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Clergé régulier : capucins.

GG 63 , 1637-1779  

Différend au sujet de la tenue du catéchisme entre les Jésuites et les Capucins de Béthune, ceux-ci l'enseignant depuis plus de trente ans par charge des pasteurs de ladite ville. Les Capucins reprochent aux Jésuites d'employer, pour attirer du peuple, le moyen de distribuer deux liards à chaque assistant. Ce moyen, ajoutent-ils, n'est pas sans inconvénient dans une ville aussi rapprochée de la frontière car, dans la foule qui se presse au catéchisme le dimanche, il peut se trouver beaucoup de Français déguisés : ceux-ci peuvent sous leurs habits cacher des armes, et, à un moment donné, s'emparer des portes de la ville, enclouer les canons, faire sauter la poudrière, etc. Lettre adressée par les bailli et échevins d'Armentières au premier ministre d'état du Roi : ils se plaignent qu'il n'ya plus chez les Pères Capucins qu'un seul confesseur autorisé par l'évêque d'Arras et que la dévotion du peuple en souffre. Acte notarié par lequel plusieurs habitants de Frelinghien notifient au curé de cette paroisse que dorénavant ils ne contribueront plus dans les frais de nourriture et de logement des Pères Capucins du couvent d'Armentières qui sont appelés à Frelinghien pour y prêcher et confesser, 1745. Lettre de Jean, évêque d'Arras, au Père Silvère, de Valenciennes, provincial des Capucins de la province de Lille, par laquelle il lui annonce qu'il a désigné M. Van Oye, curé d'Armentières, pour bénir la première pierre de la nouvelle église des Capucins de cette ville ; mention que la bénédiction et la pose de la première pierre de cette église a eu lieu le 26 août 1755. Lettre du Frère Edmond, capucin, gardien de la maison d'Armentières, par laquelle il sollicite de l'évêque d'Arras, pour M. Macquette, curé de Nieppe, diocèse d'Ypres, la permission de prêcher dans le couvent des Capucins d'Armentières. Le vicaire général de l'évêque d'Arras, sur la demande M. Van Oye, curé d'Armentières, fixe au dimanche de la Quinquagésime et aux deux jours suivants la cérémonie des prières dites de quarante heures qui avait lieu dans l'église des Pères Capucins à la Pentecôte, 1766. Sermon après vêpres les jours de fêtes à faire par le Père stationnaire des Capucins. Lettre du Frère George, provincial des Capucins, au doyen de chrétienté d'Armentières, pour le prier d'agréer les questeurs de la maison d'Armentières.

Assistance publique : Table du Saint-Esprit ou des pauvres.

GG 152 , 1643-1668  

Comptes rendus par les ministres de la table et charité des pauvres d'Armentières, des biens et revenus délaissés à ladite table par Marguerite Morel : Recette totale du compte de 1643-1645 : 4,390 l. 9 s. 3 d. ; dépense : 4,678 l. 15 s. "A Jacques Barbry, notaire et maistre d'escolle en ceste ville, pour une année de pention à luy accordée pour les services et bons debvoirs qu'il rend à icelle fondation en qualité de procureur et notaire, 5 l." 1647-1663.

Clergé séculier : église paroissiale, chapelles et confréries.

GG 47 , 1591-1691  

Confrérie des Trépassés. Comptes des ministres de la table et charité des trépassés et de la confrérie de Notre-Dame de Miséricorde en l'église paroissiale d'Armentières : recette de dons et legs faits par la femme de Jean Charlet, Bertrand Seuwin, la veuve de Pierre Sénéschal, etc. Dépense : " payé au fossier et à Hector le Roux, pour avoir raccoustré une teste de mort pour mettre sur le buffet, XVIII s. " 1591-1593. Recette totale des années 1683-1691 : 2963 l. 14 s. 6 d. ; dépense : 2345 l. 15 s. 6 d. " A Emmanuel Fiefvez et autres boulangiers de ladicte ville, pour pains qu'ils ont livrez pour ladicte chappelle pour estre distribué aux pauvres selon la fondation, V l. X S. " 1683-1691.

