Cote/Cotes extrêmes
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archives anciennes antérieures à 1790
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Receuil de lettres missives originales adressées au magistrat d'Armentières : par Josse Criecke : octroi obtenu par la ville d'Armentières (n°1) ; par Arnould, abbé de Marchiennes : bourse dans le collége de Marchiennes, 1579 (n°2) ; par Guillaume de Hornes : averti que les Gantois ont le dessein de surprendre Armentières, il en prévient les échevins afin qu'ils soient sur leurs gardes, 1579 (n°3, 4, 5) ; par le sieur d'Ongnies : il tient de source certaine que des gens de guerre doivent sortir d'Erquinghem pour se rendre maître des passages et surprendre Armentères ; mais, pour prévenir leur dessein, les États de Lille et lui ont jugé convenable, ce matin, d'envoyer audit Armentières des soldats de la garnison de Lille. Comme ceux-ci ne sauraient résister à la force, ils opéreront leur retraite au château d'Armentières s'il est nécessaire qu'ils s'y réfugient, 1579 (n°6) ; par deux particuliers : dépenses à la charge de la ville (n°7 et 8) ; par Louis de Requesens, gouverneur des Pays-Bas : il désire entretenir le grand bailli et le premier échevin d'Armentières d'affaires qui intéressent le service de Sa Majesté et la défense de ses pays de par deça, 1573 (n°8 bis) ; par Antoine Olivera, commissaire général de la cavalerie : contribution du pays de Laleu dans les frais d'entretien des compagnies logées à Armentières (n°9) ; par les députés des États de Lille : demande d'un état des terres à labour, jardins, bois, etc. ; paiement du troisème centième (n°11, 12 et 13) ; par Jean Viron, lieutenant de la Gouvernance de Lille : déclaration des bagues, joyaux et autres objets d'or et d'argent, non sacrés, appartenant à l'église paroissiale (n°14) ; par Nicolas de Landas, seigneur de Heule, grand bailli d'Armentières : il n'a pu, avant son départ d'Anvers, obtenir une décision du Conseil d'état sur le fait des assemblées et prêches qui se font à Armentières. A son arrivée dans cette ville, il insistera de nouveau au cas qu'il n'y soit résolu. Il a trouvé à Zutphen le duc Casimir avec une armée de 6,000 chevaux, 30 enseignes d'arquebusiers Français et un régiment d'Allemands ; il part avec son armée vers le Brabant, 1578 (n°15) ; par d'Ongnies : envoi d'une compagnie de soldats pour garder la ville (n°16) ; par Antoine Richebé, vicaire général du diocèse d'Arras : nomination de M. Laurent Ladent, curé de Wattrelos, au poste de curé d'Armentières (n°17) ; par Guillaume Legrand, hallier de la halle des drapiers d'Armentières à Anvers : dangers qui peuvent résulter pour la halle de la mauvaise règle qui y est observée (n°18) ; par Jacques de Rebreviettes : prix d'un cheval destiné à M. De Montigny (n°19) ; par les États de Lille : état des draps soumis au scel (n°20) ; par Louis de Requesens : entretien d'une compagnie de chevau-légers en garnison à Armentières et auquel contribueront les villages de Frelinghien, Quesnoy-sur-Deûle, Bondues, Wambrechies et Roubaix (n°21) ; par le sieur d'Ongnies : le bruit devient de plus en plus persistant qu'il se machine quelque surprise contre la ville d'Armentières ; d'accord avec le Magistrat de Lille et les États de la province, il envoie la compagnie du seigneur de la Cessoye pour renforcer la garnison, 1579 (n°22 et 23) ; par Maximilien Vilain, baron de Rassenghiem, gouverneur de Lille : grand nombre de flibustiers et voleurs qui saccagent et ruinent le "bonhomme" autour d'Armentières ; soldats qu'il envoie pour remédier à cette situation ; son prochain voyage à Armentières avec un ingénieur (n°24 et 25) ; par les grand bailli et échevins de Comines ; paie des officiers et soldats de la garnison d'Armentières (n°26) ; par Nicolas de Formanoir et Louis Du Saultoir : vivres à fournir par la ville de Béthune (n°28 et 29) ; par les mayeur et échevins d'Aire : farine destinée à alimenter les soldats de la garnison d'Armentières (n°30) ; par Philippe Grenu : les Gantois ont rompu les trous de Wambrechies et Marquette ; démarches