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Clergé séculier : église paroissiale, chapelles et confréries.

GG 40 , 1479-1629  

Chapelle d'Armentières. - Ventes au profit de la chapelle Notre-Dame du Vieux-Biés dite d'Armentières : par Gui le Bourgois, d'une rente de dix livres ; par Hacquinot De Le Sauch, d'une rente assignée sur une terre dépendant de la seigneurie de la Vigne au Wez-Macaire, 1501 ; par Baudoin Desruyelles, d'une rente de 6 livres hypothéquée sur une terre tenue du fief de le Caserie ; par Jeanne Charlet et Toussaint Hazebroucq, d'une rente de 4 florins 13 patards. Cession à la Table des pauvres de la chapelle Notre-Dame du Vieux-Biés : par Jacques Petiblon, d'une rente de 6 florins carolus, par Pierre de Landas, écuyer, fils de Walerand, seigneur de Wannehain, d'une autre rente. Transport à ladite Table des pauvres par la veuve de Louis Leuridain, en exécution du testament de feu son mari, d'une rente de six livres cinq sols parisis.

Clergé séculier : église paroissiale, chapelles et confréries.

GG 20 , 1722-1764  

Obligations et droits du coutre (sacristain) de l'église d'Armentières. Le sieur Vahé, curé d'Armentières, expose aux échevins que Pierre-Paul Delebecque, âgé de quinze ans, qui est recommandé pour la place de bailli ou bedeau de l'église, est notoirement incapable d'exercer ces fonctions ; les échevins décident que le sujet proposé exercera seulement ses fonctions dans les cas peu importants, « tels que porter les vins, allumer les cierges, etc. ». Supplique du sieur Jacques Fissier, maître de l'école des pauvres enfants d'Armentières, à l'effet d'obtenir pour son fils la place de « serpent » de ladite ville. Requêtes pour obtenir le poste de maître de musique de l'église paroissiale d'Armentières. Lettre du sieur Huhuet, intendant de la maison d'Egmont, touchant les raisons mises en avant par les échevins d'Armentières pour ne nommer personne à la place de maître de musique, qui est vacante ; « la suppression de cet emploi serait pour la ville une sorte d'indécence et d'avilissement » ; réponse des échevins dans laquelle ils exposent que leurs raisons sont en partie fondées sur l'insuffisance des revenus de la fabrique, et aussi sur ce que cette dépense ne devrait pas être supportée par la ville. Différend entre Me Antoine-François Delangle, prêtre et chapelain de l'église collégiale de Saint-Pierre de Lille, et le sieur Marc Caudry, lieutenant-bailli d'Armentières, au sujet de l'office de maître de musique que ledit Delangle avait accepté des échevins et ensuite refusé. Lettre de recommandation pour Jean-François Cousin, capable d'exercer une place parmi les musiciens de l'église paroissiale, tant pour le violon que pour la voix. Supplique du sieur Eugène Remmery aux échevins d'Armentières, pour obtenir la place d'entrée de choeur de la paroisse dont jouissait le sieur Lutun ; apostille favorable.

La Gazette d'Armentières.

2 Per 9  

Quotidien conservateur paru à partir de 1884. Fondé par Alfred Reboux puis tenu par Lucien Chotel, puis Camille Hollart. Imprimé au 35 rue de Lille à Armentières. Vendu 5 centimes.