Assistance publique : Table du Saint-Esprit ou des pauvres.

GG 124 , 1623-1756  

Transport de rentes au profit de la table des pauvres d'Armentières : pour effectuer la donation faite par Jean Le Noble à charge d'un obit anniversaire pendant cinquante ans, 1623 ; pour effectuer les donations faites par Georges Henniart, 1627 ; par Jeanne Boidin, 1649 ; par Piat Grouzet et Marguerite Morel, 1658 ; par Antoine Gaverel, 1658. Don d'une maison de la rue des Espagnars à Armentières, fait par Marguerite Deleforterie, "ancienne fille non mariée" à la table et charité des pauvres de cette ville, à charge "de la recevoir à l'hospital des pauvres chartriers pour y estre nourie, saine et malade, aussy long temps qu'il plaira au bon Dieu de la laisser dans ce monde, aux despens dudit hospital, sans pouvoir la renvoïer soubs quelque prétexte ou cause que ce soit ou puisse estre", 1691. Abandon par Jean Six et Antoinette Laignel aux pauvres d'Armentières, du droit que lesdits époux pourraient avoir dans une maison située à front de la rue Notre-Dame, que Me Jacques Deleboe a donnée auxdits pauvres, 1718 ; par Antoine Candelle aux mêmes pauvres, de la somme dont François De Lestrée, maître charpentier, peut lui être redevable.

Clergé séculier : église paroissiale, chapelles et confréries.

GG 58  

Comptes des ministresde la confrérie de Notre-Dame de Lorrette érigée en l'église paroissiale d'Armentières : " Pour avoir fait porter à la procession les images portatives de ladicte chapelle, LX s. " 1630-1631. Comptes des ministres de la confrérie de Notre-Dame du Rosaire érigée en l'église paroissiale d'Armentières : en tête du compte de 1666 à 1682, se trouve l'état des biens appartenant à la confrérie ; " A maistre Michel Anolf, tailleur d'image à Lille, pour avoir faict le piedtement et raccomodé l'image de Nostre-Dame du Rosaire, XXXIV l. ; à Robert Le Comte, peintre, pour avoir peint deux images de Nostre-Dame du Rosaire, XXXIV l. ; à Nicolas Derache, pour deux cens de banderolles en taille douce avecq blason qu'il at livré pour la décoration de ladite chapelle, VI l. " 1670-1681. Recette totale du compte de 1682 à 1687 : 1344 l. 4 s. 8 d. ; dépense : 1696 l. 18 s. " A Philippe Dillies, pour avoir fait deux pyramides, des consoles, les gradins et le cadre de l'antipanne, 65 l. 4 s. " 1697-1717. " A Bernard d'Englost, brodeur, pour avoir brodé un devant d'autel avec l'image de la Vierge, et par luy fait tous les livrances, 400 l. " 1733-1754. Recette totale du compte de 1754-1772 : 8963 l. 4 s. 3 d. ; dépense : 11363 l. 2 s. " A Louis Turle, carillonneur, pour avoir carillonné les cloches de ladite église pour l'advertissement des messes et offices qui se font en ladite chapelle, pendant les deux années de ce compte, à l'avenant de 12 l. Par an, cy 24 l. " 1772-1774.

Assistance publique : Table du Saint-Esprit ou des pauvres.

GG 133 , 1656-1721  

Transport de rentes au profit de la tables des pauvres d'Armentières : par Jean Groudet (1656), par Thomas Perche (1658), par Adrien Legrand (1670), par Nicolas Van Decle (1674), par Pierre etMarie-Catherine Breton (1675), par Jean Lesecq (1683) et par Jacques Mallet (1721). Titres de rentes appartenant à la tables des pauvres d'Armentières, 1670.

