Cote/Cotes extrêmes
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archives anciennes antérieures à 1790
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Les grand bailli et échevins d'Armentières certifient que dans l'étendue de leur juridiction il ne demeure personne faisant profession de la religion prétendue réformée et qu'il n'y existe pas de biens appartenant à des gens qui pratiquent cette religion, 1685. Lettre des délégués des états généraux des provinces unies à Lille prescrivant au magistrat d'Armentières d'approprier sans délai un local convenable pour l'exercice de la religion réformée, et blâmant les échevins du peu d'empressement qu'ils ont mis à satisfaire aux ordres que leur ont donnés à ce sujet leurs Hautes Puissances, 1712. Les échevins d'Armentières notifient aux sieurs Charlet, De la Croix, Thesse et Carpentier, aussi échevins de la même ville, qu'ils sont toujours prêts à achever les travaux d'appropriation de la maison contiguë à l'hôtel de ville pour l'exercice de la religion réformée malgré l'ordre qu'ils ont reçu de disposer à cet effet un local dans la chambre échevinale : ils déclarent ne pouvoir satisfaire à cet ordre sans en avoir l'assentiment du comte d'Egmont et protestent contre l'accusation de négligence qui pourrait leur être imputée. Requête présentée aux députés des états généraux des Provinces Unies par les bailli et échevins d'Armentières, à l'effet d'obtenir que leur ville soit déchargée des frais occasionnés pour accommoder une place destinée à l'exercice de la religion réformée. État des frais des travaux d'appropriation s'élevant à la somme de 1,221 fl. 9 pat., non compris 177 fl., de charges annuelles.
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