Toutes les ressources 16 282 résultats (2ms)

Usines, manufactures, commerce.

HH 18 , 1588-1594  

Compte des biens et revenus appartenant au corps de la draperie de la ville d'Armentières depuis le 25 août 1588 jusqu'au 8 février 1594. " A Philippe Herts et Pierre Romont, échevins de la ville d'Armentières, pour ung voïage par eulx faict en la ville de Baillœul contre la requeste présentée en court par monsr le baron de Croisilles affin d'avoir seau previlégié pour la drapperie à Houplines-sur-la-Lys, XXXII l. X S." Compte des deniers levés, en vertu d'autorisation du corps des drapiers d'Armentières, sur les draps, estamettes et "baicques" fabriqués en cette ville, afin de subvenir aux dépenses occasionnées par la poursuite faite en Cour à l'effet d'obtenir l'interdiction de l'entrée des draps d'Angleterre : dépenses pour voyages faits à Lille, Hondschoote, Bruxelles, Tourcoing, Bailleul, Neuve-Église, Messines, et ailleurs, par les délégués des échevins et des drapiers d'Armentières, 3,899 l. 7 s. 9 d.

Usines, manufactures, commerce.

HH 17 , 1538-1577  

Procuration donnée par quatre-vingt-dix marchands drapiers d'Armentières à Hugues Tassart et Jacques Ghémart, "halliers de la halle aux draps de cetet ville à Anvers," pour bailler en ferme et louage la conciergerie de ladite halle avec le profit du droit de hallage, 14 décembre 1538. "Comptes que font et rendent, pardevant les lieutenant de bailli et échevins d'Armentières, Michiel le Boidin et Thomas Guémart, commis halliers de la halle aux draps d'Armentières en la ville d'Anvers, qui a esté acquise par les drapiers d'Armentières de Martin Louppes, de tout ce que lesdicts halliers ont receu, payé, conduict et gouverné à cause de l'entremise par eux eue touchant ladicte halle depuis le mois de mars 1549 (150) jusques au mois de février 1552 (1553)" - Recette : 3,661 l. 6 s. 3d. ; dépense : 3,720 l. 18 s. 6 d. ; " A Pierre Cadart, hoste de l'Escu de Bourgoigne, pour despens de bouche faictz avec ceux de la loy, en la compaignie du pensionnaire et commis de la ville de Ypre, lorsqu'ilz estoient venuz audit Armentières pour aller à Lille, Douay et Tournay, et requériri à ceulx desdis lieux de eulx joindre avec lesdis de Ipre et de Armentières au procès contre les Espaignars sur le faict des pouldres, LVII s." Comptes d'Antoine Gobet, Antoine Boidin et Lambert Gallois, "marchans demeurans en la ville d'Armentières, comme aïans, par la justice de ladicte ville, esté chacun respectivement commis halliers de la halle aux draps que les marchans et drapiers de ladicte ville ont à eulx appartenans, scituée en Anvers," pour quatre ans commençant le 8 février 1572 (1573) et finissant le 8 février 1577 (1578) - "A Antoine Gobet, hallier, tant en ladite qualité que comme eschevin, et Michiel le Bourgeois, greffier de la ville, pour ung voïage par eulx faict en la ville de Gand affin de, avecq les doïen, jurez et aultres superintendens du corps et mestier des francqs navieurs dudit Gand, communication et voicture des draps et marchandises desdis d'Armentières en Anvers, LX l."

Usines, manufactures, commerce.