pour obtenir que le seigneur d'Allennes tienne ses soldats en plus grande discipline (n°31) ; par Nicolas de Landas : fortifications de la ville ; projet d'y faire contribuer les villages voisins (n°32) ; par le capitaine La Personne : il témoigne les regrets qu'il éprouve de ce que ses confrères les capitaines de garnison d'Armentières manquent à leur serment d'obéïssance au capitaine Was, et ce au moment même de l'appréhension du prince de Gavre, 1580 (n°33) ; par Nicolas de Landas : fortifications de la ville (n°34) ; par Maximilien Vilain : artillerie arrivée à Ypres et que l'ennemi aurait le dessein d'employer contre Warneton, Comines ou Armentières (n°35) ; par Nicolas de Landas : administration des finances de la ville (n°36) ; par Maximilien Vilain : achèvement des fortifications, l'ennemi ayant grande envie d'envahir la ville d'Armentières (n°37) ; par les échevins d'Ypres : mise en liberté de deux bourgeoises de leur ville enlevées par des soldats de la garnison d'Armentières (n°38 et 40) ; par Jean Viron : modération de la taxe des habitants de Fromelles dans les frais des fortifications d'Armentières (n°39) ; par Andrieu Lhermite et Nicolas de Formanoir : réduction de la garnison d'Armentières (n°41) ; par Nicolas landas : même objet (n°42) ; par Nicolas de Fourmanoir, argentier de la ville : affaire concernant son office (n°43) ; par les échevins de Neuve-Église : contribution payée au seigneur d'Osthove (n°44) ; par Maximilien Vilain : ouvrages des fortifications (n°45) ; par Jean Viron : contributions mises par les gens de guerre depuis la prise de Menin (n°46) ; par M. De Bournonville : refus de laisser contribuer ses manants de Fournes aux travaux de fortifications d'Armentières (n°47) ; par Henri de Vicq : somme due par les habitants d'Estaires (n°48) ; par Claude de Mirebel : réception de l'avis lui annonçant que l'ennemi a rompu les trous de la Lys à Houplines (n°49) ; par Nicolas de Landas : départ de deux compagnies de la garnison d'Armentières (n°50) ; par les échevins de Sailly-sur-la-Lys : ce village ayant été fort éprouvé par la guerre, la population est à peine suffisante pour faire la moisson ; impossibilité de concourir à la fortification d'Armentières (n°51) ; par les échevins de Poperinghe : leur part dans les frais de garnison (n°54) ; par Marie de Hornes : conduite que tient la nouvelle compagnie récemment entrée à Armentières (n°55) ; par Jean Dommessent : projet de comprendre les habitants de sa seigneurie de la Chapelle-Grenier dans les mesures qui seront prises pour faire le guet (n°58) ; par Nicolas de Landas, Maximilien Vilain et Jean Viron : achèvement des fortifications (n°59, 60, 61) ; par Liévin Snouck, commissaire royal : contribution de la ville de Bailleul dans les fortifications d'Armentières (n°64) ; par Mathieu Moullart, évêque d'Arras : il recommande un prédicateur pour l'Avent (n°68) ; par Maximilien Vilain : la compagnie de son neveu le sieur d'Hellemmes, qui tenait garnison à Armentières, est remplacée par celle du capitaine Ballet (n°71) ; par les États de Lille : paiement des dettes qu'auraient pu faire les soldats qui quittent Armentières (n°72) ; par Marie de Hornes : remerciements pour les cerises et confitures qu'elle a reçues (n°77) ; par Maximilien Vilain : prière de donner assistance aux commis chargés d'annoter les biens de ceux qui tiennent parti contraire à sa Majesté (n°80) ; par Jean Derwelles : les ennemis, au nombre de 600, se sont jetés sur Merville, ont mis le feu à l'église après avoir vainement essayé de s'emparer des soldats et des manants qui s'y étaient retranchés ; ils sont ensuite partis à Bailleul ; on ne connaît pas leurs desseins ultérieurs (n°83 et 84) ; par Marie de Hornes : démolition du moulin à vent à cause de la fortification de la ville (n°85) ; par Nicolas de Landas : danger qu'il y aurait à réduire la garnison d'Armentières au milieu des bruits qui prêtent à l'ennemi le projet de s'emparer de cette ville, 1581 (n°86) ; par Pierre de Formanoir : précautions qu'on prend pour éviter toute surprise de la part des "Flamens" qui