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Assistance publique : Bons-Fils.

GG 116 , 1723-1781  

Procès verbaux de visites faites dans la maison forte des Bons-Fils par es échevins en vertu de leur droit de police, lequel leur a été contesté par ces religieux en 1731 et 1732, et par l'intendant de Flandre en 1781. Plaintes formulées contre frère Martin Burette, supérieur de la maison des Bons-Fils d'Armentières, par le sieur de Gayaffa et le chavalier de Cernay, détenus. Ordres de transfert et correspondance concernant les détenus. Enquête faite par les grand-bailli et les délégués des échevins d'Armentières en la maison des Bons-Fils, sur l'avis qui leur avait été donné que l'épouse du sieur Le Breton, gentilhomme de Douai, enfermé aux Bons-Fils en vertu des lettres de cachet du roi, mangeait journellement avec lui, ce qui est contraire à l'usage et aux bonnes règles : ils enjoignent au frère Antoine Lefebvre, supérieur, de veiller à ce qu'aucun de ses pensionnaires n'ait en sa possession couteau, ciseau ou autre objet pouvant faciliter une évasion, 1746. Noms des personnes détenues en la maison des Bons-Fils d'Armentières : Jacques-Louis Le Comte Thomassin, de Douai, Erasme Du Belloy, Antoine de Corbaumont, dom Placide, religieux de l'abbaye de Saint-Saulve, Noël-Philippe de La Hamaide, de Tournai, dom Joseph Roland, de Valenciennes, le chevalier de La Lobbe, dom Pierre Vanstrude, de Saint-Maur, le baron d'Assignies, etc., 1747. Commission donnée par Jean Moreau, seigneur de Séchelles, intendant de Flandre, au sieur d'Haffrengues, son subdélégué à Lille, pour visiter, quand bon lui semblera, la maison des Bons-Fils d'Armentières, 1747. Lettre écrite au nom de l'intendant par le sieur Massart aux échevins d'Armentières pour leur demander un mémoire sur la juridiction qu'ils prétendent avoir en ce qui concerne la maison de force ; les échevins d'Armentières, en réponse à cette lettre, envoient copie de cinq documents tendant à établir leur droit, comme agents du comte d'Egmont, seigneur haut justicier, sur l'administration de la maison tenue par les Bons-Fils, 1749. Pièces relatives à l'admission, dans la maison des Bons-Fils, de Jean-Noël Loubert, pour cause d'ivresse, et d'Adrien Barbage, frère du père Césaire Barbage, récollet de la province de Lille.

Assistance publique : Bons-Fils.

GG 115 , 1696-1764  

Quittances de droits seigneuriaux, reçus divers, copies d'actes, etc.; concernant les biens de Pierre Du Metz, lesquels sont devenus la propriété des Bons-Fils d'Armentières. Bail de deux maisons situées rue d'Arras. Attestation de plusieurs habitants d'Armentières touchant la propriété d'une allée en la rue d'Arras, commune à plusieurs petites maisons dont les fonds appartiennent aux Bons-Fils d'Armentières. Rapports et dénombrements des terres tenues de la seigneurie de Carnin par les Bons-Fils d'Armentières. Convention entre les exécuteurs testamentaires de feu Pierre Bucquet, sieur de Beauregard, et la congrégation des Bons-Fils d'Armentières, touchant l'échange d'une maison rue d'Arras contre des terres situées à la Chapelle-d'Armentières. Inventaire, fourni par les Capucins d'Armentières aux officiers fiscaux de la Gouvernance de Lille, dans le débat soulevé entre eux et les Bons-Fils de ladite ville " au subject du nouveau cloistre nouvellement érigé " par ceux-ci près du couvent des Capucins, 1671 ; lettre des échevins d'Armentières au prieur des Capucins de cette ville : ils ont vu, disent-ils avec déplaisir qu'il s'est élevé un différend entre eux et les Bons-Fils d'autant plus que ces derniers sont prêts à faire boucher les vues qu'ils ont pratiquées, à leur nouveau bâtiment, sur le couvent de Capucins, d'ailleurs sans aucune intention d'offenser ceux-ci ; les échevins témoignent le désir que cette bonne disposition d'une des parties puisse mettre un terme au procès intenté aux Bons-Fils qui ont conquis l'estime de tout le monde par leur vie exemplaire, leurs bons exemples et la bonne instruction qu'ils donnent à la jeunesse. Requête présentée par les Bons-Fils au Magistrat d'Armentières, afin d'être autorisés à reconstruire leur maison sur l'alignement de la grande porte d'entrée du jardin des Capucins, 1764. Assignation à comparaître devant les échevins d'Armentières notifiée à Jacques Charlet, à la requête des Bons-Fils.