HH 16 , 1618-XVIIè siècle  

Charles, comte d'Egmont, prince de Gavre, seigneur d'Armentières, permet aux bailli et échevins de cette ville d'ériger "un stil de sayes drappées, pour estre vendues et avoir traicte par tous royaulmes et pays de l'Europe," d'avancer aux drapiers et maîtres drapiers les sommes dont ils ont besoin pour mettre ledit métier, et d'emprunter pour se procurer l'argent nécessaire, jusqu'à concurrence de 5 à 6,000 florins, 2 août 1618. Mémoire (non daté mais paraissant être du XVIIe siècle) sur la manufacture d'Armentières, dressé par les échevins de cette ville : après avoir rappelé les origines de la draperie d'Armentières, les progrès et la réputation auxquels cette industrie est arrivée et les ordonnances dont elle a été l'objet, ce mémoire essaie de prouver l'usage du scel en plomb, employé pour marquer la longueur des draps, est de toute nécessité, contrairement à ce que veulent établir certains teinturiers et marchands d'Armentières.

/medias/customer_227/plans_cartes/FRAM059017_HH_05_jpg_/0_0.jpg
1 média

Usines, manufactures, commerce.

HH 15 , 1518-1571  

Charles, roi d'Espagne (plus tard empereur,) accorde un délai de trois années, pour le paiement de leurs dettes, aux drapiers de la ville d'Armentières, dont les marchandises et les maisons ont été détruites "par le feu de meschief y advenu le 19 mai 1518, que la ville, en son anchienne clôture, en laquelle avoit de mil à unze cens maisons, a esté entièrement consumée", 16 juin 1518. Lettres de Philippe II, roi d'Espagne, portant que les échevins d'Armentières pourront, à l'avenir, faire recouvrer les amendes pécuniaires prononcées par les égards de la draperie promptement et nonobstant appel ou opposition, 10 mai 1559. Lettres des échevins d'Armentières relatant l'effet désastreux qu'a produit, dans le commerce de leur ville, l'annonce, faite en août 1570, que la levée du dixième et du vingtième denier allait avoir lieu : au lieu de 24,000 pièces de draps qui se fabriquaient autrefois, il ne s'en fabrique plus que la moitié, il ne s'en fabrique plus que la moitié, de 70 ouvroirs de fouleries, il ne reste que 28, dont 12 suffiraient pour faire l'ouvrage qui se présente ; le nombre des "hostilles à tisser draps" qui était de 6 à 700, est tombé subitement à 300; le curé, Mathieu Grard, a délivré bon nombre de lettres à des foulons, tisserands, teinturiers "et autres vivans de la draperie" qui sont forcés d'aller mendier leur pain, sans compter que beaucoup mendient sans lettres, que plusieurs ont abandonné la ville et qu'un plus grand nombre est à la charge de la table des pauvres sont les ressources sont insuffisantes pour secourir une misère aussi grande, 7 janvier 1571 v.s.)

Usines, manufactures, commerce.

HH 14 , 1684-1693  

Requêtes présentées à l'intendant Du Gué de Bagnols et au comte d'Egmont par les drapiers et échevins d'Armentières à l'effet d'obtenir le rétablissement du sceau d'aunage pour la longeur des draps, sceau qui avait été abrogé par ordonnance du 26 décembre 1684. - Copie des privilèges de Jean-sans-Peur et de Jacques de Luxembourg fournie à l'appui de ces requêtes.

Usines, manufactures, commerce.

HH 13 , 1413-1567  

Lettres de Jean-sans-Peur, duc de Bourgogne, comte de Flandre, permettant aux échevins, manants et habitants d'Armentières de faire faire un scel et d'en user pour sceller les draps, comme cela se pratiquait anciennement au moyen d'un scel qui a été perdu dans les dernières commotions de Flandre; 3 novembre 1413.

Usines, manufactures, commerce.

HH 12 , 1720-1752  

Ordonnance de Jean Moreau, seigneur de Séchelles, intendant de Flandre, prescrivant la remise en vigueur de l'ordonnance de M. De la Grandville en date du 26 octobre 1738 qui a défendu aux habitatnts des villes, bourgs et villages de la châtellenie de Lille de fabriquer des fils de lin sans en avoir obtenu la permission, à peine de confiscation des moulins et matières servant à cette manufacture; 1751. - Supplique des échevins d'Armentières pour obtenir le retrait de cette ordonnance en ce qui concerne leur ville et la remise de la condamnation encourie par cinq filtiers d'Armentières. - Extrait du rapport et dénombrement de la seigneurie d'Armentières fourni en 1720 par Procope-Marie d'Egmont, actes constatnt le renouvellement des égards et autres pièces fournies par les échevins d'Armentières à l'appui de leur demande.

