Cote/Cotes extrêmes
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archives anciennes antérieures à 1790
Cote/Cotes extrêmes
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Décisions prises par les bailli et échevins d'Armentières. Arrêt concernant l'achat et la réunion de l'office de bailli de Lille. Difficultés qu'éprouve le nouveau greffier dans l'exercice de ses fonctions. Requête des Bons-Fils afin de démolir deux maisons. Demande d'une place de chapelain de l'église paroissiale. Permissions d'opérer des travaux de réparation ou de reconstruction de maisons. Requête à l'effet d'obtenir des emplois dépendant de la ville d'Armentières. "Grand bailli, mayeur et échevins d'Armentières, salut. Pour les causes à nous connues, nous avons délibéré et arrêté qu'à l'advenir aucuns du corps n'assistera aux royaumes des confréries ny aux festins et réjouissances qui se font ès dites confrérie ; bien entendu néantmoins que les eschevins qui se trouveront engagés dans l'une des confréries pourront y assister en la qualité de confrères seulement, et que le lieutenant du bailly qui tirera les trois coups du seigneur en l'absence ou du consentement dudit seigneur grand bailly, ne se trouvera point auxdits festins et réjouissances", 6 juin 1738. Renouvellement des dispositions relatives à la police des cabarets. Suppression de l'allocation annuelle à la confrérie du Saint-Sacrement. Réparations des bâtiments de l'hôpital des Infirmes : projet d'y placer le métrage public. Recherche d'actes tendant à établir le droit de la ville sur la nomination du coutre (sacristain) de l'église paroissiale, des marguilliers et du "pauvrieur". Legs aux pauvres d'Armentières par le sieur Louis-François Le Prévost de Basserode, seigneur du Bois. "L'an mil sept cens quarante-trois, le vingt-trois de juillet, sur ce qui a esté représenté que le blazon de Jacques de Luxembourg, ancien seigneur de cette ville et paroisse, qui est placé dans le choeur de l'église paroissiale et qui est chargé d'une cotte d'arme, d'un casque et d'une large espée et autres trophez cy après expliquez, est si vieux et si caducque que la cotte d'arme est tombée il y a environ dix-huit mois ; qu'il est à craindre que le casque et l'espée ne tombent et ne causent quelque désordre, et, pour éviter les accidents qui pourraient arriver, il serait nécessaire d'ôter ledit blazon, à quoi le sieur Denyau, bailly de cette ville, en qualité d'intendant de la maison d'Egmont, a consenti d'ôter ledit blazon pour y placer celui de Mgr le comte d'Egmont, mort à Annapes le vingt-deux de mai dernier, ce qui a esté exécuté cejourd'huy. Et ladite espée, avec le casque, ensemble le collier de l'ordre de la Toison d'Or et cinq blazons brodez sur étoffes, savoir : deux de la maison de Luxembourg, le troisième d'Auxy, le quatrième de Gruituisen et le cinquième de Berlaymont, le tout ayant esté mis dans un coffre au-dessus du salon de la maison-ville, dont et de quoy nous avons dressé le présent procès-verbal", 1743. Tarif des honoraires à payer pour les processions, saluts et offices des confréries établies en l'église paroissiale. Assistance aux assemblées échevinales : "Les mayeurs es eschevins et le sieur greffier seront tenus de se rendre à la Chambre eschevinalle tous les jours d'assemblée, à dix heures précis, ou au plus tard avant le quart sonnant après dix heures, à peine de trois patars d'amende et de quatre patars après onze heures, lesquelles amendes seront mises entre les mains du sieur grand bailly pour estre employez à une récréation", 1744. Ordonnance du comte d'Egmont pour réprimer les abus qui se commettent dans l'église paroissiale. Déclaration par les gens de loi de la paroisse d'Armentières que, ne contribuant en rien aux réparations de l'hôtel de ville d'Armentières dans lequel ils tiennent leurs plaids par pure tolérance du Magistrat de cette ville, ils n'ont rien à prétendre sur ledit hôtel. Requête des Roy, grands connétables et autres confrères des quattre compagnies franches érigées à Armentières sous le titre d'escrimeurs ou joueurs d'armes, canonniers, arbalétriers et archers", pour obtenir la gratification annuelle de 50 florins qui leur avait été accordée depuis deux siècles par le Magistrat tant pour subvenir à leurs nécessités qu'en récompense des services qu'ils ont rendus autrefois en défendant la ville contre les incursions et violences des hérétiques rebelles, laquelle gratification vient de leur être refusée.
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