Cote/Cotes extrêmes
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archives anciennes antérieures à 1790
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Commission donnée à Pierre Delattre pour remplir par intérim les fonctions de receveur de la ville jusqu'à ce que le trésorier Félix-François Gaillet ait purgé son dernier compte. Défense audit sieur Gaillet de vendre son office de trésorier de la ville d'Armentières avant de s'être entièrement libéré envers la ville et les particuliers. Requête présentée au bureau des finances de Lille par le sieur François-Félix Gaillet, conseiller du roi, receveur de la ville d'Armentières, afin d'obtenir, pour la reddition de son compte, un délai de quinze jours, le Magistrat d'Armentières prétendant à tort qu'il refuse de le rendre. Signification faite à Nicolas-Albert De La Croix, de la délibération des mayeur et échevins qui lui défend de se défaire du prix de l'office d'argentier d'Armentières que lui a cédé le sieur Gaillet, avant que celui-ci se soit libéré de ses obligations. Défense faite par les échevins d'Armentières au sieur Nicolas-Albert De La Croix, trésorier héréditaire de la ville, de s'introduire dans leurs assemblées quand il ne s'y traite pas des questions qui regardent la desservitude de sa charge : ledit De La Croix prétendait, "ce qui est une nouveauté inouïe", avoir le droit d'assister à toutes les assemblées du Magistrat. Plainte portée par le Magistrat au bailli Denyau, sur les insultes proférées par le sieur De La Croix, trésorier de la ville d'Armentières, contre l'échevin Six, en pleine Chambre échevinale. Notification audit sieur Albert-François De La Croix de l'acte de révocation des deux emplois qu'il occupe, celui de trésorier de la ville et celui de receveur des biens du comte d'Egmont à Armentières. Adjudication au plus offrant de la place de collecteur des tailles et vingtièmes à Armentières.
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