s'assemblent vers Ypres ; craintes soulevées par la captivité prolongée du comte d'Egmont (n°87) ; par les bailli et échevins de Quesnoy-sur-Deûle : remerciements pour l'avis qu'ils ont reçu de la présence autour de Lille de troupes ennemies ; ils sont instruits que le bruit des cloches se fait entendre du côté de Verlinghem : l'ennemi, dit-on, ferait effort de passer, ou serait passé déjà, par Haubourdin (n°91) ; par Pierre de Formanoir, Pierre Charlier et Jean Derwelles : nouvelles de la guerre, défaite des Français auprès de Dixmude : tout le monde est "délibéré" de les combattre, prise du château de Doulieu par les ennemis sous le commandement du seigneur de Renty (n°92, 93, 96, 97) ; par Marie de Hornes et Nicolas de Landas : décharge accordée par le capitaine Holleville de la garnison d'Armentières (n°94 et 95) ; par Maximilien Vilain : invitation à redoubler de vigilance ; des passeports, délivrés par les échevins d'Armentières, ont servi à introduire des grains et autres marchandises en pays ennemi (n°98) ; par les bailli et échevins de Warneton : autorisation d'administrer la justice à Armentières, à cause du danger qu'il pourrait y avoir à l'exercer audit Warneton (n°99 et 100) ; par Louis de Montmorency : fortifications de la ville (n°103) ; par Maximilien Vilain : fournitures à faire aux troupes (n°105) ; par Jean Le Pippre : remboursement des sommes dues à la ville ; difficultés qu'il a rencontrées de la part du commissaire Snouck "homme fort facheu à mener" (n°109) ; par Valentin de Pardieu, seigneur de la Motte, gouverneur de Gravelines : annonce du départ de douze lanches chargées de faire office d'éclaireurs autour d'Armentières (n°112) ; par le maître des fortifications d'Hesdin : sa présence est indispensable à Hesdin ; il ne pourra se rendre maintenant à Armentières. Le bruit court que les Français s'acheminent vers Cambrai : le marquis de Roubaix a convoqué, pour leur tenir tête, tous les gentilshommes de l'Artois, qui sont "casy tous partys en bonne dévotion de combattre". Il ne faut pas ajouter du bruit d'après lequel les Français seraient venus aux environs de Hesdin (n°113) ; par Maximilien Vilain : il a expédié quelques compagnies sur Cassel et le Neuf-Fossé, quand il a su que l'ennemi se dirigeait vers Poperinghe ; il défend d'abattre les bois croissant hors de la ville et qui ne sont pas un obstacle à la fortification : en cas de nécessité, il faut abattre de préférence les bois qui appartiennent à ceux tenant le parti contraire à sa Majesté (n°118 et 119) ; par le même : son lieutenant Lepers se rend à Armentières pour faire mettre au dernier supplice Jacques Syret, bourgeois et marchand de la ville, afin de servir d'exemple aux autres : veiller à ce qu'il ne produise aucune émotion populaire, 1581 (n°121) ; par Marie de Hornes : regrets qu'elle éprouve de la mort de M. De Heule, grand bailli d'Armentières ; remerciements pour les confitures, cerises sèches à l'hypocras et poires sèches que les échevins lui ont envoyées (n°127 et 128) ; par Maximilien Vilain : réquisition de pionniers et de charpentiers pour le camp (n°129 et 130) ; par Pierre Charlier : tonneaux de beurre pris sur l'ennemi par ses soldats et confisqués par les échevins d'Armentières ; instances pour obtenir leur restitution (n°131) ; par Marie de Hornes : étant dernièrement vers son Altesse à Tournai, elle lui a fait connaître les grandes charges supportées par la ville d'Armentières et occasionnées par les gens de guerre qui passent et repassent sur ses terres d'Erquinghem, Verlinghem et autres. Pour préserver ses sujets, ainsi que ses terres, de semblables exactions, elle ira demeurer pendant quelques temps en sa dite ville d'Armentières, où on lui préparera une maison commode et une écurie pour dix chevaux (n°135) ; par J. Parmentier, lieutenant de la Gouvernance de Lille : il se plaint de ce qu'on n'ait pas avisé la gouvernance de l'arrestation d'individus accusés "d'avoir machiné quelque trahison endroict la ville d'Armentières" (n°138) ; par les échevins de Lens : l'ennemi se tient à Arleux et à Lécluse, faisant