés audit hôpital, dont l'emplacement est trop restreint et la situation fort malsaine et incommode, septembre 1782.

Assistance publique : l'hôpital de Sainte-Marie ou des Bleuettes.

GG 96 , 1632-1637  

Marie de Lens, comtesse douairière d'Egmont, princesse de Gavre, déclare que, ayant considéré "qu'entre grand nombre de poeuple que sçavons pour le présent se retrouver en nostre ville d'Armentières plusieurs y sont travaillez de diverses maladies et souffrent grandes incommoditez, de quoy faulte de moyens leur est impossible se délivrer, et désirant atant en ce leur subvenir et prester toutte ayde et assistence", elle a pour "la plus grande gloire de Dieu, délibéré et résolu d'y establir ung hospital propre pour y recepvoir douze personnes malades, lequel portera nom d'hospice de Saincte-Marie, où desdictz malades seront pensez et songnez par filles vivantes en célibat, honnestes, charitables et vertueuse", 19 octobre 1632. La même dame, "pour effectuer sa résolution touchant de donner commencement à la fondation de l'hospital de Sainte-Marie", fait abandon, "pour l'advancement et commencement de ladite fondation" d'une maison située "par delà le pont de Flandres, aboutant par devant la place qui est au devant dudit pont, par derrière à la rivierrette, tenant d'un costé à l'hospital de Sainte-Catherine", 27 octobre 1632. Extrait du testament de Marie de Lens touchant la maison dont cette dame a fait don à l'hôpital de Sainte-Marie.

Assistance publique : l'hôpital de Sainte-Marie ou des Bleuettes.

GG 97 , 1638-1684  

Don par Jean Le Fer et Marie Leclercq, sa femme, à "l'hôpital de Nostre-Dame fondé en la ville d'Armentières par Madame la douairière d'Egmont, pour la bonne amour et pieuse affection qu'ils portent vers ledit hospital, et désirans l'entretènement et nourriture des personnes débilles et mallades y entretenus" d'une maison et jardin à front de la Secque-Rue, tenant au jardin des Pères Jésuites,1638. Don par maître Jean de Lestrée, prêtre, au "nouveau hospital dicte les Bleuettes à Armentières hors le pont de Flandres, à raison des bons et aggréables services que ledit comparant auroit receu dudit hospital pendant une longue maladie qu'il at eu l'espace de huict mois ou environ, et reçoit encore journellement", de tous ses biens et héritages, meubles et immeubles, avec une maison et héritage situés à front de la rue menant de la fausse porte de Lille sur le Chauffour", 1661. Don de onze mesures de terre à l'hôpital de la Visitation-de-la-Vierge dit Bleuettes, d'Armentières, par Jean-Baptiste Beccue et soeur Marie-Louise Beccue, religieuse non professe dans ledit hôpital.

Assistance publique : l'hôpital de Sainte-Marie ou des Bleuettes.

GG 98 , 1664-1687  

Ventes faites à l'hôpital de Sainte-Marie dit des Bleuettes à Armentières : par Gillette Longuespée, veuve de Pierre Flaiel, Henri Leplus et Jean Houdain, de maisons situées à front de la place, hors du grand pont de Flandre ; par Evrard Durnay, jadis sergent-major au service de sa majesté, père et tuteur d'André Durnay, qu'il a retenu de Marguerite Le Gillon, fille du seigneur Du Poncheau, d'une maison sise rue d'Arras, de prés joignant le rempart et de terres situées à front du grand chemin menant du toucquet des Mauvaises-Femmes à la Boutillerie ; par Péronne Beuvet, de deux cents de pré en la paroisse de Nieppe ; par Jean Houdain, de quatre cents de pré sis à Armentières qu'il a achetés d'Adrien-François Dantin, écuyer, seigneur d'Agincourt, agissant pour sa mère dame Marie-Anne de Morin.

Assistance publique : l'hôpital de Sainte-Marie ou des Bleuettes.

GG 99 , 1688-1783  

Ventes faites à l'hôpital de Sainte-Marie dit des Bleuettes à Armentières : par Jean-François Descretons, d'une maison située en la rue de la Briqueterie ; d'un tiers d'une maison, blanchisserie et pâture située proche les prés Duhem ; par les héritiers de feu Pierre Salomez, de cinq cents de jardin avec une maison à Steenwerck ; par Jean-Baptiste Jerron, greffier d Steenwerck, de quinze cents de terre en cette paroisse ; par Jean-Baptiste Blancquart, d'une lettre de rente de 500 florins. Plan d'une pièce de terre à Steenwerck, appartenant à l'hôpital de Sainte-Marie. Titre d'une rente de 62 livres assignée sur les biens de l'archevêché de Cambrai, au profit de l'hôpital de Saint-Marie, 1777. Autre titre d'une rente de 300 livres sur les états d'Artois "provenante aux religieuses de Sainte-Marie à Armentières du payement qui leur a été fait pour le prix de certains biens situés en Flandre dont elles ont été évincées."

