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Terrassiers posant devant une habitation (dont Arthur Dervaux)
Théâtre populaire des Flandres. - Relation avec la commune, représentations : correspondance, délibérations, subventions, coupures de presse, brochures, contrats, liste nominative des établissements d'enseignement.
THERY Daniel et Marinette, Nous les femmes de la Région d'Armentières, Armentières, Havet, 1676, 66 p.
THIERCY Christelle, Turbulences migratoires, la mobilité géographique de la population d'Armentières 1851-1886, mémoire de maîtrise, université de Lille III, sous la direction de MM. Hirsch, Marchant et Terrier, 1998-1999.
Tir au fusil de guerre à l'École Nationale Professionnelle
Tissage Tissindus. - Fonctionnement : registres des salaires, registres des entrées et sorties des ouvriers, registres de matricules, correspondance.
Tissages Dufour-Lescornez et Fils
Tissages mécaniques, crémage et blanchisserie Dufour-Lescornez et fils
Titres de la société anonyme d'économie mixte de la ville renouvelée : achat, extrait de comptes titres.
Titres et baux des propriétés communales, revenus de la ville.
Ventes aux échevins d'Armentières : par les tuteurs des enfants de Bauduin Montagne, de 1,116 verges d'héritages situé outre le pont Notre-Dame, à front de la rue du Riès ; - par Gilles Pinchon, marchand grossier, d'une portion de maison situé sur le Marché ; - par Jean Béhagle, prêtre et Guillaume Béhagle, de maisons situées sur le marché ; - par Tristan Le Gillon, d'une maison à usage d'auquerie, située à front d'une glinoie qui mène de la Belle-Croix au ponchel de la Vigne, tenue de la seigneurie du Bois-Grenier ; - par Hubert Deleval, potier, d'une maison sur le marché, tenant à la maison et halle de la ville.
Titres et baux des propriétés communales, revenus de la ville.
Lettres de Louis, comte d'Egmont, autorisant la ville d'Armentières, en considération de ce qu'elle est en grande nécessité, à vendre une choque de maisons située à front de la rue Du Brulle, dans lesquelles se tiennent "aucune des perches de la draperie". Permission accordée à l'occupeur du cabaret de la Grande-Lorette, situé rue de la Vignette à Armentières, de se servir, pour faire entrer les chevaux dans l'écurie de son cabaret, de la porte de la maison de la boucherie de la ville,qui y est contiguë. Mémoire du greffier Bayart sur la question de savoir si la ville a quelque droit à la propriété d'un bâtiment situé au-dessus des Boucheries quoiqu'elle ait arrenté, en 1698, aux sieurs Thomas Becquet et Henri Desruelles, la partie du bâtiment des Boucheries qui se trouve du côté de la rue du Brusle sans désigner d'une manière spéciale le bâtiment dont il s'agit, duquel lesdits arrentataires ont joui sans empêchement depuis plus de 40 ans. Requête présentée à l'intendant de Calonne par le sieur Séguin, maitre de la poste aux chevaux à Armentières, afin d'obtenir le renouvellement du bail d'une partie des anciennes boucheries de la ville qui lui servent d'écuries. Signification faite au nom des échevins à Jean-Baptiste Duriez d'avoir à évacuer, à la mi-mars 1728, la maison et cabaret de l'Hôtel de Ville.
Titres et baux des propriétés communales, revenus de la ville.
Arrentement par les échevins d'Armentières à Jacques Delobel, d'une portion d'héritage située hors de la vieille porte d'Houplines vers le ponchel de la Vigne, en échange d'un terrain par lui abandonné à la ville pour le profit et utilité de la fortification. Vente par les mêmes échevins à François Flore, marchand brasseur, d'un héritage sis en la rue de la Belle-Croix, joignant au bien de l'acheteur, lequel bien est situé vers le bout de cette rue, contre le jardin des Arquebusiers.
Titres et baux des propriétés communales, revenus de la ville.
Confirmation par Jacques de Luxembourg, seigneur de Fiennes, d'Erquinghem et d'Armentières, de l'arrentement de certains biens accordé, sans son autorisation, par la ville d'Armentières. Jacques de Luxembourg confirme, en outre, l'acquisition, faite par les échevins, de la maison des Bouchers "qui est tenant et prochaine la neufve halle," dans laquelle on installera "les poix et balanche et, à l'un des corniers d'icelle, par dehors, une montée à vir servant pour toutes les chambres de ladicte neufve halle." Pour servir à l'établissement de nouvelles boucheries les échevins ont acheté, "une place et maison qui, auparavant, par une Jehenne Escallin, vesve de feu Jacques Le Sauvage, avoir esté vendue, située en lieu fort utille, propice et convenable, faisant le coing du marchié et l'entrée de la rue Brulle, avec de la ruïelle qui maisne en la court que l'on dit de Lassus". Arrentement par les échevins d'Armentières : à Antoine Boutry et Philippe Canuel, de protions d'héritage situés hors la porte d'Erquinghem ; - à Pasquier Frummault, "nachelier" de son métier, de 580 pieds de terrain à front du chemin de l'Ecluse, outre le pont ; - à Jean Bataille et Nicolas Ladent, d'une portion d'héritage en échange de maisons "assez caducques et ruynées," dont ils ont fait l'abandon à la ville pour être employées" à la fortification et utillité d'icelle ville, hors la viéze porte de Houplines" ; - à Philippe Mannet, d'une portion d'héritage ; - à Olivier Pétillon, d'une portion de terrain située hors la porte d'Houplines, à front de la rue de la Briqueterie.
Titres et baux des propriétés communales, revenus de la ville.
Demandes de dégrévements formées par les occupeurs de maisons appartenant à la ville. - Requête d'un particulier à l'effet d'obtenir la délimitation éxacte de sa propriété et de celle de la ville dans les terres du fort démoli. - Requêtes au Magistrat d'Armentières pour obtenir en bail ou arrentement des maisons appartenant à la ville. - Demande, faite au nom des maitrestisserands de Lille par les directeurs et syndics de la Chambre de Commerce de cette ville, aux échevins d'Armentières, pour obtenir la location de la blanchisserie qu'occupait la veuve Duquesne et qui appartient à la ville d'Armentières. - Prisée et estimation à emporter des édifices de la blanchisserie située à Armentières près de la porte de Flandre, sur les pâtures et prairies des anciens remparts.