de temps en temps des courses aux environs de la ville. Des coureurs ont enlevé, à la vue de la ville, quelques laboureurs travaillant sur les champs. Les soldats ennemis ont tenté un coup de main sur les faubourgs d'Arras : mais ils ont été repoussés avec pertes. Le même fait s'est renouvelé à Douai où la garnison a été renforcée. Au dos sont indiquées les mesures que les échevins d'Armentières crurent devoir prendre pour la défense de leur ville en apprenant ces nouvelles (n°139) ; par les commis du Bureau des finances : état des fournitures faites aux trois compagnies du comte d'Egmont qui ont tenu leur garnison à Armentières (n°143) ; par Maximilien Vilain : son neveu, M. De Beuvry, ayant été nommé gouverneur particulier d'Armentières au même traitement que les capitaines de la garnison, il invite les échevins à lui faire quelque avantage afin de l'encourager à user de diligence et d'affection en tout ce qui concernera leur bien, utilité et repos, 1582 (n°144) ; par Marie de Hornes : annonce de son arrivée à Tournai où elle a à faire à la cour, notamment à cause de la délivrance de son mari : elle envoie plusieurs de ses chevaux à Armentières pour les entretenir jusqu'à son arrivée en cette ville (n°145) ; par Louis de Montmorency : il demande des charpentiers pour travailler à l'établissement d'une batterie d'artillerie à Sailly-sur-la-Lys ; il demande aussi des mandelettes grises pour exécuter des travaux d'approches et faire des gabions (n°147 et 148) ; par Marie de Hornes : avis de sa prochaine arrivée à Armentières où elle logera dans la maison du greffier ; l'affaire de la délivrance de son mari la met encore en retard (n°149) ; par la même : elle prie les échevins de laisser rentrer en ville le nommé Michel Petenin, qui en a été banni pour cause de religion ; c'est un homme paisible et qui offre de prêter serment de se réconcilier avec l'Église et vivre en bon catholique, 1582 (n°152) ; par Maximilien Vilain : averti qu'hier soir (19 juin 1582), une troupe de Français venant de Cambrai est passée à Vitry pour venir du côté de La Bassée et que, de l'autre côté de la Flandre, l'ennemi est également sur pied, il recommande de soigner les portes de la ville et de l'informer de tout s'il y a lieu, pour qu'il corresponde avec les garnisons voisines telles que Warneton, Doulieu et Estaires, afin de se prêter assistance l'une à l'autre (n°156) ; par M. De Haynin ; prière de laisser le censier de son oncle, le seigneur de Bois-Grenier, retirer de la provision de grains qu'il a mise en sûreté à Armentières, la quantité qui lui est nécessaire pour remplir ses obligations envers son seigneur (n°157) ; par Maximilien Vilain : les ennemis, au nombre de 6000, ont tenté cette nuit (25 juin 1552) de surpendre Courtrai par escalade. Ayant été repoussés, laissant derrière eux les échelles et ponts avec les soldats qui étaient déjà sur les remparts et un capitaine, lesquels ont été faits prisonniers, ils se sont retirés sur Menin ; avertissement de faire bonne garde (n°158) ; par Guillaume Le Vasseur : il transmet l'ordre du baron de Rassenghien pour préparer des vivres destinés au camp (n°161) ; par Alexandre, prince de Parme, gouverneur des Pays-Bas : ordre d'arrêter le butin que pourraient faire vendre à Armentières les soldats du camp de Bergues (n°162) ; par Maximilien Vilain : ordre de brasser le plus de bière qu'il sera possible et de cuire le plus de pain que l'on pourra pour être expédiés à Bailleul et à Poperinghe, où sont les troupes (n°165) ; par Parmentier : réquisition de pionniers pour le fort d'Halluin (n°167) ; par le prince de Parme : conformément au désir des échevins d'Armentières, il a donné l'ordre de faire panser à Tournai les militaires malades qui doivent être transportés à Armentières ; il défend, sous peine de la corde, à qui que ce soit, d'acheter, des soldats, les grains que Sa Majesté fait battre pour son service (n°169 et 171) ; par Maximilien Vilain : nouvelles troupes envoyées pour renforcer la garnison d'Armentières (n°172) ; par A. De Ghistelles : troupes qui sont à la recherche