Assistance publique : l'hôpital de Sainte-Marie ou des Bleuettes.

GG 100 , 1669-1789  

Bail de biens à Nieppe et à Steenwerck, appartenant à l'hôpital de Sainte-Marie d'Armentières. Autres baux de biens appartenant au même hôpital. Convention entre la prieure de l'hôpital Sainte-Marie et Ignace Boussemart, touchant deux maisons situées rue d'Arras qui leur appartiennent respectivement.

Assistance publique : l'hôpital de Sainte-Marie ou des Bleuettes.

GG 101 , 1694-1784  

Requête présentée à l'évêque d'Arras par les prieure et religieuses de l'hôpital de la Visitation-de-la-Sainte-Vierge dites Bleuettes d'Armentières, à l'effet de pouvoir vendre deux petites maisons situées dans la rue du Lombard, qui leur ont été données il y a longtemps par Hélène Hullin, et dont les charges dépassent le revenu ; apostillée favorablement. Arrêt du conseil d'état autorisant les religieuses de l'hôpital de la Visitation-de-la-Vierge à Armentières à vendre deux maisons et six cents de terre dont la valeur a beaucoup diminué par suite des travaux de fortifications, lesdits biens provenant des donations de Jean Lefer, 1780. Assemblée capitulaire des prieure et religieuses (au nombre de douze) de l'hôpital de Sainte-Marie à Armentières, dans laquelle il est décidé de mettre en vente une maison située en la rue d'Arras, qui appartient à la communauté et qui tombe en ruines, 1783. Arrêt du conseil détat qui autorise les religieuses composant la communauté des hospitalières de la Visitation-de-la-Vierge dites de Sainte-Marie en la ville d'Armentières à accorder en emphythéose une maison située rue d'Arras, afin d'augmenter les ressources desdites religieuses, dont les revenus annuels ne s'élèvent qu'à 600 flor., étant "chargées de l'instruction de la jeunesse, d'un hospital et d'y recevoir les militaires malades qui sont en grand nombre depuis la construction de chaussée de la ville de Lille à celle de Dunkerque."

Assistance publique : l'hôpital de Sainte-Marie ou des Bleuettes.

GG 102 , 1684-1789  

Amortissement par Louis XIV des biens appartenant à l'hôpital de Sainte-Marie à Armentières. Quittances des droits payés par la communauté de religieuses de la Visitation pour l'obtention des lettres du Roi précitées et l'amortissement d'une rente de 24 livres donnée auxdites religieuses par les confrères arbalétriers d'Armentières, 1686. Lettres du roi Louis XV par lesquelles il confirme les supérieure et religieuse de la communauté de l'hôpital de Sainte-Marie à Armentières dans la possession des biens qu'elles ont acquis antérieurement à la déclaration du 9 juillet 1738, relative aux gens de main-morte des pays de Flandre et de Hainaut, 1780. Arrêt du conseil d'état fixant à la somme de 282 l. 4 s. 6 d., le droit de marc d'or que devront payer les religieuses de l'hôpital de Sainte-Marie en retour de la confirmation ci-dessus, leurs biens ayant une valeur de 11 288 liv. 17 s. Déclaration des rentes appartenant à l'hôpital de Sainte-Marie, fourni en exécution de l'arrêt du conseil en date du 2 septembre 1692. Inventaire des titres de propriété que possèdent les religieuses dudit hôpital.

Assistance publique : pauvres orphelins, orphelines et veuves.

GG 103 , 1728-1775  

Testament et codiciles de Jean-François Bosquillon par lesquels il fait plusieurs dons et legs : il donne 10 000 livre de France aux pauvres orphelins de la rue d'Arras à Armentières à condition de pouvoir y placer à perpétuité douze garçons ; il donne trois maisons situées dans l'allée Cappon pour servir de demeure à trois pauvres veuves, à chacune desquelles il attribue la somme de 50 livres parisis par an ; il donne, en outre, une maison située rue des Brigittins à la conférrie du Saint-Sacrement, 25 juin 1728, 9 janvier 1730. Comptes des biens appartenant à la fondation des pauvres enfants orphelins mâles : recette totale des années 1730 à 1754 : 32 577 fl. 12 pat. 6 d. ; dépense : 30 634 fl. 15 pat. 2 d. " A frère Liévin Villers, maître des écoles des Bons-Fils, pour livraison de trois livres de prières et deux catéchismes, 2 l. 3 s. ", 1755-1758. " Payé pour beurre, viande et autre vivre des orphelins, leur lessive, l'entretien de leurs habillements et autres menus débours, 418 l. 1 s. " , 1773-1775.