Usines, manufactures, commerce.

HH 11 , 1726-1781  

Surveillance des contrefaçons qui peuvent s'introduire dans la confection des toiles de ménage communes et grosses. Mémoire touchant le droit qu'à la ville de faire la filterie et d'avoir des moulins à retorde. Sol pour livre des droits sur les toiles et linges de table vendus au marché. L'intendant de Flandre invite les échevins d'Armentières à continuer d'accorder au sieur Duquesne certaines exemptions d'impôts à cause de son établissement et manufacture de serviettes qui apporte de grands avantages à la ville. Observations des mayeur et échevins d'Armentières sur une sentence et un projet de règlement de l'intendant de Flandre en faveur de la veuve Duquesne, fabricante de toiles et serviettes, lesquels sont en tout contraires au bien public, préjudiciables aux intérêts des autres fabricants et aux marchés de la ville, et en contradiction formelle avec les droits, privilèges et autorité du comte d'Egmont, seigneur d'Armentières, 1750. Sentence des juge et consuls établis à Lille dans le différend pendant entre la veuve Duquesne, marchande à Armentières, et Pierre de Savary, négociant à Lille, au sujet du paiement de marchandises livrées par ce dernier ; requête présentée par le sieur de Savary aux baillis des États de Lille à l'effet d'être autorisé à recevoir des échevins d'Armentières le reliquat de la somme à lui due par la veuve Duquesne, attendu que ladite ville a acheté la maison et blanchisserie appartenant à cette veuve, 1758-1762. Procès-verbal tenu par le lieutenant de bailli et les échevins d'Armentières duquel il résulte que le capitaine-général de la maréchaussée, accompagné de cinq ou six employés de la brigade de cette ville, s'est présenté, ivre, au marché aux toiles où, sous prétexte de vérifier si les toiles exposées étaient marquées suivant les ordonnances, il en a emporté plusieurs munies des empreintes exigées. Cette conduite vexatoire a causé une si grande émotion que le marché en a été interrompu et que chacun s'en est retourné sans faire la vente de ses toiles, 17 août 1750. M. De Calonne, intendant de Flandre, invite les officiers municipaux d'Armentières à faire convoquer les marchands, fabricants et blanchisseurs de toiles et de linge de table à l'effet de donner leurs avis sur la longeur des pièces de toiles, serviettes et nappes écrues qui sont fabriquées dans leur canton ; avis motivés donnés par les marchands et fabricants de toiles et de linge de table et par les blanchisseurs, 1781. Lettre des bailli, mayeur et échevins d'Armentières, au nom des marchands, fabricants et blanchisseurs d'Armentières, Estaires, La Gorgue, Merville et lieux circonvoisins, par laquelle ils exposent à l'intendant de Flandre le préjudice qui est porté au commerce des toiles par les ordonnances des 16 mars et 25 mai 1781 concernant la longueur des pièces de serviettes et de nappes : la longueur des pièces de toile fabriquées dans les terres limitrophes d'Armentières situées sous la domination étrangère étant souvent sous la domination étrangère étant souvent égale à celle fixée par lesdites ordonnances, il en résultera des fraudes considérables qui porteront grand préjudice à la fabrication des toiles à Armentières, Estaires et autres villes.

Usines, manufactures, commerce.

