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Clergé séculier : église paroissiale, chapelles et confréries.

GG 17 , 1653-1774  

Ordre aux anciens marguilliers de l'église d'Armentières d'avoir à payer au sieur Thomas Lefebvre la somme de 200 l. qui lui est due pour la refonte d'une des cloches. Requête de Michel Desremaux, maître charpentier, à l'effet d'être admis comme charpentier seul chargé des ouvrages et réparations du clocher de l'église d'Armentières, attendu qu'il a, pour une réparation faite récemment, fait l'achat de cordages et autres instruments qui ne lui peuvent servir que pour ces sortes de travaux. Requête des sonneurs de la paroisse d'Armentières à M. Goudemez, intendant de la maison d'Egmont, commissaire au renouvelllement de la loi de ladite ville, à l'effet d'obtenir une gratification. « Inscriptions qui se voient sur les cloches de l'église paroissiale d'Armentières : - 1° « En 1777, j'ai été bénite par Me P.-F. François, doyen-curé d'Armentières, nommée Henriette par Msg Casimir Pignatelli, comte d'Egmont, grand d'Espagne, chevalier de la Toison d'Or, lieutenant-général des armées du Roi, seigneur de cette ville, etc., etc., et par Henriette-Julie Durfort de Duras, comtesse douairière d'Egmont, mère, mes parrain et marraine, représentés en cette cérémonie, en vertu de procuration, par messire Fr. de Muyssart de Steenbourg, son grand bailly aux États de cette province, et dame M.-C.-J. De Francqueville, son épouse. » - 2° « En 1777, j'ai été bénite par Me P.-F. François, doyen-curé d'Armentières, nommée Michelle par Me P.-F. Goudemez, avocat, bailli de cette ville, et demoiselle Michelle-Catherine De la Croix, épouse du sieur C.-F.-J. Six, mes parrain et marraine. » - 3° « En 1777, j'ai été bénite par Me P.-F. François, doyen-curé d'Armentières, nommée Catherine par MM. C.-F.-J. Six, mayeur, P. Boisin, Rouzé, P.-C.-J. Bayart, Maniez, Domicent et Alb. Vanoye, échevins en exercice de la ville d'Armentières, et demoiselle Catherine-Thérèse Alexandre, épouse dudit sieur P. Boidin, mes parains et maraine. » - 4° « En 1777, j'ai été bénite par Me P.-F. François, doyen-curé d'Armentières, nommée Isabelle par Siméon Vanoye et Antoine Sloovere, marguilliers en exercice, et demoiselle J.-C. Bouquillon, épouse dudit sieur Vanoye, mes parrains et marraine. » - 5° « En 1777, j'ai été bénite par Me P.-F. François, doyen-curé d'Armentières, nommée Philippine par MM. Six, mayeur, et P. Boisin, échevin, et demoiselle C.-P. Joire, épouse du sieur Rouzé, mes parrains et marraine. » - 6° « En 1777, j'ai été bénite par Me P.-F. François, doyen-curé d'Armentières, nommée Martine par MM. Rouzé et Bayart, échevins, et demoiselle Martine-Françoise Wattecant, épouse du sieur Maniez, mes parins et maraine. » - 7° « En 1777, j'ai été bénite Me P.-F. François, doyen-curé d'Armentières, nommée Caroline par MM. Maniez et Domicent, échevins, et demoiselle Catherine-Caroline Lefebvre, épouse du sieur Bayart, et C.-F. Rouzé, épouse du sieur Albert Van Oye, mes parains et maraines. » - 8° « En 1777, j'ai été bénite par Me P.-F. François, doyen-curé d'Armentières, nommée Julie par MM. Albert Vanoye, échevin, et Bacon, trésorier, et demoiselle J.-F. Pollet, épouse du sieur Domicent, et A. Meurille, épouse dudit sieur Bacon, mes parrains et marraines. »

Affaires diverses relatives à la guerre.

EE 31 , 1706-1707  

Défenses par les grand-bailli et échevins d'Armentières : de ne rien acheter des valets d'officiers et cavaliers auxquels on fournit bois, pailles et "tranaines (trèfles)" sous peine d'amende et de confiscation de l'objet acheté ; de prendre ou emporter la paille, les piquets, perches et fourches qui ont servi au régiment de Mauvoisier et qui doivent être utilisés pour d'autres régiments ; de rien acheter des soldats de la garnison soit habit, veste, culotte, chemise, chapeau, souliers, ou autres parties de l'habillement ; de donner à boire aux soldats de la garnison après la retraite sonnée au son du tambour à sept heures du soir, sous peine de 60 sols d'amende, dans les cabarets, et, dans les maisons des bourgeois, après la retraite sonnée par le vigneron de huit heures et demi à neuf heures du soir ; de toucher aux fascines, palissades, barrières et guérites. Défense, de la part du duc de Vendôme, aux propriétaires de bateaux sur la Lys, de transporter soldats ou maraudeurs au-delà de ladire rivière, du côté de Flandre.

Clergé séculier : église paroissiale, chapelles et confréries.

GG 40 , 1479-1629  

Chapelle d'Armentières. - Ventes au profit de la chapelle Notre-Dame du Vieux-Biés dite d'Armentières : par Gui le Bourgois, d'une rente de dix livres ; par Hacquinot De Le Sauch, d'une rente assignée sur une terre dépendant de la seigneurie de la Vigne au Wez-Macaire, 1501 ; par Baudoin Desruyelles, d'une rente de 6 livres hypothéquée sur une terre tenue du fief de le Caserie ; par Jeanne Charlet et Toussaint Hazebroucq, d'une rente de 4 florins 13 patards. Cession à la Table des pauvres de la chapelle Notre-Dame du Vieux-Biés : par Jacques Petiblon, d'une rente de 6 florins carolus, par Pierre de Landas, écuyer, fils de Walerand, seigneur de Wannehain, d'une autre rente. Transport à ladite Table des pauvres par la veuve de Louis Leuridain, en exécution du testament de feu son mari, d'une rente de six livres cinq sols parisis.