Assistance publique : pauvres orphelins, orphelines et veuves.

GG 104 , 1682-1769  

Quittances, lettres, circulaires et autres pièces touchant les droits d'amortissement payés par les administrateurs de la maison des orphelins mâles à Armentières fondée par Jean-François Bosquillon. Liste des enfants orphelins mâles qui sont à la charge de la table des pauvres d'Armentières, 1688. Compte de la maison et fondation des pauvres enfants orphelins mâles de 1763 à 1769 : " Le 7 avril 1767, le comptable déclare avoir reçu de M. Van Oye, curé de la paroisse de la ville d'Armentières, la somme de 1200 florins provenant d'une personne pieuse, pour être employée à l'entretien des habits, linges desdits enfans et à la réfection des biens de ladite fondation.

Assistance publique : pauvres orphelins, orphelines et veuves.

GG 105 , 1648-1753  

Acte par lequel Hélène Hullin, fille de Jacques, veuve de Jacques Boidin, affecte une somme de 10 000 livres à la fondation d'une maison pour les pauvres filles orphelines d'Armentières, 21 juillet 1648. Transport d'une rente de 9 liv. 7 s. 5 d., et d'une autre rente de 50 liv. Par la veuve de Jean Liénard au profit de la maison des pauvres filles orphelines d'Armentières, fondée par Hélène Hullin. Signification au sieur Vandrevinckre, administrateur de la maison des pauvres filles orphelines d'Armentières, de l'ordre donné par les échevins de cesser les travaux de construction d'une maison. Pièces concernant la reddition des comptes du sieur de Caigny, administrateur des biens de la fondation des pauvres orphelines d'Armentières. Liste des pauvres filles qui demeuraient en 1713 dans la maison des orphelins d'Armentières. Quittances et extraits de rôles relatifs aux droits d'amortissement payés par les administrateurs de la fondation des pauvres filles orphelines d'Armentières ; attestation touchant une maison située rue des Tanneurs à Lille, appartenant à ladite fondation.

Assistance publique : pauvres orphelins, orphelines et veuves.

GG 106 , 1719-1789  

Comptes des biens appartenant à la maison des pauvres fille orphelines d'Armentières fondée, sous le titre de Sainte-Elisabeth, par feue Hélène Hullin, veuve de Jacques Boidin, et augmentée par Anne de Beaussart, veuve de Grard Hachin, par le sieur Bosquillon et autres : recette totale des années 1719 à 1733 : 19 601 l. ; dépense : 17 442 l. 8 s. 6 d. " A Albertine Thévelin, gouvernante des orphelines, pour une année de ses gages, 108 l. " 1738-1756. " Reçu des profits revenant des pauvres filles orphelines, par leur travail, en ce compris 7 fl. 4 pat. Donnés par MM. Du Magistrat pour récréation au sujet de la naissance du Dauphin, 1128 fl. 13 pat. 10 d. " 1781-1789.

Assistance publique : pauvres orphelins, orphelines et veuves.

GG 109 , 1668-1774  

Comptes des biens affectés à la fondation des pauvres veuves d'Armentières par Marguerite Morel, fille de Jean, bourgesoise de Lille, le 8 janvier 1619 : recette totale du compte de 1668 à 1684 : 14 645 l. 13 s. ; dépense : 14 734 l. d. " A Me François Joire, prêtre et coûtre de l'église paroissiale, pour ses gages d'avoir sonné la messe afin d'advertir lesdites vesves par l'espace de six ans, 24 l. " 1689-169. " Pour un voyage à Lille affin de traicter avecq Monseigneur l'Archevesque d'Aix du rachapt de la rente due par Monsr le comte d'Egmont, 15 l." 1695-1704. " A Jacques-François Labbre, peintre, pour avoir relavé et peint l'épitaphe de la fondatrice, 2 l. 8 s. " 1704-1711. Recette totale du compte des années 1772 à 1774 : 6108 l. 11 s. 1 d. ; dépense : 2396 l. 2 s. 9 d.