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Clergé séculier : église paroissiale, chapelles et confréries.

GG 31 , 1683-1710  

Comptes de l'église paroissiale d'Armentières : « A Albert Grenu, commis à chasser les cocquins de ladicte église IIIIxxXVI l. » 1693. Recette totale des années 1699 à 1704 : 8, 035 l. 8 s. 11 d. ; dépense : 6,746 l. 11 s. Remises faites à des fermiers occupant les biens de l'église pour inondations, pertes et fourragements qu'ils ont soufferts pendant les années 1706, 1707, et 1708, 514 l. 17 s.

Procès devant le conseil de Flandre, le parlement, l'intendant, le bureau des finances, les états de lille, le baillage de lille, actes passés devant la gouvernance de lille et la seigneurie de la motte.

FF 14 , 1683-1731  

Procès devant l'intendant de Flandre : entre la dame de Pronville et le Magistrat d'Armentières, entre le sieur Gaillet, ancien trésorier de la ville, et le même Magistrat, au sujet du paiement des rentes, entre les gens de loi de la paroisse de Méteren et les échevins d'Armentières, au sujet de la prétention du sieur Joseph Casteele au droit de domicile en ladite paroisse de Méteren.

Usines, manufactures, commerce.

HH 14 , 1684-1693  

Requêtes présentées à l'intendant Du Gué de Bagnols et au comte d'Egmont par les drapiers et échevins d'Armentières à l'effet d'obtenir le rétablissement du sceau d'aunage pour la longeur des draps, sceau qui avait été abrogé par ordonnance du 26 décembre 1684. - Copie des privilèges de Jean-sans-Peur et de Jacques de Luxembourg fournie à l'appui de ces requêtes.

Registres de naissances, de mariages et de décès.

GG 4 , 1684-1703  

Registres contenant les naissances : « L'an 1685, le 19e jour du mois de febvrier, je, vicaire de la paroisse d'Armentières, ay baptisé le fils né le 16 du même mois en légitime mariage de Raphaël Deletombe, bourgeois, brasseur, et de Marguerite Cousin, ses père et mère, auquel est imposé le nom de Pierre. Le parrain : Pierre Le Roy, jeune homme, et la marraine Marie-Brigitte Domi, boulangère. »

Clergé régulier : pénitentes, soeurs de Saint-François de Sales.

GG 71 , 1684-1723  

Acte notarié par lequel les relgieuses du couvent de Notre-Dame-des-Anges dites Pénitentes ou Capucines d'Armentières établissent Bauduin Delecar pour leur procureur dans le procès qu'elles soutiennent contre la ville d'Armentières au sujet du paiement de rentes. Etat des biens du couvent de Saint-François de Sales à Armentières. Rente assignée, au profit des religieuses Pénitentes d'Armentières, sur les domaines de Cassel et bois de Nieppe. Avis touchant la question de savoir si les religieuses Pénitentes dites Capucines du tiers-ordre de Saint-François sont obligées à l'office divin tant au choeur que dehors sous peine de péché.

Assistance publique : l'hôpital de Sainte-Marie ou des Bleuettes.

GG 102 , 1684-1789  

Amortissement par Louis XIV des biens appartenant à l'hôpital de Sainte-Marie à Armentières. Quittances des droits payés par la communauté de religieuses de la Visitation pour l'obtention des lettres du Roi précitées et l'amortissement d'une rente de 24 livres donnée auxdites religieuses par les confrères arbalétriers d'Armentières, 1686. Lettres du roi Louis XV par lesquelles il confirme les supérieure et religieuse de la communauté de l'hôpital de Sainte-Marie à Armentières dans la possession des biens qu'elles ont acquis antérieurement à la déclaration du 9 juillet 1738, relative aux gens de main-morte des pays de Flandre et de Hainaut, 1780. Arrêt du conseil d'état fixant à la somme de 282 l. 4 s. 6 d., le droit de marc d'or que devront payer les religieuses de l'hôpital de Sainte-Marie en retour de la confirmation ci-dessus, leurs biens ayant une valeur de 11 288 liv. 17 s. Déclaration des rentes appartenant à l'hôpital de Sainte-Marie, fourni en exécution de l'arrêt du conseil en date du 2 septembre 1692. Inventaire des titres de propriété que possèdent les religieuses dudit hôpital.