Clergé séculier : église paroissiale, chapelles et confréries.

GG 43 , 1534-1672  

Comptes des ministres de la chapelle de Saint-Vincent fondée en l'église paroissiale d'Armentières : « A Amand de Lannoy, painctre, lequel avoit painct le nouveau ghidon de la chapelle pour certain pris dont on fut d'accord avecq luy, et pour ce que la donne faicte par pluiseurs compaignons du stil de foulon à l'avanchement du coust de ladicte paincture et de la soye d'icelluy ghidon ne pooit furnir, a esté payé pour le reste, XXIIII l. ; au mesme, pour avoir livré IIIIc banniérettes à tout une empreinte de saint Vinchent, que les foullons portent à la procession au jour du Sacrement, VI l. ; pour achat d'un tambour pour tamburer quand on porte le ghidon de ladicte chappelle à le procession le jour du Sacrement et les jours Saint-Vinchent, VII l. » 1534-1536 ; Recette et dépense de deux années et demie écoulées depuis le 1er août 1536 jusq'au 31 janvier 1538 (v.s.) : recette, 497 l. 3 s. 1 d. ; dépense, 555 l. 6 s. 1 d. En tête de ce compte est inséré un acte par lequel soixante-douze maîtres foulons d'Armentières s'engagent, devant les échevins de cette ville, à payer chaque samedi, au profit de la chapelle de Saint-Vincent, leur patron, 6 d. en leur nom, 3 d. au nom de chacun de leurs valets et 10 gros au nom de chaque apprenti. « A ung tailleur d'imaige demeurant à Lille, pour avoir fait et livré l'ymaige de saint Ghillain qui a esté nouvellement mis en ladite chapelle auprès de l'ymaige de saint Vinchent, avecq, pour le aigle, le ours et le croche ad ce servant, VIII l. ; au painctre de Lille, qui a paint ledicte ymaige, ensemble lesdis aigle, ours et croche y servans, CX s. » 1536-1538. Recette totale du compte des années 1659 à 1667 : 1, 182 l. 9 s. ; dépense totale : 1,544 l. 9 s. « A Pierre Ricquart, orfèvre à Armentières, pour une couronne par luy vendue pour ladite chapelle, LX l. » ; « aux serviteurs des foullons, pour leur don gratuit à eulx accordé le jour de la dédicasse de ceste ville à charge de la chapelle, VIII l. » 1671 ; « Au sergent de la ville, pour avoir deffendu aux maistres foullons de ceste ville de travailler, tant pour mauvaise eaue que pour gelée arrivée l'hiver passé, de ce que par diverses fois, II l. » 1671-1672.

Clergé séculier : église paroissiale, chapelles et confréries.

GG 49 , 1630-1721  

Confrérie du Saint-Sacrement. - Vente par Nicolas Barbry d'une rente de 8 l. Par. À la confrérie du Saint-Sacrement érigée en l'église paroissiale d'Armentières. Acte passé devant les échevins d'Armentières par lequel Nicolas Vendecle, ministre de l'office du Saint-Sacrement, constitue sur ses biens en faveur dudit office une rente de 18 liv. Supplique du sieur Jean-Eloi Bauvient, pasteur d'Armentières, des maîtres et anciens maîtres de l'association de la confrérie du vénérable Saint-Sacrement en l'église paroissiale, aux bailli, mayeur et échevins, à l'effet d'obtenir pour ladite conférire une gratification annuelle qui couvrirait en partie les frais de flambeaux servant aux processions patriculières et solennelles.

Clergé régulier : brigittins.

