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Défilé de militaires et personnalités dans le centre ville d'Ypres, ville en reconstruction
Rassemblement devant le monument aux morts
Le Journal d'Armentières.
Journal à tendance républicaine paru à partir de 1878 avec une parution de 3 numéros par semaine. Fondé par Auguste Verbaere (propriétaire gérant) puis par Georges Bodereau (au 1er mars 1899). Imprimé au 84 rue de Lille à Armentières. Vendu 7,50 Frs à l'année.
Le Journal d'Armentières.
Journal à tendance républicaine paru à partir de 1878 avec une parution de 3 numéros par semaine. Fondé par Auguste Verbaere (propriétaire gérant) puis par Georges Bodereau (au 1er mars 1899). Imprimé au 84 rue de Lille à Armentières. Vendu 7,50 Frs à l'année.
Le Journal d'Armentières.
Journal à tendance républicaine paru à partir de 1878 avec une parution de 3 numéros par semaine. Fondé par Auguste Verbaere (propriétaire gérant) puis par Georges Bodereau (au 1er mars 1899). Imprimé au 84 rue de Lille à Armentières. Vendu 7,50 Frs à l'année.
Le Journal d'Armentières.
Journal à tendance républicaine paru à partir de 1878 avec une parution de 3 numéros par semaine. Fondé par Auguste Verbaere (propriétaire gérant) puis par Georges Bodereau (au 1er mars 1899). Imprimé au 84 rue de Lille à Armentières. Vendu 7,50 Frs à l'année.
La reconstruction du centre ville et de l'église Saint-Vaast en phase d'achèvement
Le Journal d'Armentières.
Journal à tendance républicaine paru à partir de 1878 avec une parution de 3 numéros par semaine. Fondé par Auguste Verbaere (propriétaire gérant) puis par Georges Bodereau (au 1er mars 1899). Imprimé au 84 rue de Lille à Armentières. Vendu 7,50 Frs à l'année.
Le Journal d'Armentières.
Journal à tendance républicaine paru à partir de 1878 avec une parution de 3 numéros par semaine. Fondé par Auguste Verbaere (propriétaire gérant) puis par Georges Bodereau (au 1er mars 1899). Imprimé au 84 rue de Lille à Armentières. Vendu 7,50 Frs à l'année.
Courriers du maire.
Pour les années 1914 à 1917 et l'année 1919, il s'agit de la correspondance privée du maire Henri Chas avec son épouse Marguerite (Margot) réfugiée avec leurs enfants à Arpajon, et avec leur servante Élise.