Cote/Cotes extrêmes
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archives anciennes antérieures à 1790
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Renouvellement de la loi d'Armentières : Michel Boidin, mayeur, Dhem, Domicent, Van Oye, Rouzé, André Van Oye, Pierre Malengié et Detenre, échevins. Lettre du comte d'Egmont à Jacques-François Rouzé, échevin de la ville d'Armentières, pour lui notifier que son intention est qu'il occupe la place d'échevin dont il l'a investi. Il déclare ignorer les raisons pour lesquelles ses collègues ont refusé le poste d'échevin que ledit comte leur avait confié : il désire connaître la cause de leur hésitation. Lettre des mayeur et échevins d'Armentières par laquelle ils prient instamment le comte d'Egmont de pourvoir à leur remplacement : ils se déclarent impuissants à continuer leurs fonctions devant la négligence et l'incapacité des officiers permanents, qui ne cherchent qu'à contrecarrer le Magistrat en toute occasion. Lettre des échevins d'Armentières à M. Goudemez, intendant du comte d'Egmont, lui annonçant la mort du sieur Walbecq, mayeur d'Armentières, et lui demandant de solliciter dudit comte une prompte décision au sujet d'un conflit d'autorité nuisant à l'administration et police de la ville qui est soulevé contre le Magistrat et les baillis ; réponse du sieur Goudemez : il témoigne ses regrets de la mort de M. Walbecq ; il annonce que le comte d'Egmont est actuellement avec toute sa maison à Braine-en-Champagne où il est revenu après avoir passé deux mois avec son régiment dans les Trois-Évêchés : la décision demandée par les échevins sera prise lors de son retour à Paris, 1749. Les mayeur et échevins de la ville d'Armentières représentent au comte d'Egmont "qu'étant chargés d'exercer en son nom la justice dans la susdite ville, de régir et administrer ses biens et revenus en s'assemblant régulièrement deux fois la semaine pour remplir ces différents objets, au préjudice même de leurs propres affaires qu'ils sont quelquefois tenus de négliger pour veiller et s'appliquer à celles de ladite ville, et n'aïant pour gages et rétributions de tous les services qu'ils sont obligés de rendre en leur qualité, que trente-deux florins chacun, ce qui est très modique eu égard au temps qu'ils emploient dans le cours d'une année à s'acquitter des fonctions de leurs offices", il plaise audit comte de leur accorder une augmenttaion de gages. Règlement du comte Casimir d'Egmont-Pignatelli fixant les droits, honneurs, prééminences, prérogatives, privilèges et franchises, du bailli et du Magistrat d'Armentières, afin qu'à l'avenir nulle contestation à ce sujet ne puisse s'élever entre eux : les gages du bailli sont fixés par an à la somme de 300 l de France et ceux des mayeur et échevins à celle de 100 l, 24 mars 1759.
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