GG 70 , 1641-1680  

Statuts de l'ordre de Saint-Sauveur et de Sainte-Brigitte. Lettre de Gaspard de Laurete, visiteur de la province d'Arras, contenant diverses décisions relatives à l'ordre de Saint-Sauveur ou de Sainte-Brigitte, 1641. Décisions prises dans le chapitre général de l'ordre du Sauveur ou de Sainte-Brigiette tenu à Looz : le père Denis de Saint-Robert, sous-prieurdu couvent d'Armentières, y assiste au lieu du père Adrien de Saint-Cornille, prieur du même couvent, légitimement empêché, 1667. Lettre de Denis, évêque de Senlis, qui consent à l'établissement dans son diocèse de religieux de l'ordre de Saint-Sauveur. Bref du pape Innocent XI en faveur du même ordre, 1677. Fragmentd'une enquête tenue au sujet d'un religieux par les supérieurs de l'ordre de Saint-Sauveur, 1680. Lettre des prieur, procureur et vicaire généraux de l'ordre de Saint-Sauveur, au sujet des querelles entre religieux.

Assistance publique : Table du Saint-Esprit ou des pauvres.

GG 121 , 1554-1569  

Testament de Michel Liennart, marchand demeurant à Armentières, par lequel il lègue deux lettres de rente à la table et charité des pauvres de cette ville, "trois bonnets, assavoir les deux rouges et l'autre noir" à l'église paroissiale ; en outre, il donne "aux confraries du Sainct-Sacrement, de Nostre-Dame de Sept-Dolleurs, et de Sainte-Barbe, à chacun dix gros parisis en l'acquict de ses confraries" 1554. Constitution au profit de la table des pauvres de la ville d'Armentières par Jean Denys, de la moitié étant donnée aux pauvres de Steenwerck, 1554. Création d'une rente, laquelle sera ffacetée à la fondation d'un obit conformément aux intentions testamentaires de Jean Bonnet, 1554. Confirmation par Jeanne Blondel, veuve d'Olivier Denis, du don d'une lettre de rente fait par sondit mari à la table des pauvres d'Armentières, 1555. Don par Guillaume de le Vigne aux tables des pauvres d'Erquinghem-sur-la-Lys et d'Armentières, de rentes assignées sur une maison rue de Glatigny, 1559. Transport d'une rente au profit de la table des pauvres d'Armentières en exécution du testament de Michel Boidin, 1569. Don par Michel Ghuémart, bourgeois et marchand d'Armentières, aux pauvres de cette ville, d'une lettre de rente de 7 livres 10 sols "pour la bonne affection qu'il a auxdis povres et affin de subvenir à leur nécessité " 1569.

Assistance publique : Table du Saint-Esprit ou des pauvres.

GG 150 , 1778-1786  

Comptes des ministres de la table et charité des pauvres d'Armentières : "Aux dames hospitalières de cette ville, la somme de 144 livres, pour les indemniser des frais qu'elles ont fait extraordinairement pour des pauvres malades et affligés qui ont été placés chez elles", 1784. Recette totale du compte de l'année 1785-1786 : 37, 135 l. 6 s. 7 d. ; dépense : 37,799 l. 12 s.

Clergé séculier : église paroissiale, chapelles et confréries.

