Cote/Cotes extrêmes
Date
Origine
Présentation du contenu
archives anciennes antérieures à 1790
Cote/Cotes extrêmes
Date
Importance matérielle
Présentation du contenu
Lettre de M. De Bassecourt, intendant de la maison d'Egmont, à Paris, au Magistrat d'Armentières : il annonce le décès de Mgr Procope-François, comte d'Egmont, arrivé le 15 de septembre passé, 1707. Frère Pierre Leplus, prieur des Brigittins, invite les échevins à assister en corps aux funérailles qui seront célébrées dans le couvent des Brigittins d'Armentières pour le repos de l'âme du comte d'Egmont défunt Procope-François. Lettre de M. Goudemez, intendant de la maison d'Egmont, au Magistrat, pour lui annoncer la mort du comte d'Egmont, décédé le 3 juillet 1753. Note de laquelle il résulte que les échevins d'Armentières, en apprenant cette nouvelle, "ont fait sonner toutes les cloches pour annoncer au public le funeste événement" et ont demandé à M. Goudemez "qu'on leur marque le jour pour faire faire un service et funérailles". Supplique des bailli, mayeur et échevins d'Armentières aux président et trésoriers du Bureau des finances de Lille, à l'effet de pouvoir employer une somme de 3,000 florins aux frais et dépenses de l'entrée et de la réception dans la ville d'Armentières de Mgr le comte et de Madame la comtesse d'Egmont ; apostille qui permet d'affecter à cette dépense extraordinaire une somme de 2,500 florins seulement, 1765. "Compliments à faire par M. Le mayeur de la ville d'Armentières à l'entrée de M. Le grand bailly de ladicte ville". Ce discours a été prononcé le 29 septembre 1721, lors de l'entrée de M. Denyau, grand bailli. État, dépenses et débours faits pour le compte de Messieurs du Magistrat à cette occasion ; coût du dîner.
Mots clés lieux
Ce site utilise des cookies techniques nécessaires à son bon fonctionnement. Ils ne contiennent aucune donnée personnelle et sont exemptés de consentements (Article 82 de la loi Informatique et Libertés).
Vous pouvez consulter les conditions générales d’utilisation sur le lien ci-dessous.