Cote/Cotes extrêmes
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archives anciennes antérieures à 1790
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Lettres de Charles, comte d'Egmont, prince de Gavre, seigneur d'Armentières, autorisant les bailli, échevins et marguilliers de cette ville à lever des impôts extraordinaires sur le poisson, l'huile, le savon, le cuir, le bois et le charbon, et ce pendant six ans, afin de subvenir aux charges de l'église paroissiale qui s'élèvent actuellement à 1,240 livres, somme que la fabrique ne peut payer, et aussi pour acheter de nouveaux ornements, ce pour quoi les ressources de la fabrique sont insuffisantes, n'étant que de 450 l. par an. Compte de Jean Lutun, receveur du droit levé de 1617 à 1627 sur chaque estamette et chaque drap qui se portent à la haute perche en la halle d'Armentières afin de rembourser aux marguilliers de l'église paroissiale les sommes qu'ils ont avancées pour couvrir l'arriéré des comptes de la fabrique : Recette 2,499 l., dépense 2,395 l. Demande de modération de fermage adressée aux marguilliers de l'église d'Armentières par Jeanne Leleu, qui occupe des terres appartenant à ladite église.
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