Lettres du comte d'Egmont au Magistrat d'Armentières : il prie le Magistrat d'accorder au fils de Madame Debusigne une bourse vacante au collège de Douai qui est à la nomination des échevins d'Armentières ; lettre des échevins au comte : regrets qu'ils éprouvent de ne pouvoir satisfaire à sa demande : le fils aîné du sieur Dehanne, ancien échevin, paraît plutôt devoir obtenir la bourse en question. Lettre du comte aux échevins : il se rend à l'avis du Magistrat touchant la collation, au fils du sieur Dehanne, de la bourse du collège de Douai qu'il avait demandée pour le sieur Debusigne. Lettres du comte aux échevins : il révoque les pouvoirs du lieutenant du bailli, et surseoit jusqu'à nouvel ordre, par mesure d'économie, à la nomination à cet emploi ; le grand bailli Goudemez, résidant à Armentières, fera exercer par les sergents les fonctions dont il pouvait se décharger sur ledit lieutenant ; il a appris la mort du sieur Goudemez, bailli d'Armentières et désigne pour le remplacer M. Bertin, conseiller honoraire du roi.