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Usines, manufactures, commerce.

HH 16 , 1618-XVIIè siècle  

Charles, comte d'Egmont, prince de Gavre, seigneur d'Armentières, permet aux bailli et échevins de cette ville d'ériger "un stil de sayes drappées, pour estre vendues et avoir traicte par tous royaulmes et pays de l'Europe," d'avancer aux drapiers et maîtres drapiers les sommes dont ils ont besoin pour mettre ledit métier, et d'emprunter pour se procurer l'argent nécessaire, jusqu'à concurrence de 5 à 6,000 florins, 2 août 1618. Mémoire (non daté mais paraissant être du XVIIe siècle) sur la manufacture d'Armentières, dressé par les échevins de cette ville : après avoir rappelé les origines de la draperie d'Armentières, les progrès et la réputation auxquels cette industrie est arrivée et les ordonnances dont elle a été l'objet, ce mémoire essaie de prouver l'usage du scel en plomb, employé pour marquer la longueur des draps, est de toute nécessité, contrairement à ce que veulent établir certains teinturiers et marchands d'Armentières.

Clergé séculier : église paroissiale, chapelles et confréries.

GG 59 , 1532-1782  

Lettres de François de Ranchicourt, vicaire-général de l'évêque d'Arras, archidiacre d'Ostrevant, curé-propriétaire de l'église Saint-Jacques à Douai, permettant aux membres de la confrérie de Saint-Jacques fondée en ladite église, de pouvoir célébrer en icelle église autant de messes qu'ils voudront, d'y porter l'image d'argent de saint Jacques, et de l'y enfermer dans un coffre si bon leur semble. Différend entre les échevins d'Armentières et Louis-Xavier Bayart, agissant comme administrateur de la chapelle Sainte-Croix érigée en l'église paroissiale, au sujet du paiement des réparations faites à cette chapelle, 1770. Le Magistrat d'Armentières remet au sieur Bayart les fonctions d'administrateur de la chapelle Sainte-Croix, le sieur Van Oye, nomm le 1er juin 1771, s'étant déporté volontairement de ces fonctions en vue de concourir au bien public et à la satisfaction générale. Acte par lequel les bailli et échevins d'Armentières, d'une part, Louis-Xavier Bayart, d'autre part, d'un commun accord, terminent la discussion existant entr'eux au sujet de l'administration de la chapelle Sainte-Croix. Cet accord est fait sous les auspices du comte d'Egmont qui avait nommé les commissaires spéciaux " pour régler les différents qui agitoient la ville d'Armentières " 5 avril 1775. Dépositions des ministres des chapelles de Sainte-Croix, des Trépassés et de Saint-Eloi, et des prêtres et horistes de l'église paroissiale d'Armentières, tendant à disculper le sieur Brassart fils, bedeau de ladite église, de l'accusation d'avoir enlevé des chandelles à la chapelle Notre-Dame de Lorrette.