HH 10 , 1740-1781  

Requête du sieur Pierre-Ignace Greinon, meunier et occupeur du moulin à moudre le bié situé en la seigneurie de la Motte près d'Armentières, à M. De la Grandville, intendant de Flandre, pour obtenir qu'il rapporte son ordonnance qui a défendu aux habitants de la ville et paroisse d'Armentières de faire moudre leurs grains audit moulin parce qu'il se trouve sous la domination étrangère, et dans la crainte que par ce moyen des blés ne soient transportés à l'étranger ; l'intendant fait droit à cette requête, 1740. Avis des bailli, mayeur et échevins d'Armentières sur l'opportunité de l'érection d'un nouveau moulin : ils déclarent que les sept moulins qui existent sur les territoires d'Armentières et de Houplines suffisent pour moudre les grains nécessaires aux habitants de la ville et des environs, 1781.

Foires et marchés.

HH 9 , 1575  

Registre des draps de la ville d'Armentières commençant le 9 février 1574 (v.s.) et finissant le 8 mai 1575.

Foires et marchés.

HH 8 , 1610-1751  

Les échevins de Lille informent les mayeur et échevins d'Armentières qu'ils ont obtenu, des Archiducs, des lettres de sauf-conduit pour les marchands qui voudront assister à la franche foire de Lille qui commence le 30 août 1610. Envoi au Magistrat d'Armentières du placard imprimé annonçant la franche foire de Lille, 1702 à 1759. Les échevins de Lille font connaître au Magistrat d'Armentières qu'ils ont obtenu un sauf-conduit pour trois franches froires de chevaux et bestiaux à tenir dans la nouvelle enceinte de Lille : la première le deuxième lundi de carême, la seconde le lundi après la Fête-Dieu, la troisième le 14 décembre, 1751.

Foires et marchés.

HH 7 , 1706-1731  

Défense faite par le Magistrat d'Armentières au fermier du droit d'aunage des toiles et à ses commis, d'exiger, des marchands qui viendront vendre leurs toiles aux franches foires et aux francs marchés de ladite ville, autre droit que celui fixé par le règlement, à savoir 2 deniers sur chaque aune de toile, tant grise que blanche, 9 mai 1706. Ordonnance du Magistrat d'Armentières défendant à tous auneurs de toiles qui se vendront dans les foires et marchés de la ville d'accepter aucune gratification pour l'expédition des pièces soumises à leur contrôle ; cette ordonnance défend aussi aux vendeurs et marchands d'offrir aux auneurs un salaire ou récompense supérieurs au droit d'aunage ordinaire, 1728. Liste des auneurs sermentés de la ville d'Armentières, lesquels ont prêté serment pour être employés aux foires de ladite ville, 1727-1761. Le sieur Le Blondel d'Aubers soumet à l'avis des échevins d'Armentières un "règlement pour les foires de toiles dans les villes et bourgs de La Bassée, Armentières, Estaires, La Gorgue et autres," lequel est proposé par plusieurs marchands afin de remédier aux abus qui se sont glissés dans l'aunage des toiles ; les échevins d'Armentières rejettent ce projet qu'ils attribuent "à l'esprit inquiet et intéressé de marchands de Lille et de Douai qui voudraient abolir les marchés de toiles pour faire de leurs maisons des entrepôts où seraient forcés de s'approvisionner les étrangers qui fréquentent les foires" - joint le projet de règlement, mai 1751.

Foires et marchés.

