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Logements militaires, passage de troupes, fourniture de bois, paille, fourrage, réquisitions.

EE 27 , 1744-1750  

Réquisition de chariots par le sieur Du Rouillé, aide-major du bataillon de Mayenne, pour le transport des convalescents et des malades restés à Béthune. Réquisition, par les États de Lille : de pionniers pour se rendre au camp de Menin, pour démolir les fortifications d'Ypres, pour travailler au curement du canal de Douai ; de maçons pour démolir la place de Berg-op-Zoom ; de quatre chevaux et un cheval de monture pour M. Le marquis de Brézé.

Eaux et forêts, inondations, navigation, cours d'eau.

DD 16 , 1376-1707  

Sentence de Louis de Male, comte de Flandre, rendue au préjudice d'Alart de Poucques, qui prétendait tenir les eaux de la Lys à un niveau qui occasionnait souvent des inondations dans les près qui bordent cette rivière. Ordonnance du subdélégué de l'intendant de Flandre prescrivant aux occupeurs ds près qui bordant la Lys de nettoyer leurs fossés pour faciliter l'écoulement des eaux. Avis de géomètres-arpenteurs sur le moyen de procurer le desséchement des près de la Lys.

Compagnies d'archers, arbalétriers, arquebusiers, garde bourgeoise.

EE 4 , 1500-1534  

Philippe, archiduc d'Autriche, comte de Flandre confirme les roi, connétables et confrères "du jeu de l'arcq à la main" de la ville d'Armentières dans le privilège, qui leur a été conféré par ses prédécésseurs et dont les lettres ont été perdues par suite des guerres et divisions du pays, de n'être point répréhensible par la justice s'il arrivait que, dans le cours de leurs exercices, quelqu'un fut blessé ou tué, par un trait, entre deux berceaux, après le cri d'avertissement. Jacques de Luxembourg, seigneur de Fiennes et d'Armentières, confirme les roi, connétables et confrères du serment des archers d'Armentières, moyennant une reconnaissance annuelle d'un chapon, dans la possession d'un terrain au-dehors de la porte d'Houplines qui leur avait été donné en échange du jardin qu'ils occupaient auprès de l'église, nommé la Cour-de-Lassus, et que ledit seigneur leur avait repris "afin de y faire maisons et rivage" 1513. Jean Seuwin, vice-curé de l'église de Saint-Géry à Valenciennes, notaire apostolique, Bon Mathon, greffier de cette ville, Pierre Killet, roi, et Gossart Cocqueau, connétables de la compagnie de Sainte-Ursule audit Valenciennes, attestent que Jean de Bohain, "homme de bien, créable et digne de foy" a déclaré devant eux "que, depuis XXIIII ans ou environ, ung nommé Thiéry de Valenciennes, son parent, ayant esté au service de feu très-noble mémore Maximilian, empereur des Romains, en la ville et cité de Coulongne, luy donna et laissa certaine portion de divinité et relicquaire des Onze mil Vierges, lequel Jehan de Bohain a, depuis, icelle portion de relicquaire donné à ceulx de la compagnie de Saincte-Ursulle dudit Valenciennes, lesquelz jusques à présent l'ont tenu en bonne et sceure extime, dont, pour faire plaisir, service et honneur à sire Franchois Botin, prebstre, et Pierre Preudhomme, ceulx dudit Valenciennes leur ont délivré ladite portion de reliquaire pour estre donnée à la compagnie des archiers que se plra eslever et mettre sus en la ville d'Ermentiers."