Assistance publique : Bons-Fils.

GG 112 , 1685-1761  

Constitution d'une rente au profit des Frères du tiers-ordre de Saint-François à Bergues par Jean Hoornaert. Acte par lequel frère Alexis Lemahieu, supérieur de la famille d'Armentières des Frères du tiers-ordre de Saint-François, promet de remplir les charges imposées à sa maison par la fondation de frère Jean Millhomme, 1696. Don par Pierre Dumetz aux Frères du tiers-ordre de Saint-François à Armentières, de douze cents un quarteron de terres et prés à Armentières et à Erquinghem, avec les autres biens meubles et immeubles, or et argent, qu'il laissera au jour de son trépas, 1696. Abandon par François Colle, marchand, aux Bons-Fils d'Armentières, du tiers d'une maison située en cette ville à la condition de prendre à leur charge " l'alliment, entretien et establissement de Louis Odent, débile d'esprit " dont ledit François Colle est tuteur, 1698. Constitution d'une rente par Thomas Becquet au profit des Bons-Fils d'Armentières. Bref du pape Clément XIII par lequel il accorde une indulgence plénière aux fidèles qui, étant en état de grâce, visiteront, le jour de la fête de saint Joseph, l'église des Frères du tiers-ordre de Saint-François à Armentières, et y prieront aux fins ordinaires de l'église, 1761.

Religion réformée.

GG 75 , 1685-1712  

Les grand bailli et échevins d'Armentières certifient que dans l'étendue de leur juridiction il ne demeure personne faisant profession de la religion prétendue réformée et qu'il n'existe pas de biens appartenant à des gens qui pratiquent cette religion, 1685. Lettre des délégués des états généraux des provinces unies à Lille prescrivant au magistrat d'Armentières d'approprier sans délai un local convenable pour l'exercice de la religion réformée, et blâmant les échevins du peu d'empressement qu'ils ont mis à satisfaire aux ordres que leur ont donnés à ce sujet leurs Hautes Puissances, 1712. Les échevins d'Armentières notifient aux sieurs Charlet, De la Croix, Thesse et Carpentier, aussi échevins de la même ville, qu'ils sont toujours prêts à achever les travaux d'appropriation de la maison contiguë à l'hôtel de ville pour l'exercice de la religion réformée malgré l'ordre qu'ils ont reçu de disposer à cet effet un local dans la chambre échevinale : ils déclarent ne pouvoir satisfaire à cet ordre sans en avoir l'assentiment du comte d'Egmont et protestent contre l'accusation de négligence qui pourrait leur être imputée. Requête présentée aux députés des états généraux des provinces unies par les bailli et échevins d'Armentières, à l'effet d'obtenir que leur ville soit déchargée des frais occasionnés pour accommoder une place destinée à l'exercice de la religion réformée. État des frais des travaux d'appropriation s'élevant à la somme de 1221 fl. 9 pat., non compris 177 fl. De charges annuelles.

Création d'échevinage, droit de domicile.

BB 15 , 1685-1749  

Création des échevins des seigneuries de Saint-Simon et de Raisse, noms des échevins élus. Réclamation d'un sieur Blanquart tendant à être rétabli dans son droit de domicile à Armentières. Requête de Charles Jardinier, natif de Reims et demeurant à Lille, aux grand bailli, mayeur et échevins d'Armentières à l'effet d'être autorisé à faire élection de domicile à Armentières avec sa famille et à y établir une boutique.

Agriculture : grains et denrées; épizooties.

