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Compagnies d'archers, arbalétriers, arquebusiers, garde bourgeoise.

EE 9 , 1670-1743  

Règlement pour la garde ordonnée à Armentières par le maréchal d'Humières. Liste des hommes de la ville d'Armentières désignés pour faire la garde au bac du Crocq et le long de la Lys à cause de la guerre. Demande par les États de Lille d'un état indiquant les gardes particulières que les bailli et gens de loi d'Armentières ont fait faire le long de la rivière de la Lys pendant les années 1677 et 1678. Ordonnances du marquis d'Humières et de l'intendant pour faire bonne garde afin de s'emparer des soldats déserteurs.

Rentes.

CC 46 , 1941  

Constitution de rentes par Jean de Watreleet, écuyer, seigneur de Caneghem, bailli, François Lhermitte, François Revel, Roland Gaillet, Philippe Durietz, Jacques Cornillot, échevins, François Le Gillon, écuyer, seigneur de Hagrinsart, et Pierre Le Gillon, écuyer, seigneur de Millevoye, son fils, argentiers de la ville, délégués par le Magistrat d'Armentières à l'effet de créer des rentes jusqu'à 25,000 florins, suivant octroi royal, au profit de Chales Willeton, bailli et receveur demeurant à Lille, de Marguerite Cambier, de Gilles Marissal, d'Anne de Hangouart, fille de Walerand, seigneur Du Laury, et de Nicolas Du Gardin, chamoine du chapitre Saint-Pierre de Lille.

Pièces à l'appel des comptes, fermes, octrois et droits divers.

CC 115 , 1716-1777  

Réclamations des gens de loi et habitants de la Chapelle d'Armentières, d'Erquinghem, de Nieppe et de Steenwerck, contre l'établissement de l'octroi sur les grains. Demandes de dégrèvements faites par les fermiers de l'octroi sur les grains. Supplique au Magistrat d'Armentières à l'effet d'obtenir l'autorisation de continuer à lever l'impôt sur les grains sans fournir les titres en vertu desquels on le perçoit.

Titres et baux des propriétés communales, revenus de la ville.

DD 11 , 1624-1781  

Lettres de Louis, comte d'Egmont, autorisant la ville d'Armentières, en considération de ce qu'elle est en grande nécessité, à vendre une choque de maisons située à front de la rue Du Brulle, dans lesquelles se tiennent "aucune des perches de la draperie". Permission accordée à l'occupeur du cabaret de la Grande-Lorette, situé rue de la Vignette à Armentières, de se servir, pour faire entrer les chevaux dans l'écurie de son cabaret, de la porte de la maison de la boucherie de la ville,qui y est contiguë. Mémoire du greffier Bayart sur la question de savoir si la ville a quelque droit à la propriété d'un bâtiment situé au-dessus des Boucheries quoiqu'elle ait arrenté, en 1698, aux sieurs Thomas Becquet et Henri Desruelles, la partie du bâtiment des Boucheries qui se trouve du côté de la rue du Brusle sans désigner d'une manière spéciale le bâtiment dont il s'agit, duquel lesdits arrentataires ont joui sans empêchement depuis plus de 40 ans. Requête présentée à l'intendant de Calonne par le sieur Séguin, maitre de la poste aux chevaux à Armentières, afin d'obtenir le renouvellement du bail d'une partie des anciennes boucheries de la ville qui lui servent d'écuries. Signification faite au nom des échevins à Jean-Baptiste Duriez d'avoir à évacuer, à la mi-mars 1728, la maison et cabaret de l'Hôtel de Ville.

Eaux et forêts, inondations, navigation, cours d'eau.

DD 25 , 1751-1754  

Différend, au sujet de la hauteur des eaux à Houplines, entre les bailli, mayeur et échevins d'Armentières, Nieppe et Erquinghem, et Jean-Baptiste Meurille, fermier des moulins de Molimont. Projets des "soutènements à faire et observations pour faire reconnaitre les anciennes bornes de la rivière du Lys". "Sistemme proposé pour expliquer les variations des niveaux occasionnez par une interposition d'escluses, et la métode nécessaire à observer pour y placer des points proportionnels". Mémoire d'avocats concernant "les réglements émanez pour la hauteur et l'esvacuation des eaux de la rivière du Lys par rapport aux escluses et moulins de Molimont à Houplines". Autre mémoire explicatif touchant le même objet.

Privilèges concernant la justice.

FF 2 , 18 février 1527  

L'empereur Charles-Quint, sur la représentation à lui faite par Jacques de Luxembourg, chevalier de la Toison-d'Or, comte de Gavre, seigneur de Fiennes et d'Armentières, qu'il est coutume de tenir plaids ordinaires à Armentières, Saint-Simon et Raisse le lundi de quinzaine en quinzaine, et qu'il est souvent arrivé, notamment en la présente année, que ce lundi correspondant avec une fête solennelle on était obligé de remettre les plaids au lundi suivant et quelquefois, par suite de la même coïncidence, à plus de six semaines au delà, au grand préjudice des parties "qui sont fort retardées de leur droit," ordonne que le jour des plaids, quand il tombera un jour de fête solennellle, sera remis au lendemain "hors feste".