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Usines, manufactures, commerce.

HH 28 , 1745-1748  

Liste des gens qui occupent des établissements en la ville d'Armentières, 1747. Offices de contrôleurs et inspecteurs dans les communautés des marchands et d'artisans créés par édit de février 1745. Correspondance au sujet de la confection d'un état de tous les suppôts de ces communautés qui se trouvent dans la ville d'Armentières. État des sommes imposées sur les corps-de-métiers de la ville d'Armentières pour obtenir, au moyen d'un abonnement, la dispense de l'exécution de l'édit de février 1745 créant des offices d'inspecteurs et contrôleurs dans les corps et communautés des arts et métiers, en jurande et sans jurande, dans les villes et bourgs d'Armentières, Comines, La Bassée, Lannoy, Seclin, Tourcoing et Roubaix ; état et déclaration, par ordre alphabétique, des artisans et gens de métier "demeurans en la ville d'Armentières, pour satisfaire à l'ordonnance de M. L'intendant du 3 avril 1746;" à la suite de cet état se trouve une note expliquant les causes pour lesquelles il n'y a à Armentières "ni maîtrise, ni statuts, ni règlements, ni jurande, en sorte que les différends particuliers du même métier n'ont jamais formé un corps de communauté."

Taxes perçues au nom du Roi et des états de Lille : tailles et vingtièmes.

CC 9 , 1669-1711  

Réglement concernant les assiettes des tailles et vingtième, leur collecte, les éxécutions et salaires huissiers. Défense d'employer pour la perception des deniers publics des sergents et autres personnes non autorisées. Requête du Magistrat. Avis de retirer du greffe des états à Lille le cahier des vingtièmes pour 1702. Remises à faire dans le compte à cause des communautés religieuses d'Armentières qui n'ont pas payé les tailles et vingtièmes de 1711.

Justice criminelle : registres aux plaids, procès devant l'échevinage, juridiction gracieuse des échevins.

FF 64 , 1661-1670  

Actes passés devant les lieutenant de bailli et échevins d'Armentières : Vente d'une rente de 37 livres faite à Antoine Béghin par les administrateurs de la fondation pieuse de Marguerite Morel (1er mars 1661) ; constitution d'une rente viagère de 100 florins par Marie Van Oye au profit de Lucas Breton, son fils, "afin de seconder sa pieuse intention dans l'état de prêtrise" (28 juillet 1664).