HH 3 , 1687-1776  

Ordonnances des lieutenant de bailli et échevins d'Armentières : touchant l'égard (la visite) de la viande, 1706 ; défendant aux habitants d'acheter des viandes fraîches ou salées ailleurs qu'à la boucherie de la ville, 1707. Requêtes des égards du pain à Armentières : pour provoquer un examen de la qualité des grains afin de rendre justice aux boulangers et au public ; pour obtenir une augmentation de salaire. Procès-verbal dressé contre un boulanger. Procès-verbaux de contraventions dressés par les égards des chairs et poisson. Requête des bailli, mayeur et échevins d'Armentières à l'intendant de Flandre pour obtenir qu'il soit défendu aux commis des traites de saisir le beurre frais en livres venant des terres étrangères limitrophes pour le marché d'Armentières, 1753. Requête présentée aux grand-bailli, mayeur et échevins d'Armentières au sujet de l'ordonnance qu'ils ont rendue le 19 octobre 1724 et par laquelle il est prescrit à tous marchands, revendeurs et revendeuses à hayons de s'établir sur le marché en deux lignes droites vis-à-vis l'une de l'autre, entre le marché au compenage (au verjus, aux légumes) et le marché au blé. Supplique des adjudicataires du droit sur les bêtes à cornes vendues aux francs marchés d'Armentières à l'effet d'obtenir une modération du prix de leur adjudication. Ordonnance pour mettre fin aux abus qui se produisent au moyen des conventions et monopoles existant entre les mainqueurs et les chasse-marée : pour encourager la chasse-marée, on accordera des primes à ceux qui amèneront sur le marché d'Armentières le plus beau poisson et à ceux qui en amèneront la plus grande quantité, 1776. Noms de ceux qui se présentent pour être mainqueurs et de ceux qui ont prêté serment.

Assistance publique : l'hôpital de Sainte-Marie ou des Bleuettes.

GG 99 , 1688-1783  

Ventes faites à l'hôpital de Sainte-Marie dit des Bleuettes à Armentières : par Jean-François Descretons, d'une maison située en la rue de la Briqueterie ; d'un tiers d'une maison, blanchisserie et pâture située proche les prés Duhem ; par les héritiers de feu Pierre Salomez, de cinq cents de jardin avec une maison à Steenwerck ; par Jean-Baptiste Jerron, greffier d Steenwerck, de quinze cents de terre en cette paroisse ; par Jean-Baptiste Blancquart, d'une lettre de rente de 500 florins. Plan d'une pièce de terre à Steenwerck, appartenant à l'hôpital de Sainte-Marie. Titre d'une rente de 62 livres assignée sur les biens de l'archevêché de Cambrai, au profit de l'hôpital de Saint-Marie, 1777. Autre titre d'une rente de 300 livres sur les états d'Artois "provenante aux religieuses de Sainte-Marie à Armentières du payement qui leur a été fait pour le prix de certains biens situés en Flandre dont elles ont été évincées."

Emprunts, dettes de la ville.

CC 130 , 1688-1699  

Lettres du roi Louis XIV qui fixent les charges ordinaires et extraordinaires de la ville d'Armentières, qui seront payées chaque année. Cette somme se répartira au grand-bailli, à son lieutenant, aux sept échevins, au greffier civil, au greffier criminel, au médecin de la ville, à la sage-femme, au messager et pour prendre garde à la porte du choeur de l'église à celui qui conduit l'horloge, pour l'entretien des chaines du puits de la ville, au sonneur du vigneron, au bailli de l'église pour nettoyer les places et sièges du Magistrat, aux deux chirurgiens des pauvres, au carillonneur du beffroi, à la maitresse des vingt-cinq pauvres filles, au maitre des enfants de choeur, au concierge des prisons pour parer les autels pour les processions, aux Jésuites pour l'enseignement des cinq classes, aux Bons-Fils tenant l'école dominicale, aux commis qui apposent les plombs sur les draps et estamettes qui se fabriquent en la ville, réparations des bâtiments. Lettres du Roi qui fixent la manière suivant laquelle aura lieu la liquidation des dettes de la ville d'Armentières. Arrêt du Conseil d'Etat qui fixe les charges ordinaires et extraordinaires de la communauté d'Armentières et en prescrit le mode de paiement. Autre arrêt qui lève la surséance accordée, à cause de la guerre en 1689, aux communautés pour le paiement de leurs dettes.