GG - Culte, instruction et assistance publique

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Cote/Cotes extrêmes

GG 1 - GG 157

Date

1387-1792

Présentation du contenu

archives anciennes antérieures à 1790

Clergé régulier : capucins.

Cote/Cotes extrêmes

GG 63

Date

1637-1779

Importance matérielle

7 pièces, papier.

Présentation du contenu

Différend au sujet de la tenue du catéchisme entre les Jésuites et les Capucins de Béthune, ceux-ci l'enseignant depuis plus de trente ans par charge des pasteurs de ladite ville. Les Capucins reprochent aux Jésuites d'employer, pour attirer du peuple, le moyen de distribuer deux liards à chaque assistant. Ce moyen, ajoutent-ils, n'est pas sans inconvénient dans une ville aussi rapprochée de la frontière car, dans la foule qui se presse au catéchisme le dimanche, il peut se trouver beaucoup de Français déguisés : ceux-ci peuvent sous leurs habits cacher des armes, et, à un moment donné, s'emparer des portes de la ville, enclouer les canons, faire sauter la poudrière, etc. Lettre adressée par les bailli et échevins d'Armentières au premier ministre d'état du Roi : ils se plaignent qu'il n'ya plus chez les Pères Capucins qu'un seul confesseur autorisé par l'évêque d'Arras et que la dévotion du peuple en souffre. Acte notarié par lequel plusieurs habitants de Frelinghien notifient au curé de cette paroisse que dorénavant ils ne contribueront plus dans les frais de nourriture et de logement des Pères Capucins du couvent d'Armentières qui sont appelés à Frelinghien pour y prêcher et confesser, 1745. Lettre de Jean, évêque d'Arras, au Père Silvère, de Valenciennes, provincial des Capucins de la province de Lille, par laquelle il lui annonce qu'il a désigné M. Van Oye, curé d'Armentières, pour bénir la première pierre de la nouvelle église des Capucins de cette ville ; mention que la bénédiction et la pose de la première pierre de cette église a eu lieu le 26 août 1755. Lettre du Frère Edmond, capucin, gardien de la maison d'Armentières, par laquelle il sollicite de l'évêque d'Arras, pour M. Macquette, curé de Nieppe, diocèse d'Ypres, la permission de prêcher dans le couvent des Capucins d'Armentières. Le vicaire général de l'évêque d'Arras, sur la demande M. Van Oye, curé d'Armentières, fixe au dimanche de la Quinquagésime et aux deux jours suivants la cérémonie des prières dites de quarante heures qui avait lieu dans l'église des Pères Capucins à la Pentecôte, 1766. Sermon après vêpres les jours de fêtes à faire par le Père stationnaire des Capucins. Lettre du Frère George, provincial des Capucins, au doyen de chrétienté d'Armentières, pour le prier d'agréer les questeurs de la maison d'Armentières.

Mots clés lieux

Mots clés matières