de leurs régiments et qui se dirigeaient sur Armentières ; il a pu leur faire prendre leur route par Warneton et Quesnoy-sur-Deûle (n°173, 174 et 175) ; par Marie de Hornes, au château d'Erquinghem : les échevins d'Armentières ayant refusé, à plusieurs soldats du camp et à des soldats espagnols qui se sont présentés à la porte de leur ville, de les laisser passer, elle les prie de laisser à l'avenir le passage libre, à cause du danger qui peut en résulter pour eux et ses autres sujets ; ordre de défendre aux soldats d'aller quérir du bois en baquets sans être en nombre suffisant (n°176 et 177) ; par Alexandre, prince de Parme : grains qu'il a laissés à Armentières lorsque son camp était à Messines (n°178) ; par Antoine de Grenet : garnison d'Armentières (n°179 et 180) ; par Maximilien Vilain : palissades à faire en certains endroits des remparts d'Armentières ; épines à prendre pour cet objet dans les bois du comte d'Egmont à Verlinghem (n°182) ; par Etienne Cuignet : détails sur la prise de la ville de Dunkerque, qui a capitulé après un furieux assaut (n°185) ; par Jean Viron : réquisition d'ouvriers charpentiers (n°186) ; par Mathieu Moullart : nomination du successeur de Me Simon Du Moulin, pasteur d'Armentières (n°188) ; par Marie de Hornes : arrestation par le capitaine Ballet, d'Armentières, des bateaux de quelques habitants de cette ville pour avoir refusé de prendre sur lesdits bateaux des soldats de la garnison (n°189) ; par Philippe Herts, argentier de la ville : pâté de loutre offert au comte d'Egmont et dont celui-ci a fait beaucoup de cas, "comme étant chose nouvelle", 1610 (n°193) ; par M. De Haynin : "redressement" de la manufacture des draps ; cette affaire est soumise par les États à son Altesse, 1611 (n°198) ; par le comte d'Annappes à Lille : petits chiens achetés pour le Nonce du Pape, il trouve fort beaux les deux couples dont les échevins lui ont bien voulu faire le cadeau (n°202) ; par le frère Ange, du couvent d'Aire : frais de façon et de dorure d'un ciboire qu'un personne a l'intention de donner à l'hôpital d'Armentières (n°208) ; par J-B Gramaye : il adresse aux échevins d'Armentières un manuscrit dédié à ce corps et offrant l'historique de leur ville et des lieux voisins ; il leur propose, en outre, son secrétaire qui choisira un peintre pour dessiner leur ville et le château voisin d'Erquinghem, 1612 (n°209) ; par les échevins de Gand : une union avec les villes de Menin, Roulers et autres est proposée à la ville d'Armentières afin de faire échouer la demande faite par la ville d'Anvers pour obtenir la liberté de passage "sans rompre charge", 1652 (n°215) ; par Robert Douez : il donne avis que le comte de Montécuculli vient d'être pourvu du commandement de la ville d'Armentières où il se rendra dans un bref délai, 1653 (n°216) ; par F. Samblé : remboursement à la ville d'Armentières des sommes dépensées pour livraison des feux et lumières aux troupes de la garnison ; annonce de la prochaine arrivée à Armentières, pour être incorporés dans le vieux tercio irlandais qui y tient garnison, des soldats des régiments réformés d'infanterie irlandaise, obtention d'un octroi pour le franc marché (n°219 à 229) ; par Jean Giroul, père de la Compagnie de Jésus : démarches faites à Lille pour obtenir que la ville d'Armentières soit chargée d'une partie de sa garnison (n°232) ; par les échevins de Fleurbaix : arrestation d'un individu signalé par les échevins d'Armentières (n°233) ; par Charles d'Havré : permission de tirer d'Armentières les ardoises nécessaires pour réparer sa maison à Deûlémont découverte par un orage (n°235) ; par le comte d'Egmont : il a trouvé, lors de son dernier séjour à Armentières, le Magistrat et le peuple fort disposés à le bien recevoir. Il a été pris de commisération à la vue du tableau des charges excessives qui pèsent sur cette ville : il fera tout ce qu'il pourra pour lui procurer du soulagement (n°236) ; par le gouverneur de Lille : règlement touchant les fournitures à faire aux soldats de la garnison (n°237).
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