Administration générale : correspondance adressée aux baillis et échevins d'Armentières.
Lettres provenant des maires et échevins d'Ardres, d'Aire, d'Arras, Bailleul, Bapaume et d'autres personnages.
Lettres provenant des maires et échevins d'Ardres, d'Aire, d'Arras, Bailleul, Bapaume et d'autres personnages.
Lettres provenant des bourgmestres et échevins de Menin, des administrateurs de la table des pauvres, des mayeurs et échevins de Merville et Orchies, des lieutenants et échevins de Roncq, des baillis et échevins de Tourcoing, des prévôts, jurés, mayeurs et échevins de Tournai et Valenciennes, des baillis et échevins de Westriute et Warneton, des avoués et échevins de Ypres, du sieur Mariaval intendant de la maison d'Egmont concernant les funérailles de la duchesse de Bisacha, du sieur Mauroy procureur postulant au greffe du Bureau des finances de Lille, du sieur Vincent procureur à la Cour du Parlement de Douai et d'autres personnages.
Lettres provenant des baillis et échevins de Comines, les bourgmestres et échevins de Courtrai, et d'autres personnages.
Lettres provenant du grand bailli d'Armentières, des échevins de Douai et d'autres personnages.
Lettres provenant des députés des états de Lille et de La Bassée, M. Leroux secrétaire de M. Houssoye conseiller d'état et intendant des finances à Paris et d'autres personnages.
Lettres provenant des baillis et échevins d'Estaires, les bourgmestres et échevins de Furnes, les échevins de la ville de Gand, les baillis et échevins d'Hazebrouck, les baillis et les gens de loi de Houplines et d'autres personnages.
Receuil de lettres missives originales adressées au magistrat d'Armentières.
Lettre de Nicolas Pignatelli, duc de Bisacha, père et tuteur de Procope-Marie d'Egmont-Pignatelli, comte d'Egmont, seigneur d'Armentières, afin de surseoir à toutes poursuites et procès jusqu'au moment de sa venue où il doit prendre connaissance des intérêts de son fils mineur.
Lettres de demandes de renseignements et d'avis sur les réparations de la maison de ville, le nouvel octroi à solliciter, les orgues de l'église, l'entrée de la Chambre échevinale interdite aux hommes féodaux.
Lettres concernant les affaires de la ville : prorogation des octrois, baptêmes des cloches de l'église paroissiale.
Lettres des échevins d'Armentières à l'intendant et au comte d'Egmont pour se disculper dans l'affaire de malversation imputée à leurs prédeccesseurs en office par des bourgeois turbulents qui voudraient avoir inspection des comptes. Explications fournies par le magistrat d'Armentières au secrétaire du comte d'Egmont sur la conduite tenue par les échevins en diverses circonstances.
Lettres de Jean Moreau, seigneur de Séchelles concernant les abus qui existent dans les hôpitaux militaires, l'état de l'administration de la ville, la manufacture de serviettes, les exemptions dont jouissent les corporations religieuses, l'exécution des ordonnances concernant la mendicité. Lettres de Antoine-Louis le Fèvre de Caumartin, marquis de Saint-Ange touchant la publication de la paix avec l'Angleterre et le Portugal, le commerce des grains, la levée du don gratuit, la répression des fraudes qui se sont introduites dans la fabrique des toiles et linges de table, l'adjudication des octrois, l'exécution des ordonnances prescrivant le transport à la Monnaie de l'argenterie appartenant aux églises et communutés religieuses.
Lettres de Charles-Etienne Maignart, marquis de Bernières et Antoine-François Méliand relatives à son repos après 26 années de service dans les pays étrangers et les provinces du royaume.
Rappel aux échevins des réglements aux mouvements de troupes, dénombrement des collèges et professeurs.
Lettres de M. D'Haffrengues, successivement subdélégués à Lille de l'intendant de Flandre, concernant les diverses branches de l'administration, le règlement touchant le commerce de librairie que peuvent exercer les merciers, le droit de péage, les offices municipaux, les fournitures aux troupes, les postes aux chevaux, le commerce du lin, la fausse monnaie, l'état des productions du sol, les renseignements susceptibles de figurer dans le calendrier général de Flandre, l'envoi d'édits et arrêts royaux, les marchés, cantines, les droits de domicile des pauvres.