Assistance publique : Bons-Fils.

GG 114 , 1627-1781  

Lettres et papiers concernant les biens de Bons-Fils d'Armentières situés en la paroisse de Nieppe, sous les seigneuries d'Oosthove et Van den Houtte : lettres d'achat et de ventes, actes de reliefs, baux, etc.

Assistance publique : Bons-Fils.

GG 113 , 1639-1730  

Ventes aux Bons-Fils d'Armentières : d'une maison située rue des Bourgeois, par Jacqueline Lefebvre, veuve de Pierre de Gavre ; de trois quartrons d'héritage joignant à la maison desdits Bons-Fils par Pierre Odent ; de deux maisons à front de la rue des Capucins, alias des Bourgeois, par Bauduin Lhermitte, marchand et échevin d'Armentières, agissant comme administrateur de la maison des orphelins mâles de ladite ville, fondée par Jean Stappart, bourgeois de Lille, 1671 ; de quatre cents de pré par Péronne Legroul, veuve de Jacques Boursette ; de deux maisons à Estaires ; d'une maison rue des Bourgeois, par François Hullin ; d'une maison faisant le coin de la rue d'Arras et de la rue des Bourgeois, par Thomas Becquet ; de deux autres maisons rue d'Arras par Jean-Baptiste Lansart et Jacqueline Becquet ; de neuf cents de terre tenus de la seigneurie de Carnin par Alexandre Legrand ; de deux bonniers trois cents de terre sis à Warneton par Elisabeth Nory, Jean-François Gombert et Jacqueline Vanacker ; de dix cents soixante verges de terre à Armenières par Pierre-François Destieu.

Assistance publique : Bons-Fils.

GG 112 , 1685-1761  

Constitution d'une rente au profit des Frères du tiers-ordre de Saint-François à Bergues par Jean Hoornaert. Acte par lequel frère Alexis Lemahieu, supérieur de la famille d'Armentières des Frères du tiers-ordre de Saint-François, promet de remplir les charges imposées à sa maison par la fondation de frère Jean Millhomme, 1696. Don par Pierre Dumetz aux Frères du tiers-ordre de Saint-François à Armentières, de douze cents un quarteron de terres et prés à Armentières et à Erquinghem, avec les autres biens meubles et immeubles, or et argent, qu'il laissera au jour de son trépas, 1696. Abandon par François Colle, marchand, aux Bons-Fils d'Armentières, du tiers d'une maison située en cette ville à la condition de prendre à leur charge " l'alliment, entretien et establissement de Louis Odent, débile d'esprit " dont ledit François Colle est tuteur, 1698. Constitution d'une rente par Thomas Becquet au profit des Bons-Fils d'Armentières. Bref du pape Clément XIII par lequel il accorde une indulgence plénière aux fidèles qui, étant en état de grâce, visiteront, le jour de la fête de saint Joseph, l'église des Frères du tiers-ordre de Saint-François à Armentières, et y prieront aux fins ordinaires de l'église, 1761.

Assistance publique : pauvres orphelins, orphelines et veuves.

