Cote/Cotes extrêmes
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archives anciennes antérieures à 1790
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Lettres de Charles, comte d'Egmont, seigneur d'Armentières : prorogeant les octrois qu'il avait précédemment accordés à la ville d'Armentières afin de l'aider à payer les travaux d'appronfondissement des deux rivages et de la petite rivière, et la reconstruction des portes, "qui vont en entière ruyne" ; permettant de lever un nouvel impôt sur la bière et le vin afin de suppléer à l'insuffisance des ressources de la table des pauvres : l'impôt, demandé en 1593, avait suffi, dès la première année, pour rembourser les avances faites par les ministres des pauvres ; mais, en mai 1597, les nouveaux ministres, se trouvant encore obligés de fournir de leur propre bourse aux besoins de la classe nécessiteuse, on avait obligé de remettre sur pied l'impôt de 1593, dont la durée est expirée quoiqu'il soit encore dû aux-dits ministres plus de 6,000 l.
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