HH 6 , 1606-1729  

Lettres des archiducs Archiducs Albert et Isabelle octroyant à la ville d'Armentières une foire de trois jours le 18 juin de chaque année au lieu de celle qui se tenait jadis le 9 mai, et ce "à raison que d'aulcunes espèces et marchandises qui sont faictes et ouvrées en ces quartiers n'y a geurres moyen de les recouvrer après pareille feste que la ville de La Gorgue at le premier dudit moys de may", 16 juin 1606. Les bailli et échevins de La Gorgue informent les bailli et échevins d'Armentières que les habitants de Saint-Venant font des démarches à l'effet d'obtenir une seconde franche foire qui commenceraient le jeudi après Pâques ; ils espèrent que le Magistrat d'Armentières fera opposition au projet en question attendu que la foire qu'on propose d'établir tomberait quinze jours à trois semaines avant la première foire dudit Armentières, 1611. Lettres de Philippe IV, roi d'Espagne, accordant à la ville d'Armentières, pour la durée de la guerre contre la France, un franc marché le lundi de chaque mois, en considération de ce que les habitants ont puissamment contribué à faire les fortications avant l'invasion des Français et depuis la reprise de la ville par l'Espagne, en considération aussi de ce que ladite ville a été surchargée de garnison, ayant eu jusqu'à 2,000 hommes de troupes, à cause de sa situation qui la rend la clef et frontière de la Flandre, de ce qu'elle a fourni, aux troupes qui logeaient dans ses murs, les feus et lumières contrairement à l'usage d'après lequel ces frais sont payés par le Roi. La ville d'Armentières, par toutes ces charges successives, a dépensé plus de 60,000 livres, ce qui a épuisé ses ressources et l'a forcée à vendre la meilleure partie de ses biens. En outre, il lui est arrivé, le 7 avril 1655, un surcroît de malheur : la garnison irlandaise "demandant l'impossible" aux échevins et ne pouvant être satisfaite, s'est livrée sur les échevins et les bourgeois à de mauvais traitements, les blessant, tuant, pillant et forçant leurs maisons, 15 avril 1655. Arrêts du Conseil d'État permettant à la ville d'Armentières de tenir une franche foire tous les premiers lundis de chaque mois, 1705, 1729.

/medias/customer_227/plans_cartes/FRAM059017_HH_05_jpg_/0_0.jpg
1 média

Foires et marchés.

HH 5 , 1413-1414  

Jean-sans-Peur, duc de Bourgogne, comte de Flandre, en considération de la prière que lui en a faite le duc de Brabant et les bonnes gens, écheviuns, manants et habitants d'Armentières, lesquels lui ont expoosé que cette ville "est et a esté de tout temps une notable seigneurie en laquelle plusieurs marchans ont acoustumé de conserver pour y exercer fait de marchandise, qu'elle est assise sur la rivière de la Lys, par quoy les marchans d'icelluy nostre pays et autres y pevent mener et faire mener et conduire leurs denrées et marchandises assez aiséementt quant bon leur samble," accorde à ladite ville une franche foire annuelle de trois jours qui commencera le neuf mai, sauvegarde étant accordée aux marchands, leurs valets, facteurs, familiers, mesnies (domestiques) et leurs biens et marchandises deux jours avant la foire pour venir et deux jours après pour retourner, 3 novembre 1413. Antoine, duc de Lothier et de Brabant agissant au nom de ses enfants mineurs, permet que "toutes manières de gens paisibles venans à la feste" accordée à la ville d'Armentières par son intervention, puissent porter leurs armures "armures" dans la ville pendant la fête, excepté artillerie; il accorde aux échevins le droit de porter tels édits qu'ils croiront devoir prendre pour assurer le maintien de l'ordre pendant la durée de cette foire, le tout étant accordé pour trois ans seulement, 19 avril 1414. Copie de ces deux privilèges.

Agriculture : grains et denrées; épizooties.

HH 4 , 1670-1754  

Terres restées en friche par suite des guerres : bail des terres abandonnées par leurs propriétaires. Ordonnances des États de Lille promettant une remise d'une partie des impôts à ceux qui prendront en ferme les terres demeurées en friche, 1670-1676. Les bailli, mayeur et échevins d'Armentières certifient qu'en vertu de l'ordre à eux donné par les baillis des États de Lille le 17 novembre 1744, ils ont fait une enquête sur le nombre de vaches, mortes, dans leur district, de la maladie qui règne en la province, et que ce nombre, pour les mois de septembre, octobre et novembre, s'élève à 47, 1744. Maladiequi règne sur les bestiaux, 1731. Demande aau Magistrat d'Armentières d'une déclaration du nombre de vaches qui se trouvent en son district, 1740. Questionnaire adressé par les États de Lille au sujet des espèces de chevaux qui existent dans la ville d'Armentières et du travail auquel on les emploie.