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Compagnies d'archers, arbalétriers, arquebusiers, garde bourgeoise.

EE 9 , 1670-1743  

Règlement pour la garde ordonnée à Armentières par le maréchal d'Humières. Liste des hommes de la ville d'Armentières désignés pour faire la garde au bac du Crocq et le long de la Lys à cause de la guerre. Demande par les États de Lille d'un état indiquant les gardes particulières que les bailli et gens de loi d'Armentières ont fait faire le long de la rivière de la Lys pendant les années 1677 et 1678. Ordonnances du marquis d'Humières et de l'intendant pour faire bonne garde afin de s'emparer des soldats déserteurs.

Logements militaires, passage de troupes, fourniture de bois, paille, fourrage, réquisitions.

EE 14 , 1652-1695  

Avis donné par Charles de Croy, comte de Roeux, aux échevins d'Armentières, de l'arrivée prochaine en leur ville, pour y tenir garnison, de trois compagnies d'infanterie ; il ajoute que, sur la réclamation que lui en a faite le Magistrat, il va bientôt pouvoir décharger la ville d'Armentières de deux de ces compagnies, ainsi que du tercio et de la cavalerie qui y résident encore. Lettres de personnages délégués près des chefs militaires par le Magistrat d'Armentières afin d'obtenir la réduction de la garnison de cette ville. Dépositions contre les soldats du régiment de Navarre, qui se sont rendus coupables de méfaits chez certains bourgeois d'Armentières où ils étaient logés.

Rentes.

CC 42 , 1586-1609  

Constitution des rentes par les échevins d'Armentières au profit de Thomas Coustenoble, pour le dédommager d'une maison située à front de la rue de la Belle-Croix qu'il a vendue à la ville. Rente au profit d'Antoine Le Keuch, en compensation d'une maison qui était située rue d'Arras et qui, après avoir été confisquée a été incorporée dans le jardin des Capucins.

Privilèges concernant la justice.

FF 2 , 18 février 1527  

L'empereur Charles-Quint, sur la représentation à lui faite par Jacques de Luxembourg, chevalier de la Toison-d'Or, comte de Gavre, seigneur de Fiennes et d'Armentières, qu'il est coutume de tenir plaids ordinaires à Armentières, Saint-Simon et Raisse le lundi de quinzaine en quinzaine, et qu'il est souvent arrivé, notamment en la présente année, que ce lundi correspondant avec une fête solennelle on était obligé de remettre les plaids au lundi suivant et quelquefois, par suite de la même coïncidence, à plus de six semaines au delà, au grand préjudice des parties "qui sont fort retardées de leur droit," ordonne que le jour des plaids, quand il tombera un jour de fête solennellle, sera remis au lendemain "hors feste".