GG 111 , 1730-1775  

Exécution par les héritiers de feu Jean-François Bosquillon des volontés testamentaires de ce dernier en ce qui regarde le legs qu'il a fait en faveur des pauvres veuves d'Armentières. Différend entre le Magistrat d'Armentières, joints à lui les ministres des pauvres de cette ville, d'une part, Marie-Joseph Hennion, veuve de Pierre-François Delebecque, cousin de Jean-François Bosquillon, d'autre part, touchant l'interprétation des volontés dudit Jean Bosquillon lequel, en octobre 1722, avait fait don de trois maisons à lui appartenant pour servir de demeure à trois pauvres veuves de la ville d'Armentières, la préférence étant toujours donnée à celles qui auraient parenté avec lui.

Assistance publique : pauvres orphelins, orphelines et veuves.

GG 110 , 1682-1740  

Enumération des lettres de rente appartenant à la fondation des pauvres veuves d'Armentières. Procès-verbal de mesurage d'une pièce de terre située à Warneton, appartenant à la même fondation. Quittances et circulaires relatives aux droits d'amortissement payés par les admnistrateurs de la maison des pauvres veuves d'Armentières, fondée par Marguerite Morel.

Assistance publique : pauvres orphelins, orphelines et veuves.

GG 109 , 1668-1774  

Comptes des biens affectés à la fondation des pauvres veuves d'Armentières par Marguerite Morel, fille de Jean, bourgesoise de Lille, le 8 janvier 1619 : recette totale du compte de 1668 à 1684 : 14 645 l. 13 s. ; dépense : 14 734 l. d. " A Me François Joire, prêtre et coûtre de l'église paroissiale, pour ses gages d'avoir sonné la messe afin d'advertir lesdites vesves par l'espace de six ans, 24 l. " 1689-169. " Pour un voyage à Lille affin de traicter avecq Monseigneur l'Archevesque d'Aix du rachapt de la rente due par Monsr le comte d'Egmont, 15 l." 1695-1704. " A Jacques-François Labbre, peintre, pour avoir relavé et peint l'épitaphe de la fondatrice, 2 l. 8 s. " 1704-1711. Recette totale du compte des années 1772 à 1774 : 6108 l. 11 s. 1 d. ; dépense : 2396 l. 2 s. 9 d.

Assistance publique : pauvres orphelins, orphelines et veuves.

GG 106 , 1719-1789  

Comptes des biens appartenant à la maison des pauvres fille orphelines d'Armentières fondée, sous le titre de Sainte-Elisabeth, par feue Hélène Hullin, veuve de Jacques Boidin, et augmentée par Anne de Beaussart, veuve de Grard Hachin, par le sieur Bosquillon et autres : recette totale des années 1719 à 1733 : 19 601 l. ; dépense : 17 442 l. 8 s. 6 d. " A Albertine Thévelin, gouvernante des orphelines, pour une année de ses gages, 108 l. " 1738-1756. " Reçu des profits revenant des pauvres filles orphelines, par leur travail, en ce compris 7 fl. 4 pat. Donnés par MM. Du Magistrat pour récréation au sujet de la naissance du Dauphin, 1128 fl. 13 pat. 10 d. " 1781-1789.

Assistance publique : pauvres orphelins, orphelines et veuves.

GG 105 , 1648-1753  

Acte par lequel Hélène Hullin, fille de Jacques, veuve de Jacques Boidin, affecte une somme de 10 000 livres à la fondation d'une maison pour les pauvres filles orphelines d'Armentières, 21 juillet 1648. Transport d'une rente de 9 liv. 7 s. 5 d., et d'une autre rente de 50 liv. Par la veuve de Jean Liénard au profit de la maison des pauvres filles orphelines d'Armentières, fondée par Hélène Hullin. Signification au sieur Vandrevinckre, administrateur de la maison des pauvres filles orphelines d'Armentières, de l'ordre donné par les échevins de cesser les travaux de construction d'une maison. Pièces concernant la reddition des comptes du sieur de Caigny, administrateur des biens de la fondation des pauvres orphelines d'Armentières. Liste des pauvres filles qui demeuraient en 1713 dans la maison des orphelins d'Armentières. Quittances et extraits de rôles relatifs aux droits d'amortissement payés par les administrateurs de la fondation des pauvres filles orphelines d'Armentières ; attestation touchant une maison située rue des Tanneurs à Lille, appartenant à ladite fondation.

