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Assistance publique : l'hôpital de Sainte-Catherine de Sienne.

GG 93 , 1562-1573  

Donation faite à l'hôpital nouvellement érigé et construit à Armentières, hors le pont de Flandre : par Jean Le Candele, d'une rente de 37 l. 13 s. ; par Péronne Lecourt, veuve de Joachim Legrand, d'une rente de 28 s. ; par Michel Laigniel, receveur d'Armentières, d'une rente de 48 s. ; par Georges Vinchent, d'une rente de 30 s. Lettre écrite par les échevins d'Armentières à l'abbé deCrespin, exécuteur testamentaire de dame Hélène de Croy, douairière de Fiennes, touchant le legs de 4000 fl. Carolus fait par cette dame à l'église paroissiale et à l'hôpital d'Armentières pour la fondation de messes et l'entretien de deux lits, 1570. Titre d'une rente appartenant à l'hôpital et assignée sur un bien à Quesnoy-sur-Deûle.

Clergé régulier : capucins.

GG 64 , 1658-1789  

Pièces concernant les Capucins d'Armentières : supplique à l'intendant et au bureau des finances de Lille pour faire accorder au Magistrat d'Armentières la permissionde concourir, pour 5 ou 600 liv., à l'agrandissement de l'église des Capucins. Don aux Capucins d'un saint suaire " de mesme forme et grandeur que celuy dans lequel a esté ensevelly le sacré corps de Nostre-Sauveur". Fragmen d'annales du couvent relatant la bénédiction d'une cloche en 1762, la bénédiction du cimetière et les dons faits par diverses personnes pieuses. Requête adressée aux maires et officiers municipaux d'Armentières "par un grand nombre" d'habitants de cette ville, afin d'obtenir que les Pères Capucins puissent continuer de demeurer à Armentières "pour le bien public et les intérêts politiques et moraux de la ville et des environs". Une note écrite à la suite de cette pièce dit qu'elle fut présentée dans les derniers jours de juin 1791 et elle ajoute : " Le département du Nord a accordé à la municipalité de ladite ville que quatre religieux resteroient au couvent d'Armentières pour le service de la paroisse. Mais il a été impossible que les quatre religieux y puissent rester, attendu qu'une nouvelle municipalité créée à nouveau les obligea à abandonner leur couvent par les menances d'un intrus nommé Medgy (curé constitutionnel), et s'en allèrent rester à Saint-Laurent, le 31 décembre de la même année".