GG 37 , 1530-1779  

Jacques de Luxembourg, comte de Gavre, seigneur de Fiennes et d'Armentières, de concert avec les marguilliers et les échevins de cette ville, règle la manière dont on devra désormais célébrer les heures canoniales fondées en l'église paroissiale afin d'augmenter le service divin : il fixe les honoraires qui seront attribuées pour cet objet au curé propriétaire, au vice-gérant et aux neuf chapelains, indique les obligations qui incombent à chacun d'eux et porte certaines défenses pour que le bon ordre et la paix règnent entre les chapelains : « Item, que les chappelains ne pourront tenir concubines, meschines, servantes ou autres femmes suspectes, ains seront tenuz vivre et communiquier ensemble comme frères sans rihotte ne estrif, ne se adonnant à la buverie ». Requête des prêtres et horistes de l'église paroissiale d'Armentières à M. Moreau de Séchelles, intendant de Flandre, tendant à être payés par les échevins de ladite ville de vingt-trois Te Deum, ordonnés par le Roi à l'occasion de places conquises, batailles gagnées, etc. ; les horistes sont déboutés de leur demande attendu que les Te Deum étant ordonnés par l'évêque en conséquence d'ordres du Roi, sont chantés en musique sans que les prêtres horistes y fassent aucune fonction, 1749. Supplique des échevins d'Armentières au comte d'Egmont pour obtenir qu'il ordonne au receveur de ses biens en ladite ville, de ne payer aux horistes le traitement qui leur est attribué que proportionnellement au nombre des pourvus et à l'exactitude avec laquelle ils remplissent les vus expresses du fondateur. Mémoires, lettres et requêtes touchant le différend qui existe entre le Magistrat d'Armentières et les horistes de l'église paroissiale, ceux-ci ne remplissant pas strictement les charges de la fondation ; proposition de réduire à quatre le nombre des horistes qui, au terme de la fondation, doit être de dix, et ce à cause de l'insuffisance des sommes allouées pour cet objet par le fondateur.

Clergé régulier : capucins.

GG 60 , 1677-1726  

Don aux Capucins d'Armentières par Anne Cappel, "ancienne fille non mariée", d'une maison située rue des Bourgeois en ladite ville, à charge de deux cents messes. Requête présentée à Lamoral d'Egmont, prince de Gavre, seigneur d'Armentières, par les Capucins de cette ville, à l'effetd'obtenir la remise de rentes qu'ils doivent pour les maison et jardin qu'ils ont incorporés dans leur couvent. Déclaration par l'administrateur des fondations pieuses faites par Pierre Busquet que la muraille de séparation qui existe entre le couvent des Capucins et une maison ayant appartenu audit Pierre appartient auxdits Pères. Avis du Magistrat d'Armentières touchant la construction d'une cave dans le couvent des Capucins d'Armentières. Supplique des Capucins pour obtenir la permission de bâtir un mur à front à rue. Acquisition par les Pères Capucins d'Armentières d'une choque de maisons sises en cette ville.

Assistance publique : Table du Saint-Esprit ou des pauvres.

GG 149 , 1770-1777  

Comptes des ministres de la table et charité des pauvres d'Armentières : Recette totale des années 1770 et 1771 : 36,270 l. 7 s. 9 d. ; dépense : 36,486 l. 10 s. 11 d. "Déclare le comptable d'avoir reçu 2,000 écus que feu M. Pronnier avoit légué au profit des pauvres de cette ville quivant son testament du 6 avril 1766, 9,600 l." 1773-1774.

Assistance publique : l'hôpital de Sainte-Catherine de Sienne.

GG 94 , 1599-1609  

Acte notarié par lequel Jean de Hanne, prélat du couvent de Warneton, donne à l'hôpital de Sainte-Catherine de Sienne à Armentières une somme de 400 liv. Dont le revenu annuel sera employé à faire, "le blancq jeudi" (jeudi saint), une distribution de vin, de pain et d'argent à treize enfants mâles ou à treize pauvres "anchiens hommes" à qui on lavera les pieds ledit jour, en mémoire de la cène du Sauveur : "l'homme d'église" qui fera le lavement des pieds, soit le curé d'Armentières, soit le chapelain de l'hôpital, aura 40 s., 7 juin 1599. Don d'une somme de 120 liv. À l'hôpital de Sainte-Catherine de Sienne à Armentières par Catherine Cappon, veuve de Pierre Romon, à charge, par les ministres, "de délivrer à dix povres femmes quy coucheront malades audit hospital (en cas qu'il y en ayt aultant), à chacune une pinte de vin et ung pain vaillable deux solz parisis par chacun an, et ce le jour de bancq heudy" 1600. Marguerite Carlier, veuve de Pierre Lanchel, demeurant à La Haye, abandonne, au profit du nouvel hôpital hors du pont, la part qui lui revenait dans une rente de 300 liv.