Assistance publique : pauvres orphelins, orphelines et veuves.

GG 104 , 1682-1769  

Quittances, lettres, circulaires et autres pièces touchant les droits d'amortissement payés par les administrateurs de la maison des orphelins mâles à Armentières fondée par Jean-François Bosquillon. Liste des enfants orphelins mâles qui sont à la charge de la table des pauvres d'Armentières, 1688. Compte de la maison et fondation des pauvres enfants orphelins mâles de 1763 à 1769 : " Le 7 avril 1767, le comptable déclare avoir reçu de M. Van Oye, curé de la paroisse de la ville d'Armentières, la somme de 1200 florins provenant d'une personne pieuse, pour être employée à l'entretien des habits, linges desdits enfans et à la réfection des biens de ladite fondation.

Assistance publique : pauvres orphelins, orphelines et veuves.

GG 103 , 1728-1775  

Testament et codiciles de Jean-François Bosquillon par lesquels il fait plusieurs dons et legs : il donne 10 000 livre de France aux pauvres orphelins de la rue d'Arras à Armentières à condition de pouvoir y placer à perpétuité douze garçons ; il donne trois maisons situées dans l'allée Cappon pour servir de demeure à trois pauvres veuves, à chacune desquelles il attribue la somme de 50 livres parisis par an ; il donne, en outre, une maison située rue des Brigittins à la conférrie du Saint-Sacrement, 25 juin 1728, 9 janvier 1730. Comptes des biens appartenant à la fondation des pauvres enfants orphelins mâles : recette totale des années 1730 à 1754 : 32 577 fl. 12 pat. 6 d. ; dépense : 30 634 fl. 15 pat. 2 d. " A frère Liévin Villers, maître des écoles des Bons-Fils, pour livraison de trois livres de prières et deux catéchismes, 2 l. 3 s. ", 1755-1758. " Payé pour beurre, viande et autre vivre des orphelins, leur lessive, l'entretien de leurs habillements et autres menus débours, 418 l. 1 s. " , 1773-1775.

Assistance publique : l'hôpital de Sainte-Marie ou des Bleuettes.

GG 102 , 1684-1789  

Amortissement par Louis XIV des biens appartenant à l'hôpital de Sainte-Marie à Armentières. Quittances des droits payés par la communauté de religieuses de la Visitation pour l'obtention des lettres du Roi précitées et l'amortissement d'une rente de 24 livres donnée auxdites religieuses par les confrères arbalétriers d'Armentières, 1686. Lettres du roi Louis XV par lesquelles il confirme les supérieure et religieuse de la communauté de l'hôpital de Sainte-Marie à Armentières dans la possession des biens qu'elles ont acquis antérieurement à la déclaration du 9 juillet 1738, relative aux gens de main-morte des pays de Flandre et de Hainaut, 1780. Arrêt du conseil d'état fixant à la somme de 282 l. 4 s. 6 d., le droit de marc d'or que devront payer les religieuses de l'hôpital de Sainte-Marie en retour de la confirmation ci-dessus, leurs biens ayant une valeur de 11 288 liv. 17 s. Déclaration des rentes appartenant à l'hôpital de Sainte-Marie, fourni en exécution de l'arrêt du conseil en date du 2 septembre 1692. Inventaire des titres de propriété que possèdent les religieuses dudit hôpital.