GG - Culte, instruction et assistance publique

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Cote/Cotes extrêmes

GG 1 - GG 157

Date

1387-1792

Présentation du contenu

archives anciennes antérieures à 1790

Assistance publique : Bons-Fils.

Cote/Cotes extrêmes

GG 116

Date

1723-1781

Importance matérielle

31 pièces, papier.

Présentation du contenu

Procès verbaux de visites faites dans la maison forte des Bons-Fils par les échevins en vertu de leur droit de police, lequel leur a été contesté par ces religieux en 1731 et 1732, et par l'intendant de Flandre en 1781. Plaintes formulées contre frère Martin Burette, supérieur de la maison des Bons-Fils d'Armentières, par le sieur de Gayaffa et le chavalier de Cernay, détenus. Ordres de transfert et correspondance concernant les détenus. Enquête faite par les grand-bailli et les délégués des échevins d'Armentières en la maison des Bons-Fils, sur l'avis qui leur avait été donné que l'épouse du sieur Le Breton, gentilhomme de Douai, enfermé aux Bons-Fils en vertu de lettres de cachet du roi, mangeait journellement avec lui, ce qui est contraire à l'usage et aux bonnes règles : ils enjoignent au frère Antoine Lefebvre, supérieur, de veiller à ce qu'aucun de ses pensionnaires n'ait en sa possession couteau, ciseau ou autre objet pouvant faciliter une évasion, 1746. Noms des personnes détenues en la maison des Bons-Fils d'Armentières : Jacques-Louis Le Comte Thomassin, de Douai, Erasme Du Belloy, Antoine de Corbaumont, dom Placide, religieux de l'abbaye de Saint-Saulve, Noël-Philippe de La Hamaide, de Tournai, dom Joseph Roland, de Valenciennes, le chevalier de La Lobbe, dom Pierre Vanstrude, de Saint-Maur, le baron d'Assignies, etc., 1747. Commission donnée par Jean Moreau, seigneur de Séchelles, intendant de Flandre, au sieur d'Haffrengues, son subdélégué à Lille, pour visiter, quand bon lui semblera, la maison des Bons-Fils d'Armentières, 1747. Lettre écrite au nom de l'intendant par le sieur Massart aux échevins d'Armentières pour leur demander un mémoire sur la juridiction qu'ils prétendent avoir en ce qui concerne la maison de force ; les échevins d'Armentières, en réponse à cette lettre, envoient copie de cinq documents tendant à établir leur droit, comme agents du comte d'Egmont, seigneur haut justicier, sur l'administration de la maison tenue par les Bons-Fils, 1749. Pièces relatives à l'admission, dans la maison des Bons-Fils, de Jean-Noël Loubert, pour cause d'ivresse, et d'Adrien Barbage, frère du père Césaire Barbage, récollet de la province de Lille.

Mots clés lieux

Mots clés matières